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17 juillet 2024

DE L'ART DE LA SIMPLICITE DANS LES COMMENTAIRES

Gabriel Nerciat


Pourquoi les journalistes et les commentateurs font-ils compliqué alors qu'on peut faire simple ?
Personne, d'évidence, ni à LFI ni au PS ni à LR canal chiraquien, n'a envie de monter dans ce Titanic en perdition que serait un nouveau gouvernement Macron sans majorité parlementaire et soumis aux diktats des marchés financiers propriétaires de la dette française ainsi que de la Commission de Bruxelles.
C'est ce qui s'est fait en Italie avec le sinistre Mario Draghi en 2021, et un an et demi plus tard la coalition menée par Giorgia Meloni gagnait triomphalement les élections législatives (puis européennes).
Il faut vraiment être aussi corrompu et arriviste que Jean-François Copé, aussi stupide que François Bayrou, ou aussi notoirement extra-terrestre que Marine Tondelier pour en douter.

16 juillet 2024

Trump : un affolement palpable…

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français

15/7/2024 - La tentative d’assassinat sur l’ex-président Trump laisserait-elle entrevoir une modification de l’arrière plan géopolitique ? Le tireur est issu de l’extrême gauche américaine et une première balle bute sur le gilet de Trump… signe que le tireur n’était pas au courant de la couche de protection de sa cible. Signe aussi que la balle était d’un calibre relativement modeste, sinon, un gilet pare-balles ne l’aurait pas arrêtée. Il tire une seconde cartouche, dans la tête cette fois ci. S’il avait su, il aurait donc directement visé la tête. A moins de 150 mètres, pour un bon tireur, avec une arme longue, ça reste très gérable. Mais mieux, un tireur de la protection officielle, cette fois ci, raconte sur les réseaux sociaux, comment il a eu le visuel sur le meurtrier et l’a signalé, sans recevoir l’ordre de le neutraliser immédiatement. Bien sûr il faudra attendre les résultats d’une enquête pour savoir de quoi il en retourne, mais si cela était avéré, il s’agirait bien d’un meurtre sur commande en provenance de ceux qui ont tout à craindre d’un retour de Trump à la Maison Blanche, que des observateurs politiques estiment inéluctable, particulièrement depuis le débat raté de Biden, où ce dernier est apparu comme sénile. Cela veut dire aussi que le vote présumé en faveur de Trump est tellement massif qu’une triche à la machine électronique à voter est peu envisageable, car elle se verrait plus sûrement qu’il y a quatre ans. Les soupçons avaient été forts, mais c’était passé. Un ingénieur, dernièrement, un de plus, a montré comment on pouvait faire cracher à ces machines, n’importe quel résultat sur commande. Et le fait que Trump dérange n’est plus à démontrer.

Il est toujours taxé de « complotisme » de parler de cette fraude aux machines à voter. Il n’empêche que cette option est de moins en moins incongrue. En France, lors des dernières législatives, les instituts de sondages, qui sont des entreprises cotées en bourse et qui se doivent de ne pas apparaître comme des guignols, sous peine de perdre leurs marchés, se sont pourtant lourdement trompés sur la percée inattendue de l’extrême gauche, lourdement trompés sur le nombre final de députés RN, lourdement trompés également sur l’écart entre Marine Le Pen et Macron, au second tour de l’élection présidentielle de 2022. On ajoute, pour les dernières législatives, un nombre record de procurations et un mode de scrutin dans lequel il faut deux fois plus de voix pour élire un député RN que pour élire un député LFI et cela suffit pour reléguer à la troisième place, en nombre de députés, un parti arrivé premier en nombre de voix. Même de l’étranger, on a regardé le scrutin français avec étonnement. Lors de la dernière présidentielle, le RPF avait, et il était le seul, passé en revue les résultats de la soixantaine et plus de villes électroniques, pour noter qu’elles avaient voté Macron très largement, plus que la moyenne nationale, et pourquoi donc ? Durant l’épisode des vaccins, ceux qui parlaient du passe vaccinal ont d’abord été traités de « complotistes » et quand le passe vaccinal est arrivé, les « complotistes » sont devenus ceux qui le refusaient, la doxa n’étant jamais à court de mauvaise foi. Pour ces machines à voter, on prend le même chemin et il pourrait y avoir en France, un effet cumulatif des méthodes de triche, comprenant à la fois les procurations et les votes électroniques, les deux influant sur un volant de voix suffisant pour inverser la tendance, l’hypothèse n’est plus si fantasmagorique, tant la tambouille donne un résultat inattendu. La première chose que pourraient demander les nouveaux élus, est la suppression de ces fameuses machines, qui même si elles n’ont pas servi à tricher, peuvent de toute évidence, le permettre.

