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8 avril 2024

La violence à l’école n’est pas prête à s’arrêter

H16

-8/4/2024 - Jolie excursion en province française que l’actualité et les collèges du cru nous ont offerte la semaine dernière ! Ainsi, mardi, nous découvrions le charme discret de Montpellier où de petites querelles féminines entre collégiennes ont poussé certaines à en mettre une autre dans le coma. Mercredi, ce fut la calme ville de Tours où des collégiennes décidèrent d’en dépouiller une autre après l’avoir copieusement tabassée. Jeudi, c’est dans la riante Île-de-France, à Viry-Châtillon, qu’un collégien trouve la mort sous les coups de ses camarades de classe pour avoir osé fréquenter la mauvaise fille.

Décidément, l’école française explore de nouveaux domaines avec, il faut le dire, un succès mitigé : par exemple, les cours d’auto-défense, parfois prodigués à certains enseignants, ne semblent pas toujours porter leurs fruits. Certes, mais compte tenu du calibre de nos ministres et de l’impeccable compétence de notre administration scolaire, on sait déjà que les résultats s’amélioreront dès les prochains mois.


En attendant, force est de constater qu’on observe la répétition d’événements tragiques dans certains établissements de l’Hexagone. Le schéma, bizarrement, est toujours à peu près le même, avec des établissements réputés – depuis longtemps – calmes et sereins, dans des banlieues elles-mêmes très favorablement connues des services de police et de justice, des altercations impliquant systématiquement une victime et une demi-douzaine (au moins) d’agresseurs (le “un contre un” semble désuet) et des parents étonnamment absents du côté des racailles assaillants. Dans tous les cas, un facteur religieux est présent, sous forme de prétexte ou pour alimenter un communautarisme pratique et qui permet d’invoquer des lois supérieures à celles du pays.

Bien évidemment, à chaque fois, les autorités se retrouvent devant le fait accompli et font la démonstration de leur impuissance : bien que des alertes avaient été remontées dans le cadre scolaire ou que des plaintes avaient été déposées, rien de tangible n’avait été fait. Dans certains cas, le maire de la commune concernée passera dans les médias pour expliquer son courroux ou son désarroi, certains iront jusqu’à pleurnicher, mais cela n’ira guère plus loin.

De la même façon, à chaque fois, les médias se bousculent pour relayer des messages qui ont maintenant leurs tournures si éculées qu’elles en deviennent des gimmicks, depuis le padamalgam jusqu’au vivrensemble qui ne doit pas être discuté ni ne saurait être remis en question par ce qui sera, ensuite, systématiquement présenté comme un fait divers aussi malheureux que ponctuel ou purement coïncident.

Et peu importe que ce ponctuel se répète de plus en plus fréquemment, peu importe que les coïncidences finissent par faire des statistiques solides : rien ne devra être analysé dans un contexte plus large, et non, non et non, il ne s’agira surtout pas de communautarisme. Ce n’est pas du tout un problème de comportements général d’un quartier ou d’une population, c’est – bien sûr – une question de moyens dont on n’a jamais assez et qui nécessite la réapparition sur les plateaux télés des politiciens qui ont pourtant amplement prouvé leur inaptitude à traiter le problème lorsqu’ils en avaient l’occasion.


Pourtant, ces moyens n’ont cessés d’être déversés à gros bouillons d’argent gratuit des autres, et pas qu’un peu : une petite consultation même furtive des documents officiels qui détaillent les montants d’argent public engouffrés dans ces quartiers montrent que ces “moyens dont on manque” représentent systématiquement des dizaines de millions d’euros pendant des dizaines d’années (par exemple, Mosson, le quartier de Montpellier ou se sont déroulés les derniers faits tragiques, a bénéficié de 74 millions d’euros de fonds publics). À la fin, autant de milliards de l’État qui ne se traduisent par aucun résultat positif, au contraire.

