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1 juin 2024

Kuzmanovic Georges

2/6/2024 - Le "Mozart de la finance" (autre surnom fallacieux que traîne Macron) et son écrivain-ministre à temps partiel sont lâchés par les marchés qu'ils servent pourtant avec ferveur.
C'est qu'un gouvernement qui organise l'évasion fiscale et l'assistanat des grandes entreprises dans une UE faite pour affaiblir les Etats par la concurrence entre fiscalités, cela finit par être jugé fragile même à ceux qui en profitent.
Il est urgent de remettre de l'ordre : contrôle de la circulation des capitaux, protectionnisme, imposition des Français résidents dans des paradis fiscaux, progressivité de l'imposition des entreprises, révision générale des niches fiscales...
Au lieu de cela, le Gouvernement accumule une dette irresponsable qui lui sert à justifier sa réduction de l'action de l'Etat et une énième réforme de l'assurance-chômage qui s'apparente à un impôt sur les chômeurs.
Comme le disait Warren Buffett, "la guerre des classes existe bien, et c'est nous, les riches, qui sommes en train de la gagner".
Mais Nous le Peuple, nous relevons le défi de cette guerre faite au peuple. Car ne nous y trompons pas, toute cette dette accumulée, la hausse des taux, le paiement exorbitant de l’intérêt de la dette (qui profite aux plus riches et aux multinationales financières comme Black Rock), c'est du pain béni : cela servira à justifier de démanteler un peu plus ce qui reste de notre modèle social, tour en arrosant les copains au passage.
Pour eux la dette est une nouvelle opportunité, pas un problème.

31 mai 2024

Pierre Duriot

AFFAIRE TRUMP : PETITE MISE AU POINT RAPIDE SUR LE VERDICT DE CULPABILITÉ

Marc Amblard

1. De quoi Trump a-t-il été reconnu coupable ?

Falsification de dossiers commerciaux dans le cadre d’une transaction visant à calmer les ardeurs d’une ancienne actrice X qui le faisait chanter.

2. Quand la condamnation sera-t-elle annoncée ?

En juillet prochain.

3. Pourra-t-il faire appel ?

OUI. Il aura 30 jours à compter du verdict de New York pour déposer un avis d'appel et 6 mois pour constituer le dossier d’appel complet.

4. Une condamnation pourrait-il l’empêcher de se présenter à la présidence ?

NON. La Constitution dispose qu'un candidat doit être âgé d'au moins 35 ans, être un citoyen américain de naissance et résider dans le pays depuis au moins 14 ans. Il n’y a rien de noté sur les accusations criminelles.

5. Pourrait-il s’amnistier s’il était élu en janvier prochain ?

Non. Parce qu’il s’agit d’une condamnation d’État. Les présidents n'ont compétence que sur les condamnations fédérales.

6. D’un point de vue purement légal, Trump pourrait-il exercer la fonction de président s’il purgeait une peine de prison ?

OUI. Il pourrait toujours légalement exercer les fonctions de président derrière les barreaux. Cependant, le 25e amendement à la Constitution stipule que le vice-président peut assumer temporairement ses responsabilités lorsque le président est dans l’incapacité de le faire.

7. Si les procès engagés contre Trump ne peuvent pas l’empêcher d’être candidat, pourquoi les démocrates sont si véhéments ?

Parce qu’ils veulent qu’il se présente avec l'étiquette d'un condamné plutôt que celle d'un ancien président. Je ne dis pas qu'il s'agit forcément d'une stratégie gagnante, je dis simplement que c'est le but que recherchent ses opposants politiques. On ne connait pas encore le réel impact sur les électeurs américains. Il faudra attendre la semaine prochaine, le temps qu'ils digèrent l'information.

31/5/2024

L’impossible recyclage du plastique

H16

31/5/2024 - Très régulièrement, à la faveur d’une campagne de propag… pardon de conscientisation par l’une ou l’autre organisation de lobbying non gouvernemental, on découvre que l’Humanité rejette une quantité ahurissante de plastique dans la nature, que c’est une catastrophe et que nous allons tous mourir, ce qui explique au passage les lois de plus en plus drastiques imposées à tous les Occidentaux.