On ajoute aussi, le RPF en a également parlé, cette ostracisation forcenée du président hongrois Orban, courant les rencontres afin de trouver une solution de paix en Ukraine. En quoi serait-ce condamnable de vouloir mettre fin à une guerre qui ruine l’Europe ? Faut-il voir dans ces concomitances une forme d’affolement de cet État profond allant de Biden à von der Leyen, en passant par Macron et quelques autres seconds couteaux ? En tout cas, la tentative de meurtre sur l’ex-président Trump, le meurtre d’un tireur qui aurait pu largement être neutralisé pour être interrogé, mais dont il a semblé préférable qu’il se taise, montre que quelque chose a changé et que l’affolement du clan Biden est palpable. Au RPF, nous avions posé une série de questions. Qu’y a-t-il en Ukraine qui vaut les 150 milliards de dollars qu’ont mis les USA dans cette guerre ? Comment est né ce virus qui a fait irruption dans nos vies et comment s’est négocié l’achat des millions de doses de vaccins ? Quelle est l’origine des surmortalités enregistrées actuellement dans quasiment tous les pays européens ? Si ces questions ont commencé à apparaître devant les tribunaux aux USA, c’est encore l’omerta en Europe, mis à part le procès international intenté contre von der Leyen.

La tentative d’assassinat de Trump, cette mobilisation sans pareille chez nous pour empêcher que le Rassemblement National n’ait trop de sièges à l’Assemblée, cette fronde contre Orban qui ne fait que son travail, pourraient signifier qu’il y a deux camps qui se font ouvertement la guerre, dont l’un a le pouvoir et une peur panique de le perdre, pour des raisons que l’on aimerait connaître. L’alternance est pourtant l’essence de la démocratie et jusqu’à l’avènement de Macron, la France passait de gauche à droite, de Mitterrand à Chirac, de Sarkozy à Hollande, sans plus de soubresaut que cela. Il semble qu’avec l’ère Macron/Biden/von der Leyen, une espèce de clique supranationale ait décidé d’installer ad vitam aeternam, un pouvoir d’une autre nature et qui ambitionne de se jouer des élections, quitte à éliminer les candidats indésirables si la machine médiatique n’y suffit pas, cela apparaît de plus en plus clairement.


15 juillet 2024

Une volonté majoritaire : « Macron dégage ! »

Jacques COTTA

14/7/2024 - « Macron dégage » résume la position majoritaire qui traverse le pays. Au bord du précipice, Macron est pourtant sauvé du naufrage par des désistements massifs en faveur de ses ministres notamment, actuels ou anciens. Du « nouveau Front populaire » au traditionnel « Front républicain » pour battre le RN, la macronie ne pouvait en espérer tant. Comment en sommes-nous arrivés là ? Ne serait-il pas préférable de combattre le RN en démontant son programme plutôt que de s'engager dans des alliances contre nature ? Et le pire n’est-il pas devant nous ?
Je vous invite à voir ma dernière vidéo : « Une volonté : Macron dégage ! »

(vidéo) cliquer sur l'image ↴
Radu Portocala

15/7/2024 - On me dira peut-être que ce sont des détails sans grande importance. Je ne crois pas que ce soit ainsi. Il y a des fonctions, des situations où il ne faut pas dédaigner les détails.
Passer en revue les troupes le jour de la fête nationale est un moment solennel entre tous. Est-il normal que le président se montre pendant cette lente avancée avec la veste déboutonnée ? Je pense que non. Veut-il faire montre de décontraction ? L’occasion est mal choisie. À côté d’un général impeccable, devant des soldats impeccables, sa veste qui flotte dans le vent est, tout au plus, une preuve de mépris.
Est-il normal que le même président tripote longuement tous ceux à qui il serre la main ? Qu’il leur serre le coude de la main gauche dans une sorte de familiarité mal placée ou d’affection hypocrite ? Qu’il leur tape sur l’épaule avec une sorte de condescendance qui ne pourrait flatter qu’un idiot ou un lèche-bottes ?
Est-il normal que sous chaque siège de la tribune officielle il y ait une bouteille d’eau et que les membres du gouvernement s’abreuvent au goulot pendant que, à quelques mètres devant eux, les soldats qui défilent présentent les drapeaux ?
Il ne me semble pas que tout cela soit normal. Mais, en réalité, qu’est-ce qui est encore normal dans le fonctionnement de ce pays ? La présence même d’Emmanuel Macron à sa tête depuis sept ans ne me semble pas normale. On me dira peut-être que cela aussi est un détail sans grande importance. Je ne le crois pas.