Et quand ce n’est pas faute de moyens (dont on manque toujours cruellement), c’est parce que ces ghettos n’offrent aucune perspective… Toutes aussi absentes pour les collégiens au milieu de la Creuse ou de la Lozère mais dont la violence ne s’exprime apparemment pas de la même façon, voire… pas du tout. Étrange, non ?

Ce déni de comprendre qu’il ne s’agit ni d’un problème de moyens (ou de réseaux sociaux, comme l’explique stupidement Najat Vallaud-Belkacem sans pouffer de rire), ni d’un problème de pauvreté, s’accompagne du déni de l’aggravation de la situation. Pourtant, là encore, les statistiques sont sans ambiguïté.


En fait, le problème de fond, cette violence dans le cadre scolaire, est récurrent et s’est installé depuis des décennies. Il y a dix ans de cela, ces colonnes dressaient déjà le constat d’une violence largement insupportable au sein des établissements scolaires


Pire, l’état des lieux, pas reluisant, portait sur des enquêtes au long cours qui permettaient de retracer ces violences au moins cinq à dix ans en arrière, ce qui nous ramène au début des années 2000. Bref et au bas mot, cela fait 20 ans qu’on sait que ces problèmes s’accumulent et que cette violence ne cesse de croître.

Il y a vingt ans, cela se traduisait par du harcèlement, des enfants tapés dans la cour de récréation ou à la sortie du collège et cela se transforme maintenant par des adolescents qui viennent armés (couteaux, pistolets), qui menacent des enseignants et des élèves, qui passent à l’acte et qui les tuent, élèves comme profs. Samuel Paty, Dominique Bernard ont chèrement payé cet entêtement des institutions et des politiciens dans le déni.

Il ne faut pas se leurrer, les médias camouflent une double réalité abominable : d’une part, le fait que la situation est devenue catastrophique et les exhortations au padamalgam, au vivrensemble ne suffisent plus à rassurer les citoyens. D’autre part, le fait que les politiciens et l’administration s’en foutent complètement.

Oui, vous avez bien lu.

Si on pouvait encore vaguement croire il y a dix ans que politiciens et administrations étaient à la fois débordés et incompétents, on comprend maintenant qu’en réalité, ni les premiers (qui profitent tranquillement du pouvoir et des ors de la République) ni les seconds (qui bénéficient de la rente que procure leur position d’intermédiaires indispensables dans toutes les interactions dans le pays) n’en ont quelque chose à carrer.

En somme, on le sait déjà : le maire de Viry-Châtillon continuera de pleurnicher devant les caméras, comme d’autres le feront après lui. Personne ne veut réellement s’attaquer au problème, devenu de toute façon électoralement suicidaire et politiquement impossible à toucher.


https://h16free.com/2024/04/08/77244-la-violence-a-lecole-nest-pas-prete-de-sarreter

6 avril 2024

Vincent Verschoore

Voici exactement dix ans que débutait le conflit armé entre séparatistes du Donbass et l'armée ukrainienne.
Pour les européens de l'époque, comme l'atteste cet article du très mainstream Figaro d'avril 2015, les séparatistes réagissent à la nouvelle administration russophobe de Kiev (installée par les USA avec le Maïdan), d'abord par des actions plutôt symboliques (manifestations, occupations) puis par un durcissement suite aux premières victimes des militaires de l'armée régulière et, surtout, des militaires neonazis du groupe Secteur Droit.
Un durcissement organisé par des mercenaires russes, et qui commence à inquiéter les occidentaux, qui instaurent les accords de Minsk. Accords bidons, selon Hollande et Merkel, visant juste à gagner du temps pour "mettre à niveau" l'armée ukrainienne au standard Otan.

