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8 novembre 2023

Dominique de Villepin

L'ancien Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, qui s'était opposé au nom de la France en 2003 à la guerre en Irak, était l'invité du "8h30 franceinfo".

https://www.youtube.com/watch?v=vY7Iw54NiWM

Yann Bizien

Que voit on dans les pays européens islamisés ? Une pression toujours plus forte de l'islam et de l'hyper violence. Il est faux d'affirmer que l'islam serait chez nous une religion de paix.
Partout, en Europe, émergent des inquiétudes légitimes sur la puissance de mouvements islamisés qui entendent provoquer des ruptures, détruire les régimes de "mécréants" et établir la souveraineté de leur Dieu sur un mode ostentatoire et violent pour imposer chez nous l'ordre religieux islamique.
Partout, en Europe, l'islam augmente sa pression contre les États et les sociétés, impose son identité religieuse, se déploie habilement dans le tissu associatif et caritatif jusqu'aux institutions européennes pour y exercer une influence politique majeure, souvent subventionnée, dominante et conquérante.
L'écosystème islamiste en expansion entretien une logique de rupture avec les sociétés européennes. Les États ont des difficultés à empêcher les populations musulmanes à échapper à l'emprise des entrepreneurs religieux qui accusent les États européens d'altérer le plein exercice de l'islam.
L'islam rigoureux lutte en effet contre toute forme de société laïcisée. Il s'attache à acculturer les quartiers à l'idéologie islamiste. Ce travail s'intensifie et s'accélère jusqu'à l'école qui peine à rester un rempart républicain.
Car les conservateurs islamistes ont intérêt à empêcher l'intégration et l'assimilation des musulmans "chez nous". Nous ne pouvons d'ailleurs pas affirmer que notre gouvernement a pu les mettre en échec. Bien au contraire. Les islamistes connaissent et exploitent toutes nos failles : l'État de droit, la lâcheté de la classe politique et la naïveté du peuple.
Les entrepreneurs de l'islamisme fabriquent leurs causes et suscitent un climat de conflictualité constant entre Français de souche et Français immigrés d'ascendance musulmane. Ils ont chez nous un projet stratégique, idéologique, politique et identitaire cohérent qui fracture toute notre société.
L'alternative est simple. Les islamistes cherchent à imposer dans les pays européens une conversion à l'islam ou la guerre civile. L'islam intégral et totalisant cherche partout sa domination. Il refuse toute forme d'allégeance aux sociétés modernes et à leurs systèmes de valeurs.
La conversion à l'islam par l'influence et la contrainte est une réalité dans notre pays.
Il y a donc une incompatibilité réelle entre l'islam et la République. Nous subissons le choc violent de deux systèmes de valeurs que tout oppose quand l'islam tend à regrouper sa communauté sous la seule autorité de la référence islamique pour rejeter le modèle français.
La mèche est allumée. La situation est explosive. Les gouvernements n'ont jamais rien fait pour éviter que la France ne devienne une poudrière. 8/11/2023

7 novembre 2023

De Gaulle visionnaire (vidéo de 1967)

« On a vu apparaître un État d'Israël guerrier et résolu à s'agrandir »

« On pouvait se demander, même chez beaucoup de juifs, si l'implantation de cette communauté sur des terres, acquises dans des conditions plus ou moins justifiables et au milieu des peuples arabes foncièrement hostiles, n'allait pas entraîner d'incessants, d'interminables conflits. »

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6 novembre 2023

Sortir de la logique des camps

Denis COLLIN

6/11/2023 - [...] Dans ce monde bipolaire, qu’adorent les esprits binaires, les vieux staliniens qui n’ont rien oublié ni rien appris excellent. Et avec eux les ex-maos devenus « néocons » qui officient dans le camp d’en face. Celui qui ne choisit pas son camp, parce qu’il n’aime pas les camps, risque de se faire canarder des deux côtés. Mais on peut aussi dire, comme le dessinateur Johann Sfar, si tu énerves les deux côtés, tu es sur la bonne voie.

Alors, énervons les deux côtés. En occupant les territoires de Cisjordanie, en développant une colonisation massive, Israël a largement créé les conditions d’une insécurité croissante pour toute la région et pour Israël aussi. Le politicien véreux et corrompu qu’est Netanyahou est le responsable de ce qui s’est passé le 7 octobre et de ce qui se passe depuis. Il est responsable de n’avoir pas écouté les avertissements qui lui avaient été envoyés quelques jours avant par l’Égypte, responsable d’avoir dégarni la frontière sud pour envoyer l’armée protéger les colons fanatiques de Cisjordanie, responsable de l’affaiblissement des services de sécurité, responsable et avec la grande majorité des gouvernements qui l’ont précédé d’avoir donné raison à l’assassin de Rabin et d’avoir liquidé les accords d’Oslo qui prévoyaient, faut-il le rappeler, la création d’un État palestinien en 2000 ! Netanyahou enfin est responsable d’avoir propulsé le Hamas pour faire la peau à l’OLP, exactement comme les USA ont propulsé les talibans avant qu’ils ne se retournent contre eux.

