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5 décembre 2023

« La fête »

Gilles Casanova

Depuis le début de la pandémie de Covid la fortune des milliardaires français s’est accrue de plus d’un tiers !
Le Covid est une fête, le Covid est une grande fête, la grande fête des milliardaires, l’argent coule à flot, on n’a jamais commandé autant de yachts, on n’a jamais commandé des yachts aussi grands, aussi chers !
L’industrie du luxe bat des records, plus les prix augmentent, et plus les produits se vendent bien.
Ce qui se produit en France, se produit aussi dans de nombreux pays occidentaux, mais en France c’est un peu particulier.
En monnaie courante, les milliardaires ont gagné plus d’argent depuis l’élection d’Emmanuel Macron qu’entre 1960 et l’élection d’Emmanuel Macron…
La France est chaque année le premier verseur de dividendes au monde, et comme vous l’a expliqué dans son dernier grand discours le télévangéliste de l’Élysée, la France est enviée partout dans le monde, le plus fort taux de croissance, les plus grands succès dans tous les domaines, le bonheur pour ses citoyens.
Il n’y a que quelques dizaines de millions de grincheux qui se tiennent en marge de la table du festin, et pour qui la réalité, c’est la régression dans leur situation sociale pour les classes moyennes, dans leur revenu et leur pouvoir d’achat pour les catégories moins favorisées.
Progressivement, depuis quelques années on voit se séparer, dans un séparatisme assumé, une communauté extrêmement séparatiste, la communauté des plus riches. Son rythme de vie n’a progressivement plus rien de commun avec celui du reste de la société, quand tout va mal pour les uns, tout va bien pour eux, et quand tout va mieux pour les autres, tout va encore mieux pour eux.
La seule difficulté c’est que pour s’enrichir autant, en si peu de temps, il faut bien appauvrir le reste de la société, il y a un effet de vases communicants qu’on le veuille ou non. Le plus grand séparatisme ce n’est pas une religion, le plus grand séparatisme c’est le monde de l’argent !
De plus en plus d’endroits sont interdits à la circulation, et à l’intérieur fleurissent de très belles demeures qui échappent aux risques et aux problèmes qui se multiplient dans la société, la délinquance, les trafics, l’insécurité, là, il n’y en a pas. Des milices privées font régner un ordre impeccable, mais n’essayez pas d’en approcher. Si on a chaque jour de la compassion pour les migrants, et qu’on condamne chaque jour les Français égoïstes de ne pas leur ouvrir leur cœur et leur porte, on ne les accueille cependant pas du tout dans ces endroits là.
Il y a progressivement deux mondes dont celui du haut ignore celui du bas, et qui s’écartent chaque jour un peu plus, celui du haut terrorisant celui du bas pour qu’il ne remarque pas le phénomène. L’OMS nous dit que le variant Omicron n’a tué personne, eh bien les sommets de la société nous disent que c’est une des pires menace que la Terre ait connue !
Le Covid a détruit notre système hospitalier, car tant et tant de gens sont morts à l’hôpital : il y a eu 2% d’occupation des lits des hôpitaux et 5% d’occupation des lits de réanimation qui sont liés au Covid.
Et les mensonges coulent à flots.
La mort par le Covid frappe chaque jour plusieurs dizaines de personnes – pour plus de 80% d’entre elles, déjà très malades –, elles ont en général une moyenne d’âge de 82 ans, il faut avoir peur. 1700 autres personnes meurent chaque jour avec une moyenne d’âge de 79 ans, pourquoi attirer inutilement votre attention là-dessus ? N’en parlons pas.
Réduisons plutôt vos libertés au nom du nouveau variant, au nom d’une nouvelle peur, d’une nouvelle crainte, les attentats islamistes sont partout, la maladie est partout, tout est dangereux, partout, renoncez à votre liberté comme l’a dit le président « c’est si simple » d’avoir la liberté si vous faites exactement ce que je vous dis.
La globalisation néolibérale a une caractéristique, elle rapproche les unes des autres les classes des riches de tous les grands pays, et elle rapproche tout autant les unes des autres, les classes des pauvres de tous les grands pays. Il y a 25 ans aucun milliardaire français ne pouvait soutenir la comparaison avec les milliardaires nord-américains, aujourd’hui nos milliardaires sont dans les tout premiers mondiaux. Il y a 25 ans le nombre de gens vivant à la rue ne ressemblait pas à ce qu’il est aujourd’hui, c’est du même ordre…