Pour les pro-russes, le 6 avril 2014 célèbre le début de la révolution populaire du Donbass contre le nouveau régime russophobe de Kiev.
On sait, depuis, que les USA transformaient déjà l'Ukraine en base avancée contre la Russie, avec entre autres, plusieurs bases secrètes de la CIA sur la frontière (NYT).
Dix ans et quelques centaines de milliers de morts plus tard, une bonne partie du Donbass est sous contrôle russe, l'Ukraine est en ruine et complètement vassalisée, l'Europe est au bord du gouffre, le complexe militaro-industriel US a détourné des dizaines de milliards, et la Russie est devenue un symbole mondial du rejet de l'hégémonie occidentale, et partenaire de la Chine.
Néanmoins, les euro-atlantistes se félicitent, et en veulent toujours plus. Nous sommes menés par des psychopathes, des traîtres et des criminels, jusqu'à quand ?


Jonathan Sturel

Jean-Michel Aphatie (@jmaphatie) n'est pas plus idiot que la plupart de ses confrères des médias ni plus à gauche qu'eux : il est seulement moins habile, moins capable de comprendre que lorsque le fond fait à ce point défaut il faut parfois déguiser la forme pour au moins faire illusion.
La réalité est que le petit milieu médiatique est tout entier acquis à ces idées qui agitent un Aphatie complètement dépassé par les nouvelles réalités imposées par les réseaux sociaux et qui pense naïvement qu'en 2024 on peut encore assumer ces outrances comme on le pouvait au temps où les Français n'avaient aucun outil pour riposter. Les réseaux sociaux ont mis entre les mains des Français cet outil qui leur manquait, et maintenant les gens comme Aphatie ne peuvent plus divaguer sans qu'on leur fasse remarquer que le spectacle pathétique auquel ils se livrent est humiliant pour eux et salissant pour nous.
Ils ne le peuvent plus, ou beaucoup moins, alors ils s'abstiennent de trop divaguer, ou beaucoup moins, ou beaucoup plus subtilement. Sauf Aphatie qui se rêve encore dans la peau du donneur de leçons qu'il a toujours été derrière sa carte de presse et qui continue d'agir comme un bourrin, comme une brute scandalisée de découvrir que les Français, dès lors qu'ils s'affranchissent de sa tutelle, rejettent ses idées et adoptent celles qu'il déteste.
Les nombreuses divagations quasi-séniles d'Aphatie sur ce réseau, ses trépignements d'ancien enfant gâté à qui on a retiré son jouet, cette bile qui déborde de chacun de ses tweets ne sont pas la démonstration qu'un homme en vieillissant devient gâteux : ils sont la preuve qu'un gauchiste convaincu de sa supériorité morale devient ingérable émotionnellement lorsqu'il se trouve privé de pouvoir régner sans partage sur les consciences.
En somme, voyant venu la fin de son règne, Aphatie brûle ses vaisseaux et se perd en déclarations chaque fois plus brutales, plus caricaturales, plus imbéciles, plus médiocrement provocatrices, en se disant probablement qu'il n'a plus rien à perdre et qu'il n'a plus besoin de faire semblant d'être journaliste maintenant qu'il est évident pour tous qu'il ne l'a jamais été.
Je vous l'assure : Jean-Michel Aphatie est notre meilleur allié involontaire. Grâce à lui nous n'avons plus besoin de mettre en garde contre les dérives brutales et haineuses de la gauche : Aphatie en livre lui-même le spectacle. Nous n'avons plus besoin de convaincre qu'il y a en France des gens qui ne rêvent que de la salir : les mictions verbales d'Aphatie multiplient les démonstrations. Nous n'avons plus besoin d'alerter contre la déconnexion entre les petits milieux parisiens et le pays réel : il suffit de regarder Aphatie s'agiter contre tout ce qui compose la réalité anthropologique, culturelle et populaire de notre pays. Tout le programme de la gauche est là qui nous regarde avec les yeux ahuris de Jean-Michel Aphatie.
Remercions le Ciel de nous avoir donné un adversaire qu'il n'est même pas nécessaire de combattre et qui travaille de lui-même à nous donner raison. Il est tellement balourd qu'il a réalisé l'exploit d'être lui-même le remède involontaire contre son propre venin !
Et plaisons-nous à imaginer à quel point Aphatie doit mettre mal à l'aise son petit milieu, ses petits confrères-complices qui eux, soucieux par malice de rester des versions plus discrètes de ce qu'est ostentatoirement Aphatie, doivent intérieurement lui reprocher d'aider aussi frontalement à rendre visible ce qu'ils essaient de cacher sur eux-mêmes. D'ailleurs, voyez-vous beaucoup de journalistes prendre la défense d'Aphatie lorsqu'il se fourre dans ses polémiques ridicules ? Vous savez tout.
Jean-Michel Aphatie n'est pas du tout une excroissance honteuse de la gauche dont il trahirait le message par ses excès. Il est la gauche, exactement la gauche, c'est-à-dire par définition la véritable intolérance, la tentation totalitaire, l'irritabilité face à la contradiction, la passion monomaniaque et évidemment la haine profonde, viscérale, contre la France et contre les Français. Et c'est cela la gauche, y compris lorsqu'elle ne l'assume pas aussi directement que lui. Il n'est pas une excroissance, il est la face émergée de l'iceberg.
Ce type rend des services gigantesques à ceux qui précisément veulent combattre l'entre-soi, le petit milieu et la gauche en général. Alors par pitié, continue Jean-Mi !