Mais il n’en va guère mieux « de l’autre côté », dans l’autre camp. Le narratif de la « cause palestinienne » est largement biaisé, et ce dès le début. Le « monde arabe » est une véritable fumisterie : les « Arabes », c’est-à-dire les États arabes ont toujours instrumentalisé la « cause palestinienne » tout en se gardant bien d’aider sérieusement les Palestiniens. Faut-il rappeler que l’un des plus gros massacres de Palestiniens fut le fait du Royaume de Jordanie, avec le « septembre noir de 1970 qui a fait 10 000 morts et 100 000 blessés ? Faut-il rappeler que si Gaza est un “camp”, le gardien de la frontière sud du camp est l’Égypte ? La décomposition de l’OLP, en raison de sa corruption invraisemblable l’a rendue incapable de contrer le Hamas qui a pris le pouvoir à Gaza et ensuite y a liquidé l’OLP. Si Gaza est une prison, les matons sont le Hamas, groupe de fanatiques sanguinaires et une des branches de cet ennemi du genre humain et des musulmans qu’est la confrérie des Frères musulmans.

Le Hamas doit être clairement caractérisé pour ce qu’il est et surtout pas pas les qualificatifs louangeurs d’organisation de résistance. La destruction du Hamas serait une bonne chose. Mais la méthode de la vengeance aveugle employée par Israël ne peut que préparer des nouveaux Hamas. “Œil pour œil”, c’est déjà une justice un peu barbare, mais que dire que “Pour un œil, les deux yeux” ou, encore pire, “tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens”. Dans l’immédiat un cessez-le-feu s’impose qui suppose que non seulement Israël, mais aussi que le Hamas le veuille en cessant lui-même le feu et en libérant les otages, sans attendre. S’impose également la reprise d’un processus de règlement politique global, qui suppose deux États, l’accord avec la Jordanie, le Liban et l’Égypte. Mais il ne fait aucun doute qu’un tel processus suppose la mise hors circuit et du Hamas et de Netanyahou et de sa cohorte de “fous de Dieu” israéliens.

Gilles Casanova

On a vu, il y a quelques jours, une maghrébine retirant son voile quelques instants à la télévision, on sait depuis le grand nombre de menaces de mort dont elle a fait l'objet.
On a noté que dans tous les pays où s'est opéré un mouvement obligeant les femmes à porter le voile, s'est opéré conjointement une disparition de la démocratie, et une forte progression de l'obscurantisme.
Avec vos impôts, et le secours d'un discours bien-pensant, le Conseil de l'Europe et l'Union européenne ont décidé de faire faire cette route à notre continent.
La campagne s'appelle, sans ambiguïté : « Freedom is in hijab ».
Aurons-nous la force de nous y opposer ou bien allons-nous sombrer ?

Radio France se prend les pieds dans son obsession anti-nazie

H16

6/11/2023 - Parfois, l’actualité, aussi horrible ou pesante soit-elle, permet d’éclairer certaines réalités que beaucoup trop ne voulaient pas voir ou refusaient simplement de croire.

Cette fois-ci, le contexte général de la guerre israélo-palestinienne fournit l’occasion de mettre en exergue les talents d’un certain Guillaume Meurice, un des “humoristes” dont Radio-France achète les productions.

C’est la magie du service public – payé par les impôts de tous : elle permet de nourrir un nombre improbable d’intermittents de l’intelligence et elle offre une tribune à toute une sélection de chroniqueurs à la plume affûtée comme du beurre chaud, que les auditeurs – bizarrement de moins en moins nombreux – découvrent chaque jour s’égayant sur les ondes pour raconter leurs âneries avec une application qui force l’admiration.


Ainsi, prenant prétexte du conflit actuel au Proche-Orient, Meurice a tenté l’incursion dans l’humour, territoire dont il est pourtant étranger et dont les dangers, féroces lorsqu’on est sur une chaîne publique engluée dans des barils de bien-pensance lourde et collante, n’ont pas manqué de se manifester très vite : dressant un inventaire des costumes “pour faire peur” à l’approche d’Halloween, il a évoqué Netanyahou en le qualifiant de “sorte de nazi sans prépuce”

Ce qui n’a pas manqué de faire réagir les quelques auditeurs encore présents sur la chaîne, dont certains ont même été suffisamment secoués pour s’en ouvrir auprès de la médiatrice. Cette dernière a contacté la direction, obtenant une réponse relativement gnangnan de la directrice de la chaîne.