Des bienfaits de la peur

Natalia Routkevitch

Dans « La loi naturelle et les droits de l’homme » Pierre Manent faisait remarquer que la société occidentale a éliminé la notion de la peur du dispositif intellectuel à l’aide duquel nous concevons l’ordre collectif et organisons la vie commune. Il déplorait cet oubli, car la peur aurait une vertu politique singulière : réprimer l’orgueil de ceux qui se croient bénis par les dieux et donc supérieurs aux autres ; les faire redescendre sur terre ; et, de manière générale, inciter l’espèce humaine à l’humilité.

"Qui dresserait l’index des notions principales du libéralisme politique, du gouvernement représentatif ou de la démocratie moderne pourrait omettre sans scandale l’entrée « peur ». Son absence en vérité ne serait pas remarquée, ça serait plutôt sa présence qui surprendrait et même choquerait. Un affect si rébarbatif, voire glaçant, que la peur jetterait une ombre sinistre sur l’architecture de notions positives, voir riantes, qui organisent la politique moderne.
Plus profondément, tandis que les notions usuelles sont résolument abstraites, qu’il s’agisse des droits humains, de la représentation, des intérêts matériels et moraux ou encore de la séparation des pouvoirs, la peur est chose concrète, douloureusement concrète, désignant directement une composante primordiale de la nature humaine tel que chacun de nous peut l’observer ou l’éprouver.
De fait, aussi désireux que nous soyons d’être les auteurs souverains de l’ordre humain et de ne dépendre que de notre liberté, la construction politique moderne n’aurait jamais pu s’enclencher, sans prendre appui sur notre nature. Plus précisément sur la passivité de notre nature, telle qu’elle s’impose à nous spécialement dans l’affect de la peur. C’est ce rôle politique décisif de notre nature dans sa passivité sous l’aspect de la peur que la lecture de Machiavel et Hobbes met devant nos yeux.
Il est vrai, en même temps, que nous avons peine à concevoir qu’un édifice aussi complexe et raffiné que l’ordre politique moderne puisse reposer sur une base aussi simple, si vulgaire que la peur. Non seulement notre amour propre en est froissé mais notre bon sens se rebiffe. Celui-ci fait peur ; celui-là a peur, et peut-être celui-là, en retour, fait-il peur à celui-ci Comment tirer un principe d’ordre de ce nœud passionnel ?
(…)
Hobbes place la peur en position de cause et de cause morale ou plutôt moralisante : c’est l’affect lui-même - la passion de la peur donc - qui est le ressort ou le pivot de ce que Hobbes appelle encore la loi naturelle, « loi naturelle » qui n’est pas proprement une loi mais plutôt une conclusion ou un théorème dérivé de la peur humaine de mourir.
(…)
Il donne à la peur une fonction et même une mission morale, il fait ressortir la puissance moralisante de cet affect. Non seulement la peur est le mobile humain le plus constant, le plus puissant, partant le plus fiable, mais il a la vertu singulière de réprimer l’affect le plus toxique de l’espèce humaine, comme des individus qui la composent, et que Hobbes désigne par le terme de pride, cet "orgueil qui empêche que chacun reconnaisse l’autre comme son égal par nature". Il s’agit de cette tendance irrésistible du cœur humain qui fait que les hommes ne cessent de se raconter des histoires dangereusement séduisantes sur eux-mêmes, chacun en son particulier mais aussi sur l’espèce humaine en général.
En réprimant la vaine gloire ou l’orgueil, la peur non seulement promet et produit la paix entre les sociétaires, garantissant ainsi l’ordre extérieur, mais elle rabroue à l’intérieur de chacun la maîtresse d’erreur et de fausseté, l’imagination ambitieuse et prétentieuse de ceux qui croient et de ceux qui se croient et qui sont souvent les mêmes - de ceux qui croient que les dieux ont pour eux une bienveillance particulière et qui donc se font volontiers les porte-parole de la divinité, et de ceux qui se croient supérieurs aux autres en quelque façon, et que cette supériorité leur donne un titre pour les commander ou les rabaisser."