Si le rejet dans la nature de ces quantités de plastique ne fait pas de doute, il est toujours un peu surprenant de voir les Occidentaux systématiquement désignés coupables de ces kilomètres cubes de pollution alors qu’à 90%, elle provient de huit fleuves situés en Asie (le Yangtsé étant le premier d’entre eux) et de deux fleuves situés en Afrique. Mais baste, passons : pendant que les Chinois et les Africains salopent leur environnement comme jamais, il est maintenant devenu rituel de morigéner les Européens et de les tympaniser avec un recyclage des plastiques… pourtant quasiment impossible à réaliser.


Eh oui : c’est une information que les écolos et l’industrie n’aiment guère ébruiter mais le recyclage des plastiques est, pour tout dire, une opération si complexe qu’elle est globalement à peu près impossible à rentabiliser. Notamment, les procédés actuels de tri des déchets sont très grossièrement inefficaces et à peu près inutiles.

Tant aux États-Unis qu’en Europe, les études sérieuses menées sur cet aspect aboutissent aux mêmes conclusions : d’une part, la grande majorité des déchets plastiques ne sont pas recyclés du tout, et d’autre part, c’est essentiellement parce qu’ils ne sont pas recyclables.

Pour les États-Unis par exemple, on estime qu’entre 1990 et 2015, autour de 90% des plastiques produits ont fini dans une décharge ou ont été brûlés, 6% ont été recyclés et le reste s’est perdu dans l’environnement.

En fait ce qui est marqué comme recyclable ne l’est que difficilement dans le meilleur des cas, et pas du tout sinon : par exemple, si l’on s’en tient aux définitions de ce qui est recyclable dans le Guide Vert de la FTC américaine, aucun article de restauration en plastique (y compris les couvercles de gobelets en polypropylène que Starbucks vante comme étant recyclables) n’a jamais été recyclable. À ce jour, il n’existe de marchés viables que pour le polyéthylène téréphtalate (PET) et le polyéthylène haute densité (PEHD).

Du reste, même des officines dont on ne peut remettre en cause l’éco-conscience, comme Greenpeace, notent que ce recyclage est une erreur écologique en plus d’en être une économique.

De surcroît, la manie qui consiste à multiplier le recyclage au niveau du consommateur (le tri sélectif) est celle qui produit les moins bons résultats : non seulement les consommateurs se lassent, mais l’infrastructure (de collecte) est rendue d’autant plus complexe ce qui finit par avoir un coût astronomique pour toute la société. Comme le notait en 2021 un think-tank suisse (qui ne sont pas réputés pour être les citoyens les plus crados de la planète, n’est-ce pas), il est à la fois plus efficace et plus économiquement pertinent de faire le tri directement aux déchetteries (le taux de recyclage augmente alors de 15%, et le volume recyclé augmente aussi).

En fait, tout indique que le recyclage actuellement forcé au niveau des consommateurs ne fonctionne pas, mais permet d’apaiser les éco-consciences meurtries des citoyens syntonisés avec Gaïa à force de propagande permanente.


Ces constats posés, il n’en reste pas moins que la production de plastique entraîne inévitablement un coût environnemental, coût qu’il convient de conserver aussi faible que possible.

Si la partie qui est brûlée est relativement facile à gérer (on sait éliminer la pollution atmosphérique de ce procédé et on obtient à présent d’excellents résultats dans les pays occidentaux), la partie qui ne l’est pas nécessite la recherche active de solutions de remplacement viables. On s’étonnera par exemple que les sacs en papier – matière beaucoup plus facile à recycler, comme l’acier ou le verre – aient été remplacés au courant des années 70 et 80 par des sacs en plastiques, au prétexte à l’époque de “sauver les arbres”. C’était évidemment de la foutaise et le résultat d’un lobbying efficace de la part de l’industrie plastique.

Cependant, tout indique que la direction générale prise dans les pays riches est la bonne, dans l’idée sinon dans les applications : réduction de la quantité d’emballages plastiques et remplacement par des alternatives plus simples à recycler (typiquement, le carton ou le papier dont plus des deux tiers en volume sont déjà facilement et économiquement recyclés), utilisation prioritaire de plastiques facilement recyclables et incitation des industriels et des consommateurs par des réductions d’impôts sont quelques unes des pistes envisageables et souvent mises en place.