Eh oui : au-delà de l’évident constat, maintes fois posé, qu’on ne peut pas rire de tout avec tout le monde, il apparaît cependant assez évident qu’affubler un dirigeant israélien du qualificatif de nazi peut mener à plus que des haussements de sourcil.

Cependant, pour avoir fait cette comparaison, Meurice, avatar moyen de ce que le service public produit de plus standard en matière d’Entre-Soi, n’a pas compris qu’il commettait une faute. En effet, de nos jours, tant dans les médias que dans l’Hémicycle, on traite de nazi tout le monde sans arrêt et avec décontraction. À force, le mot n’a plus vraiment d’autre sens que “méchant de droite” voire “vilain pas beau qui n’est pas du même avis que moi”, tant il a été utilisé à tort et à travers par des gens dont la culture (notamment politique) est plus qu’approximative.

En fait, les petites troupes “antifascistes”, les éternels excités d’extrême-gauche qui n’ont de cesse de l’employer pour qualifier tous leurs opposants sans la moindre distinction, les brochettes de commentateurs zélés de l’actualité adoubés par la Pensée Officielle Autorisée qui collent l’étiquette “Hitler” à chaque populiste (googlez “Trump is Hitler” ou “Bolsonaro is Hitler” pour deux minutes d’humour Meurice) ont largement participé à rendre inopérant ce qualificatif pourtant précis – à tel point, d’ailleurs, que la plupart de ceux qui le distribuent avec gourmandise oublient qu’il comporte le mot “socialiste” dont ils se revendiquent en même temps et sans trembler.

Et lorsqu’enfin, un des bouffons attitrés de Radio France commence à l’utiliser dans un contexte de guerre, avec tout ce qu’elle peut comporter d’événements horribles et de surcroît pour un dirigeant juif, cela ne peut déclencher qu’une certaine stupéfaction et ce d’autant plus que – et ce pauvre Meurice, mal outillé intellectuellement, ne pouvait guère l’appréhender – l’ensemble du service public oscille maintenant entre ses pulsions clairement antisémites et son absolu rejet de tout antisémitisme.

Eh oui : paradoxe cruel que celui dans lequel l’extrême-gauche se vautre actuellement, où elle a toujours braillé, aussi fort que possible, être en pointe de la lutte contre le racisme, le fascisme, le nazisme, l’antisémitisme et tous ces autres “ismes” à l’exception du communisme ou du socialisme, et qui, en même temps et par son devoir indispensable d’ouverture aux autres et à un multiculturalisme millimétriquement contrôlé, doit aussi composer avec toute une foule de courants qui sont, eux, clairement antisémites.

Or, ce sont ces individus, ces courants paradoxaux qu’on retrouve un peu partout dans la classe jacassante et donc inévitablement dans les fromages républicains, les médias publics en constituant l’un des plus crémeux. Il n’est qu’à voir les gymnastiques intellectuelles, véritablement olympiques, d’un nombre conséquent de gauchistes de la classe jacassante (élus ou non) pour comprendre le malaise déclenché par le faux-pas du chroniqueur. De même qu’il est assez difficile de concilier islam et progressisme sexuel occidental débridé à base de transidentité et autres manipulations de genre, il est très compliqué de faire de l’antisémitisme de combat avec des gens qui se sont ouvertement déclarés en guerre contre les Juifs.


Ces constats et l’agitation qu’ils provoquent (enfin ! pourrait-on dire) permettent aussi d’oublier que les services publics, financés par l’argent de tous, devraient afficher une certaine pluralité des opinions et un minimum de respect des différentes sensibilités de leurs contribuables.

Ce n’est pas le cas ni pour l’un, ni pour l’autre : sur les services publics, la plupart des opinions contrariantes n’ont plus droit de cité et ce, quelque soit le sujet. En pratique, les quelques débats qui ont encore lieu n’existent que dans un cadre extrêmement contrôlé ou la parole dissidente sera toujours systématiquement “contextualisée”, marginalisée voire ostracisée (un contrariant, de préférence timide voire empoté contre une demi-douzaine d’avatars de la Pensée Officielle Autorisée) et on trouvera de nombreux arguments en faveur de restrictions toujours plus grandes de son expression. Un seul son de cloches doit dominer.

