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8 juillet 2024

Olivier Delorme
Romancier

8/7/2024 - La procédure pour déficit excessif est déjà déclenchée contre la France. Macron va s'en servir, évidemment.
On avait l'occasion de le marginaliser, voire de le forcer à la démission. Les Français, par trouille et pour des fantasmes, viennent de le remettre au centre du jeu, avec toutes les cartes en main pour magouiller et continuer.
Qui peut sérieusement croire que les sicialos feront autre chose que ce qu'ils ont toujours fait ?! Trahir.
Quant à Mélenchon, il a viré tous ses souverainistes, tout ce qui l'intéresse, c'est le vote islamiste, woke, indigéniste et assimilé au service de sa seule aventure personnelle.
Sans parler de la gôôôôôche CIA...
Macron a les mains libres et l'UE derrière lui.
Le RN avait au moins des velléités de diminuer la contribution au budget européen, de sortir du mortifère marché européen de l'énergie, il présentait d'authentiques souverainistes comme Tanguy, Gallois, Loubet, Amblard, Bigot... On aurait pu enfin voir ce qu'ils avaient dans le ventre, si c'était du pipeau ou si ça pouvait aller plus loin. Il s'opposait aussi à une escalade en Ukraine.
Ce soir, c'est Macron le vrai vainqueur. Il a une majorité pour avancer dans la fédéralisation et vers la guerre.
Bravo pour le suicide !

Écolos + PS + dvg + macronards = 272
17 traîtres de plus à trouver : avec quelques gamelles, ça ne semble pas insurmontable.
Quelques menaces de Bruxelles et de Berlin pour rappeler tout le monde aux "engagements européens" et le tour est joué.
Faut juste un peu de temps et bien remplir les gamelles.

Législatives 2024 : le triomphe du chaos absolu

Maxime Tandonnet
(pour Figaro Vox)

8/7/2024 - Echec : aucun autre mot ne saurait mieux caractériser la séquence de ces législatives de juin-juillet 2024. En décidant de dissoudre l’Assemblée nationale le chef de l’État voulait « clarifier la situation » c’est-à-dire, se donner une majorité absolue. Le résultat est exactement inverse. Il a perdu la maigre majorité relative dont il disposait. Le parti présidentiel Renaissance en sort très affaibli. La gauche sous le label Nouveau Front Populaire (NFP) incluant la France Insoumise (LFI) est vainqueur du scrutin et obtient une petite majorité relative qui ne lui permet pas de réaliser son programme. Le RN se voit renforcé mais bien loin de triompher contrairement aux diverses prévisions. Bref, l’opération jupitérienne a tourné au fiasco débouchant sur le scénario du pire pour le chef de l’État. Elle se traduit par l’émergence d’une situation parlementaire encore plus chaotique et ingérable que la précédente.

« Quand un homme que l’on suppose intelligent et qui l’est prend une décision d’une absolue bêtise c’est que la dimension psychologique a pris le pas sur la réflexion et la raison […] cette dissolution est le résultat d’un narcissisme poussé à un état presque pathologique » écrit Alain Minc qui fut l’un des plus fidèles soutiens d’Emmanuel Macron. Certes, mais ce constat ne doit pas dispenser de s’interroger sur la responsabilité d’un système politique. Un régime entièrement fondé sur la sublimation d’un homme, une élection présidentielle sous influence, l’exubérance narcissique pour cacher l’impuissance et l’échec, dans un climat de béatitude courtisane, peut-il conduire à autre chose que la déconnexion ? Le président Macron a parié sur un élan populaire lui rendant une majorité absolue. Il semble n’avoir jamais pris la mesure de la profondeur de son impopularité.