Mais de façon générale, le principal facteur (et de loin) permettant de diminuer l’impact des productions industrielles sur l’environnement, que ce soit dans le cas du plastique ou, finalement, de tout le reste, c’est l’accession du plus grand nombre possible d’individus à un niveau de vie supérieur : cette augmentation de la richesse permet de prendre en compte les impératifs environnementaux dans les produits dès leur conception, ce qui les rend souvent plus chers, et de payer pour leur recyclage dès leur achat.

Ceci n’est tout simplement pas envisageable dans les pays pauvres tant que n’est pas apparue une classe moyenne suffisamment nombreuse et riche qui peut commencer à consacrer une partie de ses dépenses pour autre chose que les besoins de base. Ceci est vrai quels que soient les arguments des écologistes dont l’erreur a toujours été de faire passer l’environnement avant les humains.

Autrement dit et au contraire de ce que pérorent tous les activistes écolo-climatistes forcenés et autres dangereux gaïatollahs, la meilleure façon de diminuer la pollution sur Terre et de réduire l’impact des activités humaines sur l’environnement n’est pas de réduire la croissance humaine, de ramener la population à un passé largement fantasmé (mais aussi largement moins écologique et beaucoup plus polluant).

Non.

La réduction de la pollution se fera en augmentant la richesse des individus, ce qui veut dire favoriser le développement humain et la recherche scientifique, donc le capitalisme.


https://h16free.com/2024/05/31/77055-limpossible-recyclage-du-plastique

30 mai 2024

"À tort ou à raison"

"On ne sait jamais qui a raison ou qui a tort. C'est difficile de juger. Moi, j'ai longtemps donné raison à tout le monde. Jusqu'au jour où je me suis aperçu que la plupart des gens à qui je donnais raison avaient tort ! Donc, j'avais raison ! Par conséquent, j'avais tort ! Tort de croire qu'ils avaient raison. C'est-à-dire que moi qui n'avais pas tort, je n'avais aucune raison de ne pas donner tort à des gens qui prétendaient avoir raison, alors qu'ils avaient tort. J'ai raison, non ? Puisqu'ils avaient tort ! Et sans raison, encore ! Là j'insiste, parce que... moi aussi, il arrive que j'aie tort. Mais quand j'ai tort, j'ai mes raisons, que je ne donne pas. Ce serait reconnaître mes torts !!! J'ai raison, non ? Remarquez... il m'arrive aussi de donner raison à des gens qui ont raison aussi. Mais, là encore, c'est un tort. C'est comme si je donnais tort à des gens qui ont tort. Il n'y a pas de raison ! En résumé, je crois qu'on a toujours tort d'essayer d'avoir raison devant des gens qui ont toutes les bonnes raisons de croire qu'ils n'ont pas tort."
Raymond Devos

Votre épargne bientôt ponctionnée par l'UE ? (vidéo)

Tom Benoit / Philippe Béchade

https://www.youtube.com/watch?v=hnGmSmwXXo0

Emmanuelle Mignon


« S’il est un reproche qu’on ne peut faire à Emmanuel Macron, c’est de manquer de confiance en lui. Alors que l’immigration atteint des sommets, que le niveau de violence est sans précédent, que la dette publique a augmenté de 1 000 milliards d’euros en sept ans – dont 250 seulement à cause du Covid – que partout les services publics se dégradent, que notre influence diplomatique est en repli et que le Rassemblement national risque de faire un score jamais égalé aux élections du 9 juin prochain, il faut somme toute un certain culot pour s’afficher fièrement à la Une de L’Express avec cette formule péremptoire : « Notre stratégie est la bonne ». « Tout va très bien, Madame la Marquise », aurait sans doute été plus approprié. »
L'Express - 29/5/2024

