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18 juillet 2024

Jean-Paul Brighelli

Je sors fin août un essai intitulé L’École sous emprise dont je me permets de recopier ici la quatrième de couverture, comme on dit :
« Samuel Paty, professeur d’histoire décapité en 2020… Dominique Bernard, professeur de Lettres poignardé à mort dans son lycée d’Arras en 2023… Et tant d’autres menacés, insultés, agressés chaque jour dès qu’ils s’avisent de heurter les certitudes mortifères des élèves et de leurs parents.
« Pour les enseignants, l’école se fait désormais la boule au ventre, sous le regard suspicieux de mouvances religieuses radicalisées, soutenues parfois par les enseignants eux-mêmes.
« Alors que l’École publique traverse une crise multiforme, Jean-Paul Brighelli plaide en faveur d’un système éducatif restauré et d’une laïcité intransigeante pour contrer l’emprise de l’entrisme islamiste.
« Les enseignants doivent retrouver le droit d’instruire enfants et adolescents contre leurs propres convictions, sans s’autocensurer. Est-il vraiment trop tard, face aux réseaux infiltrés du fanatisme, pour ressusciter ces « hussards noirs de la République » que furent jadis les instituteurs ? »

Alexis Haupt

18/7/2024 - Beaucoup de gens dans la résistance pensent que la population est aussi apathique, soumise, paresseuse intellectuellement, idéologisée, aveugle, aliénée ou hébétée parce qu'une guerre très sophistiquée lui est menée. Une ingénierie sociale basée sur des techniques de manipulation de masse, des expériences de psychologie, des fines connaissances sur le comportement et les instincts humains, une utilisation précise et malveillante des nouvelles technologies, etc.
C'est en partie vrai, mais seulement en partie.
En effet, ce serait une grave erreur que de croire que la cause profonde de tous les maux dont nous venons de parler soit la guerre de 5ème génération, l'ingénierie sociale, la perversité de l'élite ploutocratique qui pilote l'Occident et qui fait appel à des experts en manipulation de masse. En effet, le problème est beaucoup plus profond que cela et a déjà été soulevé par Platon il y a plus de 2000 ans : les gens ne veulent pas savoir, la vérité leur brûle les yeux ; ils préfèrent ainsi l'obscurité rassurante de la Caverne. Le problème, La Boétie aussi le pointait du doigt il y a quelques siècles : c'est le peuple lui-même qui recherche la tyrannie, il sert volontairement et s'habitue à celle-ci jusqu'à la considérer comme normale. Le problème, c'est aussi celui soulevé par le psychologue Stanley Milgram il n'y a pas si longtemps : il ne faut pas voir la personne qui subit les ordres d'une autorité abusive et malveillante comme une simple victime, elle est surtout une sorte de complice.
Bref, il y plusieurs siècle déjà, il n'y avait pas de "guerre de 5ème génération" mais les peuples portaient déjà en eux cet amour pour la servitude volontaire dont nous parlait La Boétie.
Pour le dire autrement, la cause profonde des maux évoqués au début de ce texte n'est pas extérieure à l'homme mais se trouve au contraire au plus profond de lui-même. Cette cause, c'est l’immaturité psychique et intellectuelle de l'Homme : il ne veut pas savoir mais croire, il veut que l'autorité lui fabrique un récit et des dogmes auxquels il se soumettra sans poser de questions, il veut des maîtres à qui il délègue le pouvoir et qui choisiront tout pour lui.
Bref, la cause la plus profonde de tous les maux que nous traversons et que nous allons traverser encore est l'immaturité du "moi-pensant" des humains, et par extension de leur conscience. Je médite sur cette question depuis plus d'une quinzaine d'années, seul dans mon coin, et je suis arrivé à la conclusion suivante : jouissant d'un moi-pensant immature, les gens se moquent totalement de la vérité d'une part, et obéissent à leur animalité sans le savoir d'autre part. Le second point est d'une importance capitale. C'est en effet parce qu'ils obéissent à leur animalité sans le savoir, sans la connaître et sans vouloir la connaître, que les humains sont aussi manipulables que des chimpanzés observés et étudiés par des éthologues dans un enclos.
La conclusion ? À défaut de faire mûrir ce moi-pensant, à défaut d'un éveil des consciences, nous resterons ces "chimpanzés" qui se moquent de la vérité, qui ne se connaissent pas eux-mêmes, qui sont pilotés par ceux qui ont justement médité sur notre animalité et nous nous disputerons ad vitam æternam, dans notre enclos à ciel ouvert, pour des "histoires de bananes."
À nouveau, la mission première de l'Homme est de faire grandir son moi-pensant, c'est-à-dire d'atteindre un certain degré de conscience. Tout le reste n'est que détail.