Le résultat est désastreux. Jadis, sous les IIIe et IVe République, les mouvements politiques adverses siégeant à la chambre basse étaient liés par une éthique de reconnaissance mutuelle – tous issus du suffrage universel – permettant le dialogue et les compromis. Bien au contraire, aujourd’hui, dans cette Ve République dénaturée, les trois principales forces en présence se haïssent et s’excluent les unes des autres sur des bases névrotiques et braillardes qui écrasent le sens de l’intérêt général. Pour LFI, le RN représente le mal absolu – et réciproquement. Renaissance exclut de gouverner avec l’un comme avec l’autre. Aucune coopération n’est concevable. L’impasse est totale. La France politique est déchirée en trois et toujours plus ingouvernable.

Cette élection, marquée par une participation élevée de 67% aura-t-elle au moins la vertu de réconcilier les Français avec la politique ? Improbable, tant son déroulement a donné lieu à un festival de manipulations qui en fragilise la légitimité populaire. Bref, en deux semaines, on s’est beaucoup moqué des Français.

En toile de fond a régné le spectre obsessionnel d’une majorité absolue au RN et l’arrivée à Matignon d’un tout jeune homme de 28 ans inexpérimenté mais absolument libre une fois à Matignon d’appliquer un projet « d’extrême droite ». Or, compte tenu des réalités politiques et électorales d’une part, des aléas d’une cohabitation, des contraintes financières, juridiques et européennes d’autre part, un tel scénario, en toile de fond de tout le scrutin, relevait largement de la politique fiction. Cette perspective illusoire a dominé le vote du début jusqu’à la fin comme une vaste mystification.

Le matraquage « antifasciste », devenu un rituel obligé des entre-deux-tours en France, a dès lors fonctionné à plein régime. Une fois de plus, la France est entrée en hystérie. Le RN est soudain redevenu pour la circonstance, « le parti cofondé par des Waffen SS ». Des artistes ont signé des pétitions. Des hauts fonctionnaires et magistrats ont prôné la désobéissance et les syndicats ont annoncé un blocage, sur fond de chantage à la violence d’extrême gauche. Les haines ont déferlé sur la campagne, avec 51 candidats blessés. Et dans ce contexte apocalyptique, le système politico-médiatique a cru bon de promouvoir Kilian Mbappé en ultime autorité morale.

Un « front républicain » s’est donc reformé associant dans la même alliance M. Hollande avec des individus convoqués par la justice pour « apologie du terrorisme ». Renaissance a changé de cap entre les deux tours, acceptant de nouer des accords de désistement avec la gauche, dont LFI, jusqu’alors considéré comme l’autre « diable ». Après avoir honoré M. Bardella en le recevant à Matignon le 19 janvier et lui avoir fait cadeau d’un débat en tête-à-tête pendant les Européennes, M. Attal, reprenait le flambeau du « barrage contre l’extrême droite ». Un sommet de la magouille politicienne, fondé sur une mystification – le fascisme au pouvoir – semble avoir été atteint.

Tous les partis vont se dire gagnants. De fait, la manœuvre jupitérienne ne compte qu’un seul perdant : les Français de bonne foi, qui ont espéré de ce vote un changement mais retrouvent une sorte de statu quo en pire, une Assemblée ingouvernable et une politique française sombrant dans le chaos absolu. Combien ce psychodrame absurde de deux semaines, dont le seul effet sera d’aggraver l’impuissance publique aura-t-il coûté au pays, en termes de déchirements hystériques, de tension entre les Français, de radicalisation à droite comme à gauche, de violences, de peur et d’angoisses, d’espoirs déçus, de pertes pour l’économie française et de temps perdu ? La France entre dans l’inconnu, une période de trouble profond dont nul ne voit l’issue. Le drame puisse-t-il au moins entraîner une prise de conscience de ce que la France a besoin d’une authentique révolution démocratique et refondation de son modèle politique

https://maximetandonnet.wordpress.com/2024/07/08/legislatives-2024-le-triomphe-du-chaos-absolu-pour-figaro-vox/

7 juillet 2024

Alexis Haupt

Les partis d’opposition ne s'opposent ni à la guerre voulue par l'OTAN, ni aux directives folles de l'UE, ni aux projets hégémoniques et liberticides de l'OMS, ni aux projets de contrôle de masse de Davos, ne dénoncent pas le plus grand scandale sanitaire de tous les temps, ni le terrorisme d'État, le totalitarisme et les crimes du Covid que nous avons vécus... Partant de là, chers "partis d’opposition", veuillez m'excuser de vous le demander d'une façon si directe, mais à quoi vous opposez-vous au juste ?