5 avril 2024

Tiephaine Soter

Il aura fallu 180 jours pour que la vérité atteigne la presse française : il n'y a jamais eu de bébés décapités lors de l'attaque commise par le Hamas le 7 octobre.
On le savait évidemment dès le départ : la source émanait d'une journaleuse de i24, qui affirmait tenir son scoop de soldats israéliens qui n'ont jamais été identifiés, sans aucune image (alors qu'ils adorent montrer du sang flouté)... Même le chargé de relations publiques de Tsahal a préféré se tenir à distance de ces propos "non confirmés".
Puis la machine de propagande s'est emballée : Biden a affirmé avoir vu les photos, avant que la Maison Blanche corrige en disant se baser sur les dires de soldats israéliens, Aurore Bergé, alors ministre des solidarités, a carrément parlé de négationnisme pour désigner les personnes saines d'esprit qui avaient compris la manipulation, Darmanin a fait arrêter une vingtaine de personnes qui dénonçaient une fausse information employée à des fins de propagande, et je ne vais même pas parler de tous ces "experts de plateau" qui nous ont expliqué qu'on était des nazis si on dénonçait les mensonges des propagandistes...
À la décharge du Monde, pour une fois, ils ont dès le départ parlé de cette histoire comme d'une "rumeur non confirmée", prenant les précautions journalistiques d'usage normales.
Bébés décapités, bébé au four, femme enceinte éventrée, viols de masse... toutes ces histoires sont de la propagande pure, la plupart reprises d'atrocités commises par les sionistes au cours des innombrables conflits qu'ils ont menés contre les populations arabes depuis les années 1920, bien avant, même, de fonder le pseudo-Etat criminel qui aujourd'hui commet un génocide à Gaza avec la complicité de notre gouvernement et de quelques autres.
Le sionisme est une idéologie criminelle qui doit être combattue et annihilée au même titre que le National-Socialisme, le Djihadisme et le Communisme. Ses promoteurs doivent être pénalisés, ses propagandistes doivent être réduits au silence, et ses complices doivent être retirés de toute fonction publique et jugés.