Marc Amblard

CETTE VIDÉO DEVRAIT FAIRE LA UNE DE TOUS LES MÉDIAS DU MONDE

18/7/2024 - Le Dr Robert Redfield, médecin virologue, a été directeur du CDC. Il a donc occupé un des plus hauts postes au sein du département de la santé américaine sous Biden. A ce titre, il a coordonné toutes les mesures sanitaires durant le Covid.
Il vient d’être interrogé par le Congrès à Washington dans le cadre d’une enquête sénatoriale.
Ce qu’il a avoué est effarant. Il a notamment admis que :
- le vaccin ne prévient pas l’infection ;
- pire, l’ARN passe toutes les barrières de l’organisme, la spike est toxique et entraîne de grosses réactions inflammatoires ;
- c’était connu depuis le début (printemps 2021) ;
- les effets secondaires ont été minimisés pour ne pas décourager la vaccination ;
- ces vaccins n’auraient jamais du être imposés ; c’est une erreur.
La vidéo (sous-titrée) est courte, écoutez-la bien jusqu’au bout.

Ferdinand Buisson (1841-1932)
Philosophe pédagogue et homme politique français, Co-Prix Nobel de la Paix en 1927 avec Ludwig Quidde.

« Le premier devoir d’une République est de faire des républicains ; et l’on ne fait pas un républicain comme on fait un catholique. Pour faire un catholique, il suffit de lui imposer la vérité toute faite. Le maître a parlé, le fidèle répète. Il a été dit un catholique ; mais on pourrait tout aussi bien dire un protestant ou un croyant quelconque […]. Toute éducation cléricale aboutit à ce comportement : croire et obéir, foi aveugle et obéissance passive […].
« Pour faire un républicain, il faut prendre l’être humain si petit et si humble qu’il soit (un enfant, un adolescent, l’homme le plus inculte, le travailleur le plus accablé par l’excès de travail) et lui donner l’idée qu’il peut penser par lui-même, qu’il ne doit ni foi ni obéissance à personne, que c’est à lui de chercher la vérité et non pas à la recevoir toute faite d’un maître, d’un directeur, d’un chef quel qu’il soit, temporel ou spirituel.
Est-ce qu’on apprend à penser comme on apprend à croire ?
Croire, c’est ce qu’il y a de plus facile ; et penser, ce qu’il y a de plus difficile au monde. Pour arriver à juger soi-même d’après la raison, il faut un long et minutieux apprentissage ; cela demande des années, cela suppose un exercice méthodique et prolongé.
C’est qu’il s’agit de rien moins que de faire un esprit libre. Et si vous voulez faire un esprit libre, qui est-ce qui doit s’en charger sinon un autre esprit libre ? Et comment celui-ci formera-t-il celui-là ? Il lui apprendra la liberté en la lui faisant pratiquer […].
Il n’y a pas d’éducation libérale là où l’on ne met pas l’intelligence en face d’affirmations diverses, d’opinions contraires, en présence du pour et du contre, en lui disant : Compare et choisis toi-même ! ».
Radu Portocala

Quelle terrible déception ! Apprendre ainsi, avec la brutalité qu’ont les mauvaises nouvelles quand elles vous assaillent, que le Mozart de la finance n’est pas plus doué que le plus médiocre des musiciens ambulants et que la symphonie qu’il a composée pour nous enchanter n’est faite que de fausses notes !
Apprendre aussi que son ami le plus cher, le romancier-économiste au derrière entre deux partis, s’est tellement dépensé à détruire la Russie qu’il a fini par s’égarer dans les calculs du sublime « quoi que ça coûte ».
(L’image vient du « Figaro ».)

Marc Chaudeur

Que dire de ce nouveau scandale qui éclabousse de fange l'Église catholique, cette fois par le biais de Henri Grouès, alias l'ABBÉ PIERRE ?
Plutôt que des mots de vieux rad soc à cassoulet comme j'en ai sous les yeux, une parole toute simple de Blaise Pascal le janséniste :
« Qui veut faire l'ange fait la bête. »
Nous sommes des êtres humains, et notre sensualité, quand elle n'est pas pervertie, qu'elle est bien utilisée et respectueuse, contribue à notre accomplissement.
Des questions ?