29 mai 2024

Tiephaine Soter

Le parti Renaissance a donc réussi à faire voter un amendement pour modifier les conditions d'accès aux "soins" pour les détenus et les résidents d'établissements psychiatriques, dans le cadre de la loi sur la "fin de vie digne" en cours de débats à l'Assemblée. Il ne s'agit pas de "soins", ici, mais bel et bien de l'euthanasie.
On parle clairement d'aller injecter une substance mortelle à des détenus et des malades mentaux, pour "soulager leurs souffrances". Dans le cadre des malades mentaux, qu'ils soient atteints de façon permanente ou transitoire (dépression...), il faut savoir que légalement, leur consentement ne peut être considéré comme valable à lui seul, pour des raisons évidentes : quand on n'est pas soi-même, on ne peut consentir.
L'amendement que le parti au pouvoir a fait voter avec succès permet de contourner ce consentement de l'individu, en le confiant à des personnes tierces : membres de la famille, proches, médecins. On pourra tuer en toute légalité des personnes à l'état mental altéré. C'est, à tous les égards, exactement ce qu'a commis le régime hitlérien avec l'Aktion T4 : l'euthanasie des malades et handicapés mentaux.
Dans un sens, cela revient à valider la peine de mort pour les "déséquilibrés" du couteau. Mais globalement, on sait très bien que ça va surtout servir à exterminer les personnes atteintes d'un trouble pour faire des économies sur les caisses maladie.
Renaissance est le parti de la mort.

Un débat grotesque

Maxime Tandonnet


29/5/2024 - 500 000 : c’est l’audimat moyen du débat collectif du 27 mai sur BFMTV, dans le cadre de la campagne des élections européennes ; soit, environ, un électeur français inscrit sur cent. Et combien de téléspectateurs ont-ils tenu trois heures et dix minutes devant un spectacle aux accents de cour de récréation, à l’image de M. Glucksman demandant à la candidate des Insoumis de « lui lâcher les baskets » ? C’est dire si les échanges entre les huit têtes de liste ne peuvent avoir qu’une influence marginale sur les sondages et sur le résultat du scrutin. D’ailleurs, ce débat se présentait comme un fidèle reflet d’une vie politique française dominée par la déconnexion envers le pays profond.

M. Bardella était la cible de la plupart des candidats, fréquemment pris à partie par les quatre partis de gauche représentés et par Mme Valérie Hayer. La formule maudite « extrême droite » revenait comme un Leitmotiv et même la sempiternelle accusation de « pétainisme » de la part du candidat communiste ou « d’absence de toute humanité » de la part d’une autre tête de liste… Résultat : d’après un dernier sondage, M. Bardella progresse encore à 34% !

En effet, dans un climat de défiance populaire envers le monde politique, se déchaîner collectivement sur un individu, au point de le placer en position de paria, revient à lui offrir un avantage inespéré. Le président du RN ne propose rien de plus que les autres qui soit de nature à lui valoir une telle réussite sondagière. Cependant, une partie de l’écœurement populaire s’identifie à son image. Sur elle se cristallise, par un effet de psychologie des foules, la réaction d’une frange importante de la France profonde au sentiment de déclassement et de mépris envers elle de la classe dirigeante.

Plus ils cognent sur le RN, plus ils le font monter. Le débat précédent, entre M. Attal et M. Bardella, a une fois de plus illustré ce phénomène. Donné perdant (sinon écrasé) par la plupart des experts et « politistes », le président du RN était considéré comme plutôt gagnant par l’opinion publique, selon divers sondages. Que les responsables politiques ne voient pas ce phénomène d’identification populaire au paria est un signe patent de déconnexion ou d’aveuglement. Car ces élections du Parlement européen constituent avant tout un défouloir. Elles rejouent en 2024, dans les urnes, la crise des Gilets jaunes. La force de la liste RN ne tient pas à un projet ni à des idées (lesquelles ?), ni aux personnalités qui l’animent. Sa force tient à son statut de pestiféré qui lui permet d’incarner, mieux que les autres, le rejet populaire du pouvoir actuel.