LA GUERRE DES MOTS

Gabriel Nerciat

5/4/2024 - Quand les Juifs furent molestés puis assassinés en Seine-Saint-Denis ou à Toulouse, au début de ce siècle, les élites et les petits-bourgeois diplômés ne protestèrent pas, ou peu.
Il faut dire qu'ils n'étaient pas Juifs, et même quand parfois ils l'étaient, se disaient qu'on ne devait pas généraliser ni remettre en cause ce qui ne pouvait pas l'être (une intellectuelle gauchiste d'origine ashkénaze, Illana Weizman, s'est même offert son heure de gloire, il y a quelques années, en expliquant doctement sur les radios d'Etat que "les Juifs ne sont pas des Blancs comme les autres").
Puis, quand des caricaturistes et des journalistes laïcards furent massacrés, les journalistes crurent opportun de dire que c'était à cause des religions. Polyeucte, c'est un type violent, c'est connu, et d'ailleurs Voltaire ne l'aimait pas. Jacques Maritain non plus.
Puis, quand ce fut au tour d'un prêtre catholique ou de militaires en uniforme d'être tués, les évêques de France intervinrent pour dire que tous les fils d'Abraham étaient des frères ; un sociologue de renom très réputé sur l'analyse des faits religieux publia même un article dans Le Monde pour rappeler que les anarchistes athées du XIXe siècle ne faisaient pas mieux.
Puis, quand ce furent de simples civils et adolescents de souche européenne qui tombèrent à leur tour dans des villages assez relégués des provinces rurales périphériques, les mêmes journalistes qui "étaient Charlie", Patrick Cohen et Caroline Fourest en tête, déboulèrent en disant que ce n'était pas vrai ; que ce n'étaient que des menteries proférées par Vincent Bolloré pour faire élire Marine Le Pen.
Enfin, quand ce sont de jeunes musulmanes d'origine maghrébine qui manquent de mourir parce qu'elles s'habillent en européennes et se teignent les cheveux en rouge, que dit-on ?
Qu'il faut être prudent, et ne pas parler à la légère de sujets qui pourraient devenir graves. Peut-être que ce n'est qu'une histoire de filles hystériques et de jeux vidéos, après tout (RTL, BFM-TV et Libé sont déjà sur le coup pour accréditer la thèse).
C'est ainsi que la colonisation de la nation et du continent se fait et se poursuit, avec les meurtres et les violences qu'entraîne toute colonisation, sans qu'on prenne vraiment la peine de la nier explicitement ou de la commenter.
On sait très bien que dès que les mots et les noms adéquats seront communément utilisés (même celui de "Grand Remplacement" est assez vain et désormais neutralisé), plus rien n'empêchera le pire de s'imposer.
Alors, même ceux qui sont prioritairement visés jugent indispensable de ne pas les proférer. Jamais, en aucun cas.
Comme dans le fabliau médiéval où le croquant qui dit "crapaud" se met soudain à les éjecter de sa bouche.

4 avril 2024

LA MAIN DANS LE POT DE CAVIAR

Gabriel Nerciat

4/4/2024 - C'est tout notre banquier président, ça.
D'un côté, on joue soudain au matamore d'opérette pour faire de l'esbroufe à Bruxelles, et "en même temps", de l'autre, on téléphone en douce aux Russes pour tenter de préparer avec eux la future partition territoriale de l'Ukraine, en espérant que l'inévitable débâcle pourra être vaguement contenue pendant encore six mois.
Seulement voilà : Poutine a la mémoire longue, et n'a pas oublié les mauvaises manières de Macron rendant publiques, au début de la guerre, dans un documentaire de France 2, ses conversations secrètes avec lui. Toujours pour faire de l'esbroufe.
Comme il n'a pas oublié les revirements versatiles de la France à propos du respect des accords de Minsk, entre 2017 et 2022.
Du coup, cette fois, c'est Poutine qui cafte.
Bien fait pour Macron. Et pour nous.
Moralité : quand on veut jouer au malin, il faut l'être vraiment. Sinon, on passe à la fois pour un sot (à Moscou) et pour un traître (à Bruxelles et à Kiev).