Laurence Muller-Bronn

Ce mardi 17 juillet 2024, La Cour de Justice de l’Union européenne reconnaît les infractions commises par la Commission européenne présidée par Ursula von der Leyen qui perd l'affaire sur la transparence des contrats d'achats de vaccins. La décision intervient un jour avant le vote des députés européens sur Ursula von der Leyen à Strasbourg. Les députés européens qui DEMAIN voteront pour sa reconduction auront des comptes à rendre aux citoyens européens, au nom de l'État de droit.
Qui aura le courage de ne pas l’investir ?

Plus qu’une victoire, c’est un hommage au combat de feu Michèle Rivasi, qu'elle menait depuis 2021. Quelle joie posthume car elle a gagné !


« La Commission européenne n'a pas donné au public un accès suffisamment large aux contrats d’achat de vaccins contre la Covid-19 », écrit la Cour de Justice de l’Union européenne CJUE dans son jugement rendu le 17 juillet 2024.

Cette infraction concerne deux éléments majeurs :

- L’indemnisation des entreprises pharmaceutiques pour d’éventuels dommages et intérêts qu’elles devraient payer en cas de défaut de leurs vaccins. La Cour de Justice souligne en effet que le producteur est responsable du dommage causé par un défaut de son produit et que sa responsabilité ne peut être limitée ou écartée à l’égard de la victime (contrairement aux dérogations voulues par la Commission).
- Le refus, par la Commission, de donner accès aux déclarations d’absence de conflits d’intérêts concernant les membres de l’équipe de négociation pour l’achat des vaccins. Le jugement confirme à cet égard « l’intérêt public de la divulgation de ces informations ».

En vertu du droit d’accès aux documents prévu par les traités de l’Union européenne et la législation relative aux obligations de transparence des institutions européennes, Michèle Rivasi avait demandé, début 2021, avec quatre eurodéputées du groupe Verts/Ale, l’accès aux différents contrats de vaccination signés entre la Commission et les laboratoires pharmaceutiques pour l’achat de vaccins COVID 19 (AstraZeneca, Sanofi-GSK, Johnson and Johnson, BioNTech-Pfizer, CureVac et Moderna, pour une valeur totale de 71 milliards d'euros).
La Commission européenne avait alors tout mis en œuvre pour prolonger les délais administratifs de réponse.
La Présidente Ursula von der Leyen n’ayant jamais répondu, les députées avaient saisi la Cour de justice de l'UE en avril 2022. Au nom du droit fondamental des citoyens européens à la transparence et à l'information.

17 juillet 2024

L’industrie bureaucratique européenne de la censure discrète tourne à plein régime

H16

17/7/2024 - Le mouvement de décrépitude européenne s’accélère depuis quelques mois et pousse les gouvernements européens d’une part, et la bureaucratie de l’Union d’autre part, toujours plus loin vers l’autoritarisme et le rognage accéléré des droits fondamentaux de leurs citoyens.

Ainsi, en France, la liberté d’expression est chaque jour un peu plus profondément remise en cause. On se rappelle qu’en février dernier, CNews encourait les foudres de l’ARCOM pour avoir osé laisser des gens s’exprimer sur ses plateaux, ce qui est impensable dans un pays bien tenu (i.e. avec des médias à gauche).


Depuis, les élections européennes puis législatives sont passées et, derrière les cris de l’extrême-gauche continuant de s’auto-intoxiquer sur sa “victoire”, le résultat des urnes amène à quasiment doubler le nombre de sièges du Rassemblement national au sein de l’Hémicycle, ce qui ne manque pas de rendre les mains moites aux députés de l’extrême-centre macroniste et de faire complètement paniquer tous les gauchistes français : se laissant pousser le Jean-Moulin d’apparat, les voilà lancés dans une résistance acharnée pour sauver le pays, en commençant courageusement par interdire d’expression tous ceux qui (devenus fascistes) ne pensent pas comme eux.

Car pour ces résistants de la nouvelle vague, les choses sont fort simples : si le RN gagne autant de siège, ce n’est pas car la gauche est complètement déconnectée des aspirations du peuple, mais bien parce que les médias le laisse s’exprimer.

Et dans ces médias coupables, on trouve d’abord CNews et C8 qui, encore une fois, bénéficient de l’attention de nos petits censeurs. Comme une marche blanche, le dépôt de bougies et la distribution de nounours ne convenaient pas, c’est une pétition qui est lancée pour tenter de sucrer à ces deux chaînes leur droit d’émettre.

Pour les auteurs de cette tentative de bâillonnement, il faut absolument que l’ARCOM interdise ces chaînes car “le pluralisme et la qualité de l’information ne sont pas respectés sur CNews et C8” : en fait, ces chaînes seraient “accaparées” par “des personnalités d’extrême droite” ce qui constituerait une “mise en danger du pluralisme essentiel à notre démocratie”.