6 juillet 2024

Législatives 2024, sursaut démocratique ou cruelle désillusion ?

Maxime Tandonnet

[Extrait] Le pays est-il à la veille d’une vertigineuse déception qui ne ferait qu’aggraver en profondeur la crise de la démocratie ? Le résultat des urnes tel qu’il semble devoir se profiler, une semaine à l’avance ne porte pas à l’optimisme. Sur le fond, ce résultat semble plus dominé par l’expression d’une colère qu’une véritable ambition tournée vers l’intérêt général. Le parti a priori vainqueur, le Rassemblement national, ne semble guère disposer d’un projet réaliste sur le plan financier, ni même régalien (à l’image de l’emblématique et explosive « abrogation du droit du sol » qui n’apporte aucune solution sur le plan de la maîtrise de l’immigration). Certes le procès en incompétence qui lui est fait paraît excessif – au regard des résultats obtenus par les diverses majorités depuis un demi-siècle. Cependant, de fait, il ne dispose ni de l’expérience ni d’une capacité à inspirer la confiance, sans lesquelles un bon gouvernement est inconcevable. Quant à l’ancienne Nupes, rebaptisée Nouveau Front Populaire, viscéralement déchirée sur l’antisionisme, engluée dans ses excès, un programme d’explosion vertigineuse des dépenses publiques et des impôts, elle n’offre pas davantage, à ce stade la moindre perspective crédible.

En vérité, par-delà le sursaut démocratique manifesté par les Français, le premier tour des législatives n’offre guère d’autre perspective qu’une Assemblée privée de majorité claire, ingouvernable, chaotique, toujours davantage dominée par le chahut braillard et stérile. La gauche réaliste et responsable, incarnée par quelques rares figures est décimée, en voie de disparition. La « droite classique » dite « de gouvernement » a été massacrée par une invraisemblable succession de trahisons de 2017 à ces derniers jours…

A cela s’ajoute le contexte financier, juridique et institutionnel, qui réduit considérablement les marges de manœuvre du pouvoir politique. Le pouvoir législatif est largement encadré par la jurisprudence prolifique du Conseil constitutionnel d’une part et le droit européen d’autre part.

Après l’espoir démocratique lié à la réussite de cette élection législative, risque de succéder une aggravation de l’impuissance publique et grave déception. Sans doute faut-il s’attendre à une nouvelle vague de politique spectacle, de gesticulations narcissiques et autres brailleries polémiques et nihilistes dans un contexte de chaos et de violence. En tout état de cause, la question du modèle politique français est posée au regard du besoin de respiration démocratique qui s’est exprimé le 30 juin et dans une période extrêmement tourmentée, il serait de bon augure que les responsables politiques se réunissent, par-delà les clivages, pour se pencher sur sa réforme – ou sa refondation afin d’apporter au pays une réponse de fond sur le besoin de démocratie qu’il vient d’exprimer, pour commencer en pérennisant le principe d’une déconnexion des élections présidentielles et législatives, le retour au septennat et le recours au référendum. 6/7/2024

https://maximetandonnet.wordpress.com/2024/07/06/legislatives-2024-sursaut-democratique-ou-cruelle-desillusion/