La France est devenue ingouvernable, bientôt une crise incontrôlable ?

Marc Touati

La France est confrontée à une crise politique sans précédent qui menace ses grands équilibres économiques, financiers et sociaux, avertit Marc Touati, président d’ACDEFI.

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Romain Vignest

Après le FMI en mai, la Commission européenne prépare la France à la mise sous tutelle prochaine de ses finances. Il suffira d’une attaque sur la dette cet été pour que tout soit plié.
Le mandat de Macron était d’offrir la République française en sacrifice à l’UE, d’accélérer la mise en place d’une Europe fédérale en démantelant et dilapidant l’État-nation français, qui constituait, par sa puissance diplomatique et militaire, par son histoire et par sa nature même, le principal obstacle à l’empire.
S’il était une véritable opposition, elle se serait alliée, n’importe ses désaccords, pour, in extremis, faire échouer ces traîtres desseins. Elle les a au contraire facilités : comme l’avait voulu et prévu le président, la situation parlementaire, en privant le pays d’un gouvernement fort, justifiera qu’il soit gouverné de l’extérieur.
Depuis sept ans, le RN et LFI, Armagnacs et Bourguignons de notre nouveau désastre, ont joué le rôle d’alibi démocratique. En s’opposant entre eux sur des questions secondaires, ils ont divisé les Français, détourné leur attention des vrais enjeux, contribué enfin à dissoudre l’État. Ils sont au premier chef les complices de notre asservissement.
Nous sommes en 1420.

⇒ https://economy-finance.ec.europa.eu/.../82e6affe-5faf...

Gilles Casanova

Petit résumé de ce qui est officiellement appelé « la gauche », vocable qui jadis a recouvert des organisations et partis qui se réclamaient de la défense des travailleurs, et de l'avancée vers l'émancipation, par la transformation de la société (mais si !) :
– alors qu'ils étaient en train de s'insulter, apprenant la dissolution, ils font un accord de syndicats d'intérêts pour essayer de perdre le moins d'élus possibles et si possible d'en grappiller ;
– ils confient à quelques scribouillards la rédaction d'un programme avec des trucs qui peuvent plaire à leur électorat, voire l'élargir un peu, il paraîtra quelques jours plus tard ;
– arrivés derrière le Rassemblement national au premier tour, ils décident de remettre en selle le troisième, Macron, en chantant la chanson « Hitler revient », pour forcer celui-ci à chanter la même chanson et les favoriser par des retraits de candidats en sa faveur ;
– ils réussissent, et ils parviennent ainsi à avoir le plus grand nombre de députés, mais c’est loin de la majorité absolue, et ils ne sont toujours d'accord sur rien ;
– ils déclarent cependant tous ensemble qu'ils ont gagné ;
– ils exigent donc d’avoir le premier ministre ;
– mais ils sont incapables de dire quel premier ministre ils veulent avoir ;
– mais ça n'a pas d'importance puisque Macron leur a déjà dit qu'il ne voulait pas de leur premier ministre ;
– ils redisent qu'ils exigent d'avoir le premier ministre ;
– mais ils ne sont toujours pas en mesure de proposer un premier ministre ;
– dans la rue les plus durs de leurs partisans exigent que la victoire absolue du nouveau Front populaire se traduise par la mise en œuvre totale de leur programme ;
– c'est la seule chose qui arrive à faire rire unanimement tous les dirigeants du nouveau Front populaire…

Tentative d’assassinat de Trump : tout se déroule comme prévu

H16

15/7/2024 - Après Jair Bolsonaro, Shinzo Abe, Robert Fico, c’est donc au tour de Donald Trump de subir une tentative d’assassinat. Comme de coutume aux États-Unis, la tentative a immédiatement versé dans le spectaculaire, surtout du côté de la presse de grand chemin.

Et spectaculaire est probablement le seul qualificatif pour la façon dont cette dernière a relayé le drame au cours des minutes puis des heures qui l’ont suivi : tout fut fait pour en réduire l’importance et la portée. Il faudra attendre plusieurs heures pour que ce qui était pourtant évident dès les premières secondes soit officialisé par une presse complètement aux ordres des autorités américaines qui ont clairement choisi de minimiser l’affaire.