Quant au respect du contribuable, il a cessé depuis bien longtemps : les chrétiens servent par exemple régulièrement de punching-ball, et le mépris sans limite des intervenants pour la populace qui a le mauvais goût de s’entasser au-delà du périphérique parisien ne fait que s’ajouter à l’hémiplégie à gauche assumée des chaînes publiques. On se souviendra par exemple du même Meurice qui brocardait sans ménagement les commerçants pendant les confinements, ces derniers contribuant sous la contrainte au financement de celui-là même qui leur vomissait dessus.

Non vraiment, pas de doute : ce qui se passe au Proche-Orient est abominable mais permet de rappeler à tous pourquoi les médias ne devraient jamais recevoir un centime de la part de l’État et pourquoi le gauchisme qui gangrène complètement les services publics est un anti-humanisme dans toutes ses facettes.


https://h16free.com/2023/11/06/75838-radio-france-se-prend-les-pieds-dans-son-obsession-anti-nazie

5 novembre 2023

Budget 2024 : incompétence, mensonge ou pure imbécillité ?

François Asselineau - UPR

https://www.youtube.com/watch?v=iHpzDDFOY0M


Bruno Le Maire a déclaré vouloir s’attaquer à la situation catastrophique des Finances de la France. Mais, il a omis de rappeler que depuis 6 ans et demi qu’il est ministre des Finances, et qu’il est en conséquence l’un des principaux responsables du désastre actuel.

M. Le Maire a prononcé un discours ronflant pour présenter un plan prétendument vaste et ambitieux soi-disant pour réduire la dette de la France.

Le problème est que c’est faux, M. Le Maire fait le contraire de ce qu’il annonce telle une boussole qui indique le Sud : Il prévoit pour 2024 un nouveau déficit colossal de 172 milliards d’euros, sans compter les déficits de la Sécurité Sociale, des collectivités locales et des régimes de retraite.

« En même temps », Macron a annoncé des nouvelles dépenses d’un montant de 10 milliards d’euros, prétendument pour « assurer la transition écologique » à grands renforts de nouveaux fonctionnaires.

Que dire…?

Nous sommes gouvernés par des individus dont on ne sait ce qui l’emporte en eux, de l’incompétence, du mensonge ou de la pure imbécillité ?

François Asselineau dénonce dans cette vidéo la gabegie des pouvoirs publics et l’impéritie de ses dirigeants.

Depuis 50 ans, La France a constamment été en déficit, et sur les 20 dernières années, dans 12 cas sur 20, la France avait un déficit supérieur au 3% prévu par les critères de Maastricht.

Macron est au pouvoir depuis 6 ans et demi, il a réussi « l’exploit » de doubler la dette de la France sur cette période.

Sur la même durée de 6 ans et demi (entre le 1er janvier 1958 et le 30 juin 1964), Charles de Gaulle était parvenu à réduire la dette extérieure de la France de - 85%.

D’un côté un blanc-bec incompétent et narcissique vendu aux intérêts de l’étranger, de l’autre un homme d’État au service des intérêts de la France et des Français.

François Asselineau rappelle les mesures de son programme présidentiel visant à désendetter la France

▪️ Sortir de l’UE
▪️ Réduire le millefeuille administratif
▪️ Réduire le train de vie de l’État
▪️ Arrêt des sanctions contre la Russie
▪️ Arrêt des subventions aux associations travaillant contre les intérêts de la France
▪️ Lutte contre l’hyper optimisation fiscale
▪️ Lutte contre la fraude aux prestations sociales
▪️ etc.

Il revient aux Français de choisir, en connaissance de cause, ce qu’ils veulent pour leur pays

▪️ élire un énième clone de Macron qui achèvera de creuser la tombe de la France

▪️ élire un homme d’État ayant chevillé au corps et à l’âme l’amour de son pays et capable de gérer financièrement la France en bon père de famille.

Il y a une façon très simple de deviner quel responsable politique sera capable de gérer au mieux les finances de l’État : il suffit de regarder comment ce ou cette responsable gère les finances de son propre parti politique.

Sur la scène politique française, tous les principaux partis reçoivent des millions d’euros d’argent public et sont néanmoins grevés de dettes et au bord de la faillite.

Là comme ailleurs, l’UPR se distingue par sa fiabilité. Nous ne recevons aucun argent public, nous n’avons aucun endettement et pourtant notre situation financière est solide.

Ce constat irréfutable permet aux Français de pouvoir faire confiance au Président de l’UPR pour gérer la France de la meilleure façon.