5 juillet 2024

Marc Amblard

LA MUSARAIGNE ET LES CLOPORTES

Gabriel Nerciat

Qui est exactement cette fille, qui ressemble à une musaraigne affligée d'une cervelle de moineau, pèse à peu près 5% dans la composition politique du pays, et s'imagine sans complexe qu'elle va gouverner la France à partir de la semaine prochaine en compagnie de Raphaël Glucksmann, Xavier Bertrand, Olivier Faure, Jean-François Copé, François Bayrou et Edouard Philippe ?
Je ne le sais pas trop, mais son vieux mentor Dany Cohn-Bendit a lâché le morceau il y a deux jours sur LCI, en révélant ce qui se trame dans les coulisses des différents partis politiques européistes : imposer en cas de défaite du RN une coalition Renaissance-MODEM-Horizon-PS-EELV-LR canal chiraquien-PCF susceptible de former un éphémère et ahurissant gouvernement post-macronien qui se chargerait de faire voter par la future Assemblée l'adoption du mode de scrutin à la proportionnelle intégrale (le dernier moyen d'empêcher Marine Le Pen de gouverner si la rage des Français une nouvelle fois floués dans l'expression de leur vote la propulsait à l'Élysée d'ici 2027), assortie d'une augmentation massive des impôts garante de la stabilité monétaire et budgétaire de l'UE.
Je ne sais pas dans quelle mesure cette combinazione est susceptible de réussir si le verdict des urnes dimanche soir donne une Assemblée a priori ingouvernable, mais si c'est le cas il est clair que ce nouveau et ultime coup d'État à peine légal du système des partis oligarchiques coïncidera avec la fin définitive de ce qui restait depuis 1986 de la Ve République - inventée par Charles de Gaulle au cœur de la guerre d'Algérie, précisément pour neutraliser ce type de combines mortifères.
Donc, je ne sais pas vraiment qui est cette fille à gueule de musaraigne, mais je crois que je sais exactement ce qu'elle est en train d'essayer de faire.
La République en danger, qu'ils disent ? En effet, on peut au moins se mettre d'accord sur ça...