4 décembre 2023

Malgré le demi-tour nucléaire de la COP28, Jancovici veut vous sucrer vos animaux de compagnie

H16

Le monde de l’acrobatie compte une nouvelle figure d’importance : Emmanuel Macron, l’actuel locataire de l’Élysée, vient en effet de réaliser une cascade particulièrement osée, un salto arrière carpé doublé d’un 180° virevoltant afin de… relancer le nucléaire.

Eh oui, le cru de la COP28 de cette année promet d’être franchement charpenté : après des années d’atermoiements, de pleurnicheries sur l’avenir de la planète et sur l’indispensable nécessité de planter des moulins à vent et des miroirs magiques un peu partout, voilà qu’une majorité de dirigeants mondiaux, confrontés aux rendements anecdotiques de ces technologies, se retrouvent à présent à pousser l’énergie nucléaire : c’est ainsi qu’une une vingtaine de pays ont appelé à tripler les capacités de l’énergie nucléaire dans le monde d’ici 2050, par rapport à 2020.


On attend donc avec une certaine gourmandise que ces déclarations grandiloquentes se traduisent par des actes et des projets politiques concrets que notre président s’empressera de présenter devant le peuple : après tout, si l’on doit tripler la capacité nucléaire du monde, la France doit faire sa part et devrait donc, en toute logique, construire sur son territoire de nombreux nouveaux réacteurs. Évidemment, après les petites envolées lyriques du frétillant Macron sur Fessenheim, le virage intégral promet quelques moments croustillants et les têtes révulsées et apoplectiques des militants écolo-hystérique du pays promettent de fournir une grosse cargaison de support mémétique .


Et à propos de virage, cette COP28 est aussi l’occasion pour le même Macron d’en réclamer un concernant le charbon : que voulez-vous, c’est cracra, cette source d’énergie, et il faudrait vraiment songer à ne plus l’utiliser.

Certes, mais à qui donc s’adresse le président français ? Certainement pas aux Français qui n’utilisent quasiment pas le charbon, mais plutôt aux Chinois, de loin les plus gros consommateurs de charbon dans le monde : selon le BP Statistical Review of World Energy, ils comptent pour 51,7% de la consommation mondiale de charbon en 2019, suivis par l’Inde (11,8%) et les États-Unis (7,2%).

Dès lors, on peut s’interroger sur la portée réelle des exhortations de Macron, président d’un pays en perte de vitesse sur à peu près tous les sujets (sauf l’imposition de ses contribuables, hein), et ce alors qu’il ne peut même pas faire valoir une quelconque constance dans ses avis, ses projets ou ses dispositions.

En outre, Macron semble un peu oublier que la Chine consomme tout ce charbon pour ses besoins énergétiques gigantesques et notamment lorsqu’elle fait tourner ses usines qui fabriquent les panneaux solaires, les éoliennes, les batteries et les véhicules électriques que le même freluquet pousse à utiliser partout chez nous et en Europe. L’incohérence d’ensemble (appelée État stratège, n’est-ce pas) étant devenu une marque de fabrique macronienne, elle n’étonnera que les plus endoctrinés.


Et si l’on peut malgré tout se réjouir que cette COP28 marque enfin un vague retour au bon sens de certains dirigeants qui comprennent l’absurdité des solutions écologiques “alternatives”, intermittentes et économiquement désastreuses au nucléaire, au pétrole et au charbon, on doit rappeler que ce genre de raouts internationaux ne sont que des spectacles hypocrites proposés par des brochettes de clowns se déplaçant en jet qui crament des tonnes de kérozène pour aller à Dubaï, c’est-à-dire un endroit climatisé et refroidi à grand coup d’énergies fossiles, clowns qui essaient ensuite de nous expliquer comment nous passer de climatisation et de voyages en avion.