Jonathan Sturel

Avril 2022 - Plus on creuse le dossier McKinsey, plus on découvre que ce truc est réellement un baril de nitroglycérine capable, si la justice se réveille un jour, de faire exploser la macronie en plein vol.
McKinsey travaillait donc à conseiller plusieurs États dont l'État français, notamment sur la politique vaccinale, et travaillait en même temps pour Pfizer qui était le principal fabricant, distributeur et rentier de la vaccination dans le monde.
Et McKinsey a organisé, pour les États, la stratégie vaccinale après les avoir convaincus de faire le choix de la vaccination la plus large possible. Comme par hasard.
McKinsey ne fait donc pas seulement du «conseil» mais également du lobbying : on peut en effet raisonnablement comprendre que la société Pfizer a payé le cabinet McKinsey, dont elle connaissait le degré d'influence dans les appareils institutionnels, pour qu'il oriente les États vers les choix les plus favorables financièrement à Pfizer. Ce qu'il a fait. C'est la définition du lobbying. C'est même carrément de l'infiltration.
Quant à l'État, savait-il que son client McKinsey travaillait aussi pour le principal vendeur de vaccins ? Et puisqu'on pose les questions qui fâchent : l'État savait-il que McKinsey est impliqué directement dans le scandale américain des opioïdes et qu'il a un parcours judiciaire long comme le bras ? Poser la question, c'est y répondre, car il le savait bien sûr.
Tout est absolument dingue dans cette histoire. Quand on pense que pendant que ce truc se mettait en place, la crème du journalisme d'investigation en France en était réduite à chercher des poux dans la tête de Raoult, tandis que les anti-complotisses professionnels, y compris les nains de l'Incorrect, multipliaient les articles incendiaires et hallucinés contre Fouché, Perronne ou France Soir.
Disqualification morale, intellectuelle et politique définitive pour ces tocards.
Yann Thibaud

3/4/2024 - La « Sainte Russie » terre éminemment et éternellement mystique, a tout pour s'entendre, se comprendre et s'apprécier mutuellement avec la France « fille aînée de l'Église », nation des abbayes et des cathédrales, des druides et des cathares.
Sauf aux yeux de notre élite nihiliste et décadente, parce que sinistrement matérialiste, dont la haine de la Russie n'est autre que la conséquence de sa haine et de son mépris pour toute forme de transcendance ou de spiritualité.
Ne nous laissons donc pas entraîner et manipuler par des médias et responsables politiques, aussi incultes qu'incompétents, dans la détestation du plus grand pays du monde, partie intégrante de l'Europe et dont la survie est intimement liée à la nôtre.
Ceci d'autant plus que l'âme de la France a pour mission et raison d'être de devenir ou redevenir un lieu d'équilibre, de dialogue, d'harmonie et de coopération avec tous les peuples de la Terre.
C'est cet universalisme et cet idéalisme qui font la grandeur de la France.
Ne l'oublions pas et ne renions pas nos véritables valeurs, aujourd'hui lamentablement et tragiquement trahies, oubliées et reléguées au rang de vagues souvenirs folkloriques.
La France n'est grande et ne sera grande que lorsqu'elle renouera avec sa vocation mystique éternelle.
La question spirituelle est donc au cœur de la question civilisationnelle, enjeu et défi de notre renouveau, en tant que peuple et en tant que nation.

mélimélo

⬦ Le 1er avril, c’est le seul jour où nos médias mentent sympathiquement.
Gilles Casanova

⬦ Le gouvernement envisage le remboursement des frais de santé... en fonction des revenus. Macron veut imposer le système américain : les riches ont leur assurance et les pauvres, comme les classes moyennes, une sécurité sociale de merde. BlackRock est content. L'investissement sur Macron aura été payant.
Kuzmanovic Georges

⬦ Dans le monde réel, Zelensky a fait annuler les élections de son pays pour se maintenir en place.
Dans le médiavers, le méchant c'est Poutine quand même.
Alexis Haupt

⬦ Vous ne posséderez rien mais vous serez heureux, et si vous dénoncez ce projet de paupérisation et de dépossession, vous irez en prison.
Klaus Schwab, mise à jour