Julie d'Aiglemont

Chronique du 5 du mois de juillet en l'an terrible de la Grande Dissolution
 
Le Roy avait pour le comte de Bartoidella les yeux de Chimène. Notre Dévoyé Monarc se préparait à le nommer Premier Grand Chambellan. La Reine-Qu-On-Sort l'y encourageait. Dame Bireguitte n'aimait point les tribuns et tribunes de la plèbe. Le jeune comte avait un je-ne-sais-quoi de policé et de propre qui lui rappelait fort son royal époux du temps où elle l'avait eu comme élève. Au premier soir du Tournoi, alors que le Roy ripaillait dans les jardins du Chateau avec son quarteron de fidèles, un des plus affectueux parmi les Dévots, le géronte duc de Pas-Tria, avait susurré à Sa Grande Turpidité qu'il lui fallait s'y préparer. "Oui-da, avait dit le Roy, le peuple n'est plus en colère contre nous, le peuple veut le comte et ses soudards. Nous le voulons aussi." Notre Cynique Horloger entendait ainsi empêcher la ChatelHaine d'emporter le Tournoi du Trône qui devait se tenir en l'an vingt-sept. "Cohabitation vaut mieux que succession" plastronnait le duc d'Anfer à ceux des Dévots qui doutaient.
Il se faisait cependant une grande peur chez les Riens et les Riennes qui n'avaient point cédé aux maléfiques sirhaines savamment distillées depuis des lustres dans les salons des Lucarnes Magiques. Sa Cynique Dégringolade en appela doncques à faire barrage aux Haineux. "Il faut circonvenir le périmètre de votre barrage, mon ami" avait ordonné la Reine-Qu-On-Sort. Les maudits Insoumis furent par conséquent désignés comme aussi indésirables que les Haineux. La chose n''était pas sans péril. Les Insoumis faisaient partie intégrante de la coalition de la Nouvelle Plèbe.
Les Raipoublicains ne firent point mystère de leur préférer les Haineux. Ils entonnèrent avec ardeur le "nini", une ritournelle des plus vilaines. Le duc du Havre, monsieur de la Flippe, y mit toute sa morgue. La petite duchesse de la Gerbée ne voulut point en être de reste. Elle y mit, la pauvrette, ce qu'elle pensait encore avoir de voix. Le duc du Dardmalin, qui entendait réussir à vaincre dans sa bonne ville de Tourcoing, rejoignit ce choeur de l'indignité.
Le petit duc des Attelles battait froid son Suzerain. Il ne décolérait point de la Dissolution, à laquelle il n'avait point été convié. Sa Glorieuse Déroute l'avait mis devant le fait accompli. Cependant, le duc avait gardé de ses jeunes années au sein de la Faction de la Rose quelques vagues principes qui lui faisaient voir les Haineux et leurs chefs pour ce qu'ils étaient : des soudards qui feraient rendre gorge à ce qu'il restait encore de la vieille Marianne. Monsieur des Attelles ne voulait point participer de près ou de loin à cet outrage. Ayant appris que Le Roy prenait langue avec bon nombre des impétrants de sa Faction afin de les enjoindre à ne se point désister, dussent-ils favoriser la victoire d'un Haineux, tout en faisant mine d'appeler à "faire barrage" - le duc en conçut de l'ire. Il se décida à porter seul le fer contre les Haineux. "Sus aux ennemis de la République" lança-t-il depuis le perron de son hôtel de Maquignon, il faut mettre en déroute les soudards du comte de Bartoidella !"
"Il y a un chemin, tu te maintiens", tels étaient les mots dont Notre Inconséquent Foutriquet avait usé pour s'adresser à l'un des impétrants de sa Faction afin de le persuader de rester en lice. "Sire, les Haineux sont aux portes du palais" avait répliqué ce pleutre. Le Roy n'avait point écouté. Il avait poursuivi sa harangue. Quand il apprit que son Premier Grand Chambellan s'était affranchi de sa férule, ce fut à son tour d'en concevoir un grand mécontentement. "Ça dégaze du côté de Maquignon" pesta-t-il.
Ainsi en allait-il au royaume du Grand Cul-Par-Dessus-Tête. Les Haineux et leur cortège de lubies malsaines et rances étaient jugés par d'aucuns préférables aux Insoumis et Insoumises et leur horizon de jours heureux. Pire encore, il s'en trouvait pour se réjouir grandement de les voir bientôt à l'œuvre. 5/7/2024

Kuzmanovic Georges

Mon interview portant sur la possibilité de la prise du pouvoir par le RN et ses conséquences.

Sujets abordés :

⇨ La montée du Rassemblement National et son impact sur la scène politique française.
⇨ Les perspectives et les défis d’un éventuel gouvernement dirigé par l’extrême droite.
⇨ Les réactions des autres forces politiques et de la société civile.
⇨ Les impacts sociaux et économiques que cette transition pourrait provoquer.
⇨ Des changements à l'international sont-ils à envisager ?
⇨ En cas de victoire du RN, le soutien de la France à l'Ukraine sera-t-il altéré ?
⇨ Le thème principal : la crise de la dette qui vient.

UNE SORTIE DE CRISE

Gabriel Nerciat

Pourquoi le Banquier Président, après avoir confisqué le vote des Français, s'ennuierait-il à composer un gouvernement de technocrates ou d'apparatchiks européistes coalisés, alors qu'il serait si simple pour lui de nommer un foutboleur à Matignon ?
Les petits anges des banlieues et des centres-villes seraient ravis, et toute contestation de la politique du gouvernement se retrouverait susceptible d'être pénalement poursuivie devant les tribunaux au titre des lois punissant le racisme, la xénophobie et la discrimination envers les êtres non-pensants à muscles.
Et qu'on ne nous parle pas de compétences, hein.
MBappé, même s'il a raté un but fatal dans sa vie, court quand même plus vite que Gérard Larcher et se montre souvent beaucoup plus synthétique dans ses raisonnements que le non regretté Jean Castex.