D’ailleurs, puisqu’on parle de supprimer les voyages en avion, comment ne pas rappeler le cas (clinique, pour ainsi dire) de Jean-Marc Jancovici qui, récemment, voulait tendrement nous assigner à résidence pour le bien de la planète (un peu) et de son porte-monnaie perso (surtout) via des conférences sur l’énergie à la clef, en limitant de façon arbitraire et ridiculement basse le nombre de vols aériens autorisés par personne dans une vie.

De façon coïncidente, le même verdolâtre vient de nous infliger une nouvelle réflexion, cette fois-ci sur les animaux de compagnie, estimant à tort qu’ils avaient un impact sur le climat. Harpant sur le fait (sans intérêt pour le climat, du reste) qu’un chien représenterait 1 tonne de CO2 (et 12.5 grammes de poudre de perlimpinpin, selon les calculs précis du laboratoire Jancobobar) soit 10% de l’empreinte carbone d’un Français, il en conclut qu’il faudrait tout faire pour se passer d’eux.

Après l’interdiction larvée des voyages aériens (puis de tout voyage, hein, après tout, quel besoin d’aller plus loin que le département ?), après la volonté de masquer les animaux d’élevage, on sent nettement poindre l’envie d’interdire les animaux de compagnie qui mangent, qui occupent de la place et qui pètent sans arrêt.

Finalement, c’est toujours la même chose avec l’écologie punitive : d’abord on calcule tout, on mesure, on vérifie ce qui dépasse et ce qui rentre dans les bonnes cases. Tout doit être connu, compté, avec cette précision que le ridicule ne peut jamais atteindre. Une fois les calculs faits, inévitablement, on commence à limiter, à restreindre pour qu’enfin, les observations rentrent dans les prévisions, qu’enfin la réalité se plie aux plans (quinquennaux). Le côté soviétique n’est pas fortuit : c’est la même pensée mécaniste, collectiviste et anti-humaniste qui est à l’œuvre.

L’étape ultime est bien sûr atteinte lorsqu’on commence à interdire et à punir ceux qui ont bravé les interdictions en leur donnant ensuite le choix entre le goulag ou le plomb.

On pourra cependant faire remarquer à Jancovici que l’Humanité se tournant vers le nucléaire et abandonnant le charbon (notamment chez les plus gros consommateurs), les efforts punitifs des Français en terme de voyages et d’animaux domestiques seront (en plus d’êtres nanométriques) parfaitement inutiles. Il devrait donc garder ses bonnes idées et se les appliquer soigneusement, ce qui lui interdira tout voyage en dehors des frontières française, le brave écolo ayant déjà amplement dépassé son quota personnel de délires carbonés en avion.


https://h16free.com/2023/12/04/76057-malgre-le-demi-tour-nucleaire-de-la-cop28-jancovici-veut-vous-sucrer-vos-animaux-de-compagnie

3 décembre 2023

Radu Portocala

Il y a eu, d’abord, l’auto-permis de sortir de chez soi – test d’obéissance d’une stupidité vertigineuse, mais qui a très bien fonctionné.

Il y a eu, ensuite, le certificat de vaccination – dont l’absence limitait gravement les droits fondamentaux.

Il y a eu, aussi, l’application sur les téléphones – qui créait, en premier lieu, l’obligation de posséder un tel appareil, et qui enregistrait et contrôlait les mouvements des individus et leurs rencontres.

On a entendu, bien sûr, ici ou là, quelques protestations, la société a rouspété, mais elle s’est soumise, elle a laissé le pouvoir étouffer son droit au choix, à la liberté. Le test a été un succès.