Suivant les recommandations initiales des Services secrets américains, les médias sur place auront donc fait assaut d’une prudence spectaculaire pour ne surtout pas qualifier l’événement d’attentat, multipliant les euphémismes, les litotes et les périphrases pour éviter d’expliquer simplement que l’actuel candidat républicain à l’élection présidentielle américaine venait d’échapper à une tentative d’assassinat.

Entre la description de l’événement (une chute pour certains, des bruits pour d’autres), et le doute projeté dans des expressions typiques (“Trump dit que…”) qui transforment des faits en opinion, il est – une fois encore – très difficile de trouver quelque qualité au travail de la presse grand public qui, décidément, se vautre plus facilement dans la désinformation éhontée que le journalisme de base.



Les journalistes français, fidèles à leur réputation de folliculaires besogneux, se sont rapidement mobilisés pour faire exactement le même minimum syndical. L’art du copier-coller et du périplaquisme ont atteint de nouveaux sommets.



Finalement, France24 se mouille un peu : Trump aurait été blessé, il y aurait un tueur, mais tout ceci ne justifie pas encore de parler d’une tentative d’assassinat alors qu’il pourrait s’agir d’un échange de petits projectiles en plomb mostly peaceful globalement pacifiques, après tout.




Et lorsque les médias ne minimisent pas, ils n’hésitent pas à retourner l’accusation et charger Trump, qui serait donc lui-même responsable de cette situation (et d’être pris pour cible).

Quand, finalement le FBI confirme enfin, la presse garde spectaculairement son sang-froid, et ose une titraille un tantinet plus proche de la réalité, sans toutefois omettre de précieuses guillemets afin de se conserver une porte de sortie si jamais il s’avérait qu’en réalité, c’était un simple différend familial ou quelque chose du style.


En pratique, ce traitement ne doit pas surprendre : l’occasion était en effet trop bonne pour cette presse minable de passer à côté d’une si belle série de pignouferies. Entre la victime (Donald Trump), le cadre (un rassemblement républicain), le résultat (un échec du tueur) et la façon dont l’ancien président américain avait réagi suite à cet événement, tous les éléments étaient rassemblés pour qu’aucun article neutre et factuel ne puisse sortir.

Il faut dire que cette presse n’est pas à proprement parler exempte de responsabilités dans ce qui s’est passé contre Trump et oublie donc presque instantanément son énorme passif sur la question. Pourtant, les journalistes des deux côtés de l’Atlantique n’ont pas été en manque pour produire des quantités spectaculaires d’articles haineux contre l’ex-président américain, en ce compris des appels direct au meurtre, relayant en cela avec une gourmandise même pas cachée ces mêmes appels portés par des politiciens aussi corrompus qu’eux.

Ceux qui ont la mémoire courte pourront regarder à profit ces quelques vidéos qui rappellent justement cette production particulière.

De façon croustillante, cet événement est un caillou qui s’ajoute aux nombreux déjà dans les chaussures des anti-conspirationnistes de combat. Ces derniers, en plein déni de réalité, restent niaisement coincés sur un discours du type “voila qui va faire mousser les complotistes” alors que l’organisation d’un assassinat est un complot, quasiment par définition. Les experts anti-complots ne voient plus les complots les plus évidents, et, plus drôle encore, refusent de comprendre qu’encore une fois, ce sont bel et bien ceux qu’ils qualifient stupidement de “complotistes” qui avaient vu juste.

On se rappelle en effet qu’il y a quelques mois, Tucker Carlson et d’autres (comme Dan Bongino par exemple) s’étaient par exemple inquiétés du fait que, voyant chacune des tentatives judiciaires contre Trump échouer lamentablement et l’assassinat politique orchestré par ses opposants se retournant spectaculairement contre eux, ces derniers en arriveraient certainement à la tentative d’assassinat littéral.

Bien évidemment, Tucker Carlson et ceux qui avaient eu le même raisonnement furent copieusement qualifiés de complotistes.



Le bilan est cependant encore une fois en faveur des “complotistes” et laisse encore une fois la presse patauger dans sa morale douteuse et sa crédibilité nulle, à tel point que les gens sains d’esprits ont maintenant compris que lorsque la presse réfute un événement, c’est qu’il s’est très probablement effectivement produit.

Dans cette tentative d’assassinat, cette presse fera assaut d’explications douteuses (ou d’un silence compact, ça marche aussi) pour tenter d’en passer sous silence les circonstances étonnantes et la légèreté des Services secrets américains : ainsi et comme s’interrogent certaines personnalités, comment le toit sur lequel le tireur se trouvait, à 130 m environ, pouvait-il avoir été laissé sans surveillance ?