⬦ Il y a une course de vitesse entre les peuples qui commencent à se réveiller et l'oligarchie qui accélèrent le programme de peur que les peuples ne fassent voler en éclats, avant sa réalisation, le programme qui a été conçu.
François Asselineau

⬦ La guerre Ukraine-Russie n'est pas notre guerre. Il faut tout faire pour empêcher un embrasement qui pourrait se transformer en conflit mondial. Les va-t-en guerre sont des irresponsables criminels.
Denis Collin

⬦ Avec prétention et stupidité Anne Hidalgo n'attaque pas les dirigeants russes mais s'en prend au peuple russe. Joli coup !
Gilles Casanova

⬦ Face à moi, la foule n’a pas de légitimité.
E. Macron

⬦ Les Verts (de gris) votent l'accord de coopération militaire avec l'Ukraine : nous aurons donc une guerre "durable", "écologiquement soutenable", des obus bios et des fusils mitrailleurs non virilistes. Bref la guerre verte !
Denis Collin

⬦ Même la justice ukrainienne vient de le reconnaître : dans la « Révolution Euro-Maïdan », en 2014, ce sont les insurgés, actuellement au pouvoir, qui ont délibérément tiré sur leurs amis pour lancer le coup d'État. Dure vérité.
Gilles Casanova

⬦ La France et l'Allemagne ont une responsabilité directe dans la guerre en Ukraine. Si Hollande et Merkel avaient tenu leurs engagements et fait respecter les Accords de Minsk signés en 2015, cette guerre aurait été évitée.
Véronique Faucheux

⬦ L'exécutif européen contrôle et sanctionne (le cas échéant) la diffusion de l'information sur internet. On dirait Poutine.
Denis Collin

⬦ Pourquoi parlent-ils de « fin de vie » ? Le mot « mort » ne convient-il plus ? Il offusque la nouvelle pensée rose ?
Dans un monde qui devient son propre ersatz, la « fin de vie » serait, donc, une « mort » édulcorée…
Il faudrait peut-être, par souci de symétrie et de cohérence, remplacer « naissance » par début de vie ».
Radu Portocala

⬦ Dans ce monde pourri par l'argent ou plus précisément par l'appât du gain, il est de plus en plus difficile d'avoir confiance en l'humain.
Véronique Faucheux

⬦ On ne peut pas combattre la Vérité et encore moins l'abattre. Car la Vérité est immuable et intemporelle quand le mensonge est une construction de l'esprit.
Véronique Faucheux

⬦ Il n’y a jamais eu de crise pandémique. Ni de crise climatique. Le monde vit juste une crise de corruption.
Marc Amblard

⬦ Tôt ou tard, tout le monde deviendra "complotiste", c'est-à-dire comprendra qu'ils nous mentent du matin au soir. Ce n'est plus qu'une question de temps.
Alexis Haupt

LE SOCIAL-LIBÉRALISME POUR L'ÉTERNITE

Gabriel Nerciat

Toujours plus d'impôts.
Toujours plus de dettes.
Toujours plus d'Europe.
Toujours plus de libre-échange.
Toujours plus de migrants.
Toujours plus de normes.

Cinquante ans que ça dure, sans interruption, depuis la mort de Pompidou.
A croire que les élites françaises ne connaissent rien d'autre que ce calamiteux mantra, et que leurs électeurs, sur plus de deux générations, ne s'en lassent pas.
Même quand il est proféré par une dinde parfaitement insignifiante.
Bon, eh bien, ma foi, continuons la ronde, n'est-ce pas, jusqu'à la chute finale du régime.

Toujours plus d'impôts.
Toujours plus de dettes.
Toujours plus d'Europe.
Toujours plus de libre-échange.
Toujours plus de migrants.
Toujours plus de normes.
 
Joyce Jonathan, l'ancienne petite amie de Gabriel Attal qui l'a dégoûté des filles, devrait en faire une chanson.
Tube garanti.