Il y aura, l’été prochain, le QR code permettant aux uns et aux autres de sortir de chez eux et d’y retourner – et, à la suite de ce qui a été accepté ces trois dernières années, il était tout à fait naturel que le pouvoir imagine cette nouvelle entorse à la liberté individuelle. On pourrait croire que, dans leur immense bêtise, ils imaginent que ce QR code arrêterait d’éventuels terroristes dans leur élan meurtrier. Supposition absurde ! En réalité, le pouvoir, engagé sur le chemin d’un totalitarisme aimable (et la France n’est pas une exception) se fait plaisir à raccourcir encore un peu la laisse par laquelle il tient la société, de se livrer à un test supplémentaire de servitude. Il sait que la société, dûment conditionnée, l’acceptera comme elle a accepté les autres.
Catherine Gaillard

On pourrait se sentir bien, là, sous ce beau soleil d'hiver, à jouir de la vie dans le pays que nos aïeux et nous-mêmes avons construit à force de sacrifices y compris, souvent, celui de leur vie pour les premiers. On ne l'aurait donc pas mérité ? On aurait seulement mérité les cyniques et les nains politiques qui se succèdent au pouvoir depuis 40 ans ? Et il nous faut supporter la mise au pilori et les insultes si on rechigne à se soumettre ? Il nous faut supporter les services publics en déliquescence, la baisse incessante des salaires, la précarité tous azimuts ? On a tout révisé à la baisse, y compris la sécurité que l'État doit à sa population. L'angoisse et la colère nous mordent toujours plus aux talons chaque jour, chaque heure pour nos enfants et petits-enfants, nos amis, nos voisins, nous. Comment un pays pourrait-il ne pas s'effondrer sur TOUS les plans dans ces conditions ?
Simplement, modestement, profiter d'une simple fin de semaine ensoleillée, reprendre un peu souffle sans le poison mortel qui se distille sans plus de trêve dans notre pays, même ça c'en est fini.

Florian Philippot

Encore un exemple concret du drame que représente le fait d’appartenir à l’UE !
- En mai dernier, Ursula a renégocié en douce les contrats de « vaccins » #Pfizer, ajoutant un avenant au contrat principal de mai 2021.
Or la #Pologne et la #Hongrie ont dit « Non, ça suffit ! On ne veut plus de doses. Plus personne n’en veut ! »
Et ont donc refusé de payer.
- Le problème c’est que c’est l’UE qui décide… Et donc aujourd’hui #Pfizer se retourne en justice contre la Pologne et la Hongrie et réclame à la première 1,5 milliard d’euros ! On saura bientôt le montant demandé à la Hongrie.
Du pur racket !
Libres, les pays auraient fait ce qu’ils voulaient et auraient pu envoyer balader Pfizer !

La Science face au Pouvoir

Avec la collaboration de Pryska Ducœurjoly et en partenariat avec BonSens.org

Avec la pandémie de Covid-19, nous sommes brutalement entrés dans l’ère du « biopouvoir », qui prétend s’appuyer sur des « vérités » scientifiques pour imposer des mesures liberticides et totalitaires. Peut-on encore parler de « science » quand le débat est censuré, quand toute critique est discréditée, voire pénalisée et ostracisée ?

Loin du pseudo-consensus fabriqué pour étouffer les voix dissidentes, des chercheurs indépendants résistent aux nouveaux dogmes, dont la biologiste Hélène Banoun, qui, avec ce livre, traite des questions cruciales : d'où vient le virus SARS-CoV-2 ? Que sait-on vraiment de cette maladie ? Pourquoi cet acharnement du pouvoir à ne pas la soigner ? Que penser de ces vaccins insuffisamment testés ? Quelles sont les conséquences de l'ARN messager injecté massivement ? Pourquoi tant d'effets indésirables graves ? En quoi cette gestion de crise préfigure-t-elle les prochaines ? Peut-on encore faire confiance aux autorités de santé ?

L'auteure nous livre des réponses dont il est urgent de prendre conscience, d'autant plus que les expériences sur les virus continuent et que le biopouvoir étend ses projets de vaccination généralisée à partir de thérapies géniques hasardeuses, en contournant les règles de sécurité élémentaires au nom de la « science » pour masquer le profit et la cupidité.