Ce contexte explique aussi le naufrage de Mme Valérie Hayer, qui n’est sûrement pas moins compétente que la moyenne des autres candidats… Elle se trouve à contre-courant d’un puissant mouvement populaire d’hostilité envers le pouvoir en place et les hommes qui l’incarnent. Déstabilisée quand l’un des animateurs a sollicité son avis sur la guerre entre la Russie et l’Ukraine, elle s’est contentée de répondre « je ne suis pas experte de ce sujet ». Cette réponse quasi suicidaire est révélatrice d’un profond malaise, sans doute amplifié par l’initiative sans succès de M. Attal se substituant à elle pour débattre contre M. Bardella ou les déclarations transgressives d’un chef de l’Etat – en principe au-dessus de la mêlée politicienne en tant que président de tous les Français – désireux de descendre dans l’arène et d’en découdre à sa place contre le RN.

Dans ce contexte, les approximations et les absurdités se perdaient dans la tourmente, à l’image de cette candidate proposant une nationalisation européenne de la compagnie Total… Mais en outre, les velléités d’élever le débat en parlant du fond des dossiers ne suffisent pas à modifier le cours d’un fleuve en colère. M. Bellamy, une fois encore, a montré – sans invective ni attaque personnelle – sa maîtrise des questions européennes, par exemple sur le pacte européen pour l’immigration ou l’interdiction des véhicules thermiques. Quelques jours auparavant il avait crevé l’écran en suscitant un large consensus autour de lui par sa dénonciation vigoureuse du débat entre M. Attal et M. Bardella, jugé anti-démocratique (dès lors que privilégiant un seul candidat). Or, les sondages n’enregistrent guère d’effet de son excellente campagne comme de son coup d’éclat. L’actuelle malédiction qui frappe l’étiquette « droite LR » est la clé de ce paradoxe. Elle tient largement au soupçon populaire de connivence avec la majorité au pouvoir, résultat des positions prises par ce parti, notamment pendant la crise sanitaire et sur la réforme des retraites.

Alors, les élections européennes 2024, comme défouloirs, seront vite oubliées, notamment quand viendront les municipales deux ans plus tard. Toutefois, les responsables politiques de tout bord, et plus particulièrement de la droite LR, pourraient en tirer quelques leçons essentielles pour l’avenir de leur courant politique.

https://maximetandonnet.wordpress.com/2024/05/29/un-debat-grotesque-pour-le-figaro-vox/
Vincent Verschoore

29/5/2024 - Blast propose une plongée dans les milieux d'influence opaque et de corruption qui ont marqué la "gestion" Covid. Ici, en Belgique, avec une enquête digne d'un film d'espionnage, mais les mêmes acteurs (sociétés de conseils, agents corrupteurs, Big Pharma) étaient présents ailleurs, notamment en France.
Ce que montre ce type d'enquête, par exemple aux USA via la Commission du Congrès, mais aussi en Allemagne avec les "RKI files", et partout où il existe encore suffisamment de contre-pouvoir institutionnel pour questionner les promoteurs de la dictature sanitaire "Covid" et l'enrichissement massif de Pfizer & Cie, c'est que cette gestion n'avait pas grand chose à voir avec "la science", mais relevait d'options politiques et commerciales imposées via un narratif catastrophiste, auquel collaborèrent main dans la main les autorités de santé et policières, un mélange hautement toxique.
Les covidistes, et surtout ceux qui en ont bien profité, tentent d'évacuer tout débat politique en faisant la promotion de toutes sortes de "preuves" de l'efficacité de leurs mesures, mais il est difficile de séparer les chiffres et les modèles bidonnés des données réelles. Autrefois, l'on comptait sur "l'autorité scientifique" pour faire ce travail, par exemple l'ANSM (ou la FDA, le CDC, etc...) mais la désinformation permanente et la soumission aux intérêts commerciaux et/ou politiques de ces agences leur ôtent aujourd'hui toute crédibilité, ainsi qu'aux soi-disant "experts" qui défendent surtout leurs propres intérêts.
C'est une situation non satisfaisante, qui ne pourra se rétablir que par une purge de toute cette corruption. Chose qui n'arrivera évidemment pas avec les gens actuellement au pouvoir (que ce soit en France, en Europe ou aux USA), d'où l'importance de ne rien lâcher.

https://www.youtube.com/watch?v=FUwkLwlpohA