4 novembre 2023

De l’Ukraine à Israël

Pierre Duriot


Tout le monde aura remarqué que les télévisions ne se préoccupent plus de l’Ukraine, que le narratif israélo-palestinien a remplacé l’ukrainien, définitivement perdu. Et comme pour tous les fiascos des différentes histoires qui nous ont été servies, Covid, confinements, vaccinations, dettes… les grands médias sont désormais silencieux. La contre-offensive ukrainienne de cet été, dernier avatar dont on nous a rebattu les oreilles, a été un échec et alors que l’hiver approche, les deux armées vont sans doute se retrancher, sachant que malgré les tentatives désespérées des médias officiels pour nous faire croire, depuis des mois, que Poutine serait en difficulté, ne sont plus crédibles. Même la croissance en Russie est désormais supérieure à la croissance européenne.

Sur le terrain, plusieurs commandants ukrainiens désobéissent à Volodymyr Zelensky en refusant d’aller au front, à cause du manque d’hommes et d’équipements. Un des conseillers de Zelensky a déclaré : « Nous n’avançons pas ». C’est le moins que l’on puisse dire, on recule même dans une forme de débâcle désormais invisibilisée. Ce même conseiller a indiqué que certains commandants désobéissaient en refusant de lancer des assauts contre les positions russes, ajoutant que les soldats ukrainiens « veulent juste s’asseoir dans les tranchées et tenir la ligne. Mais nous ne pouvons pas gagner une guerre de cette manière ». En cause, le manque de matériel et d’hommes. Et d’ajouter : « Ils n’ont ni les hommes ni les armes. Où sont les armes ? Où est l’artillerie ? Où sont les nouvelles recrues ? ». Il est pourtant connu que depuis des mois, Zelensky a des problèmes de recrutement et que les jeunes hommes en âge de combattre préfèrent prendre la tangente.

Certains ont une lecture particulière des évolutions du narratif, expliquent que l’État américain, entendre l’État profond, a acté sa perte en Ukraine et se reporte sur le conflit israélo-palestinien. Et l’interprètent comme une forme de fuite en avant. D’autres expliquent que nous sommes dans une confrontation déguisée entre l’Occident et l’Oumma, laquelle est globalement larvée et s’exprime dans le conflit qui nous préoccupe. Erdogan le suggère de manière non voilée, en évoquant publiquement la guerre possible entre « le croissant et la croix ». En réalité, il pourrait y avoir les deux, la confrontation entre islam et Occident, et des forces intérieures à l’Occident contre lesquelles les peuples sont en lutte dans différents pays d’Europe. Cela se traduit par des confiscations de démocraties. Ainsi les décisions d’aides à l’Ukraine, de confinements, de vaccination de masse, ont largement échappé aux différents parlements nationaux, tout se jouant au niveau de la Commission européenne et de sa représentante Ursula von der Leyen, qui semble pouvoir ne faire que ce qu’elle veut, alors qu’elle n’est l’élue de personne.

Nous avons bien devant nous, l’un et l’autre : un conflit larvé entre Islam et Occident, qui s’exprime désormais ouvertement dans nos capitales européennes et une reconquête interne, à mener, de nos processus démocratiques, largement mis à mal au cours des derniers narratifs servis, dont les voix des peuples ont été largement exclues.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com

3 novembre 2023

Que voulez-vous que je vous dise ?

Segundo Cimbron

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Que voulez-vous que je vous dise ?
que l'hiver ne fait que passer ?
qu'ailleurs le soleil est levé ?
que la haine est une bêtise
et que l'amour va triompher ?

Que voulez-vous donc que je fasse
des regards méprisants jetés
sur l'innocent emprisonné
à ciel ouvert dans cette impasse
où se meurt notre humanité ?

Que voulez-vous que je proclame ?
la rose trémière en beauté ?
les fusils en train de rouiller ?
que les puissants auront une âme
quand les poules sauront parler ?

Quels cris voulez-vous que je jette
sur ce monde désespéré ?
les noyés ne peuvent crier
ni les solitudes inquiètes
pas plus que les ventres affamés

Que voulez-vous que je proclame ?
l'amour et la fraternité ?
le pain entre tous partagé
et les livres sauvés des flammes ?
mais qui donc voudra m'écouter ?

Segundo
Gilles Casanova

Elle a tout faux !
On ne négocie, on ne fait la paix, qu'avec ses ennemis !
Avec les amis on n'a pas besoin de négocier, on n'a pas besoin de faire la paix, parce qu'on ne se fait pas la guerre.
Si l'on doit négocier pour établir la paix c'est avec ceux avec qui on fait la guerre, c'est-à-dire avec les ennemis et les ennemis, ils sont ceux qui veulent vous tuer, à la guerre, donc ce qu'elle dit c'est prôner la guerre sans fin.
Tiens, c'est précisément la situation de l'État d'Israël…