Un citoyen informé en vaut deux, c'est pourquoi La Science face au Pouvoir constitue un atout précieux pour rester vigilant face à ce que prépare le biopouvoir. Il en va presque de notre survie.

Pharmacienne-biologiste et ex-chargée de recherches à l'Inserm, Hélène Banoun est l'une des figures du Conseil Scientifique Indépendant, qui a offert de nombreuses vidéos pendant la crise Covid-19 sur la plateforme Crowdbunker. Plume régulière du site d’information médicale et scientifique Aimsib.org, elle publie également des articles sur le virus et la maladie Covid-19 dans des revues scientifiques à comité de lecture en tant que chercheuse indépendante. La Science face au Pouvoir est un livre sans concession et... sans conflit d'intérêt. C'est de plus en plus rare du côté du... biopouvoir.

2 décembre 2023

Nicolas Dupont-Aignan

Vidéo sur la nouvelle loi liberticide du gouvernement

https://www.facebook.com/100063717564298/videos/378238581327118

mélimélo

⬦ Je me marre… si on se demandait pourquoi les ministres avaient le droit de bénéficier d’une autre « justice » que celle des citoyens ordinaires, avec Dupond-Moretti, on a la réponse.
Pierre Duriot

⬦ Le déni du réel est un négationnisme idéologique permanent.
David Duquesne

⬦ On s’étonne que le Qatar ait réussi à se poser en médiateur et à obtenir une trêve en raisonnant le Hamas. Mais ma brave dame, ce sont quand même eux qui le financent. Un patron peut tout de même dire à son salarié de la mettre en veilleuse quatre jours…
Pierre Duriot

⬦ On est rassurés. Dorénavant, les membres du Rassemblement National ne tiendront plus de propos antisémites. Des propos racistes, oui ! Mais pas antisémites ! C’est déjà ça. Plus de « sale juif » ! Que des « sales nègres et sales arabes ! » On avance, mes sœurs et frères, on avance.
Erick Auguste

⬦ La deuxième langue la plus parlée dans mon quartier, c’est le français.
Catherine Gaillard

⬦ Tarifs des assurances et des mutuelles avec des hausses de plus de 15%. L'électricité : il faut s'attendre à près de 50%. Dans les magasins, les hausses succèdent aux hausses. BLM, le génie des Carpates montre tout son savoir-faire.
La bande à Macron a entrepris de nous faire les poches pour remplir le coffre de ses potes et payer des armes à toutes sortes de bandits.
Denis Collin

⬦ Croire qu'un homme peut tomber enceinte...
Au 21ème siècle, nombre d'Occidentaux se prétendent athées, pourtant ils croient à beaucoup de choses étranges.
Alexis Haupt

⬦ Dans les médias subventionnés par le gouvernement, ce qu'on tait, censure, ignore, est tout ce qui remet en question la version officielle et unique, tout ce qui la fragilise, contredit, dénonce. C'est aussi tout ce qui illustre les liens, les réseaux autour du pouvoir, ainsi que les conflits d'intérêts.
Beth Sabée

⬦ Je préfère être dans le vrai tout seul que dans le faux avec tout le monde.
Alexis Haupt

⬦ Dingue ! Une récente étude révèle qu’il serait possible de dîner au restaurant et même de prendre l’avion sans l’annoncer sur Facebook !
Marc Amblard
Pierre Duriot

Je me marre… un ingénieur canadien n’est pas tendre avec les voitures électriques, explique qu’on n’aura pas les moyens de produire assez d’électricité, si tout le monde passe à l’électrique, mais il explique aussi que tout le monde ne pourra pas passer à l’électrique, car il n’y aura pas assez de matières premières pour fabriquer les batteries. Lesquelles, en plus, nécessitent pour leur fabrication, des procédés pas écologiques du tout. Ce qui se sait depuis déjà un moment. Là-dessus, Tavares, qui n’est autre que le PDG de Stellantis, Peugeot-Citroën, explique qu’il est prêt à « tous les revirements possibles ». Ma foi, si ça ne sent pas la préparation psychologique à l’abandon des voitures de circuit 24, ça y ressemble…