De la même façon, pourquoi plusieurs témoins (ici et par exemple), qui ont prévenu les autorités de la présence du tueur avant qu’il ne tire, n’ont pas été pris en compte et pourquoi les autorités n’ont même pas fait l’effort de vérifier ? :

Notons sans surprise que, pour nos indécrottables “fact-checkers” habituels, le fait de poser ces questions projette immédiatement et violemment celui que les pose dans la catégorie des complotistes alors que cela devrait plutôt être les réponses, éventuellement, et encore. Il est vrai que s’interroger sur l’efficacité des Services secret peut mener à des conclusions dérangeantes : coïncidence malheureuse ou tendance de fond qu’on retrouve dans d’autres endroits (Boeing ?), la Directrice des Services secrets, Kimberly Cheatle, avait déclaré il y a quelques temps qu’elle souhaitait rendre les services secrets plus inclusifs.


Cette tentative d’assassinat se déroule donc exactement comme prévu : elle illustre, une nouvelle fois, le travail spectaculairement consternant de la presse.

Sur le plan politique, il ne fait pas le moindre doute que ce événement marque déjà la campagne électorale américaine, et donne plusieurs longueurs d’avance sur le candidat républicain. Très probablement, ce 13 juillet, les Démocrates ont perdu les élections et, avec eux, le Deep State. Ce dernier ayant encore plus d’un tour dans son sac, on peut s’attendre à une fin d’année particulièrement agitée.

En tout cas, on peut parier que l’image suivante passera à la postérité.


https://h16free.com/2024/07/15/78111-tentative-dassassinat-de-trump-tout-se-deroule-comme-prevu

14 juillet 2024

USA - LA CAMPAGNE ÉLECTORALE A COMMENCÉ LE 13 JUILLET 2024

Marc Amblard

Nul doute que cette photographie fera date dans l'histoire des États-Unis.
L'image d'un homme qui se relève après avoir été touché et se dresse contre la tyrannie des élites. Contre une mafia qui a pris le contrôle des institutions et prétend défendre la démocratie alors qu'elle oeuvre sans cesse à sa destruction.
Trump ne fait pas partie de ce milieu. Il a juré de nettoyer l'état profond (comme Kennedy il y a 61 ans), et s'est mis en travers de leur agenda. C'est précisément pour ça qu'ils le détestent. Ils ne reculeront devant rien pour l'empêcher de retourner à la Maison-Blanche. Leurs moyens sont illimités.
Il ne leur manque toutefois l'essentiel : la grandeur, l'héroïsme et le soutien du peuple.


◻ [Olivier Delorme Romancier] Je disais hier au téléphone à Fulbert De Saint-Pourceau que Trump avait intérêt à être prudent maintenant que la sénilité de l'autre marionnette des bellicistes ne peut plus être niée, sauf par notre crétin cocaïné national.
Ils feront tout pour l'empêcher de faire la paix en Ukraine et peut-être d'euthanasier l'OTAN, comme il avait menacé de le faire durant son premier mandat.
Il n'y a pas que chez nous où les factieux soient prêts à tout pour fausser un scrutin. Quand la combine et la diabolisation ne suffisent plus pour voler une élection, on passe à d'autres moyens.

◻ [Vincent Verschoore] L'État profond US ne veut en aucun cas que la guerre en Ukraine s'arrête, et comme le sénile Biden ne veut pas démissionner, il n'y a pas 36 solutions.
Ici, pas besoin de l'agent Ruby pour éliminer le tireur, un personnage sans doute psychologiquement fragile et donc très manipulable. Le FBI, qui déteste Trump depuis l'affaire Comey, est coutumier des "faux attentats", où des gens influençables sont poussés au crime par des agents secrets, pour être arrêtés juste avant le passage à l'acte, à la gloire de l'institution.
Vu le nombre de snipers sur les toits lors de l'allocution de Trump, on se doute bien qu'en temps normal un civil armé dans les parages aurait été immédiatement détecté, d'autant que des spectateurs l'aurait signalé au FDO.
Cet attentat raté va sans doute booster Trump et alimenter les braises de la guerre civile qui couve aux USA, ce qui fait d'ailleurs peut-être partie du plan. Là-bas comme ici, les nouveaux fascistes font tout pour générer le chaos et se présenter ensuite comme les sauveurs.