Sans grande surprise (et probablement avec l’aide de quelques algorithmes bien troussés), la pétition atteint rapidement les 200.000 signatures, ce qui ne représente qu’un petit pourcentage des 2.500.000 téléspectateurs quotidiens de la chaîne, et laisse plus de 66.000.000 de Français indifférents. Gageons cependant que ce petit nombre de censeurs suffira à générer le brouhaha politique nécessaire pour pousser l’ARCOM à agir : elle, comme tant d’autres bureaucraties, ne rêve que d’un prétexte pour enfin fermer le clapet des impétrants du mauvais bord politique. Cela suffit avec la dissidence, saperlipopette.


Du reste, ce qui afflige les Français dans leur pays afflige aussi le reste de l’Europe avec la mise en place d’un corset de plus en plus étouffant de règles emmaillotant fermement la liberté d’expression des citoyens européens. Le fait que cet étouffement soit le résultat des agissements du commissaire français de l’Union européenne ne doit probablement rien au hasard : selon Thierry Breton, le réseau social d’Elon Musk, X.com, aurait enfreint les règles de l’Union européenne en matière de contenus en ligne et pourrait donc se voir imposer des amendes et des modifications du fonctionnement.

En décembre dernier, la Commission européenne avait annoncé avoir ouvert une enquête visant X.com pour infractions au DSA, notamment sur la désinformation et par manque de transparence. D’après Breton, les résultats de l’enquête montreraient que X.com a “trompé les utilisateurs” et “enfreint le DSA” en délivrant le “badge bleu” de vérification qui servait autrefois à identifier les sources d’information fiables à n’importe quel utilisateur payant.


Le fait que ce badge bleu soit simplement synonyme qu’un utilisateur paye son abonnement ne semble pas défriser le commissaire. Heureusement, ce dernier précise que “X a le droit de se défendre” (c’est trop aimable), tout en assurant que les poursuites seront entreprises.

Cependant, cette histoire ressemble plus à l’une de ces affaires à relents mafieux qui aurait mal tourné qu’à une réelle infraction légale.

En effet, selon Elon Musk, actuel patron de la plateforme sociale, la Commission européenne aurait proposé à sa société un accord secret pour censurer du contenu sans en informer le public, ce qui lui aurait permis d’éviter les amendes que la Commission entend lui coller.

Cet arrangement n’aurait pas plu à Musk et X l’aurait donc refusé, au contraire d’autres plateformes qui ont, elles, accepté (on pensera à Meta de Zuckerberg, par exemple).


Pour ceux qui suivent l’affaire depuis novembre 2023, la surprise ne sera pas trop forte : Musk avait clairement prévenu le petit commissaire qu’il n’entendait pas se plier à des accords discrets en coulisse et qu’il entendait bien faire l’ensemble des démarches dans la transparence, cette même transparence dont les commissaires européens se gargarisent mais semblent bien incapables de mobiliser lors de leurs négociations avec les entreprises privées (que ce soit X.com ou Pfizer, du reste).


Selon des détails rassemblés par les journalistes de PirateWires, la Commission voulait même que la plateforme engage une équipe d’européens (potentiellement des centaines) pour supprimer les “fausses informations” de la plateforme.

Les révélations de Musk sur cette tentative d’arrangements en coulisses ont quelque peu agité la toile, et les millions de vues du tweet d’Elon n’y sont pas pour rien. Il va être à présent relativement compliqué pour la Commission d’expliquer sa position et de trouver un démenti crédible aux allégations de Musk qui, on s’en souvient, avait largement prouvé dans ses Twitter Files la collusion des autorités et des plateformes sociales pour censurer l’expression publique sur certains sujets gênants pour les autorités.

Du reste, Elon Musk a déjà décidé de porter l’affaire devant les tribunaux et d’exposer ainsi publiquement les détails qu’on espère croustillants de ces tentatives de collusion et de censure discrète de la Commission sur X.com, pourtant en violation complète avec les principes fondateurs de l’Union…

Dans les deux cas présentés ici (France et Union européenne), on assiste à un raidissement autoritaire croissant des autorités à mesure que la réaction de la population et des acteurs privés se fait plus vive. Plus la crédibilité et la légitimité des gouvernements et des bureaucrates s’affaiblissent, plus ces derniers veulent limiter la liberté d’expression. Plus la gauche, le socialisme à masque démocratique et les mondialistes perdent du terrain, plus ils veulent museler l’expression populaire, aussi bien celle des urnes que celle dans les médias sociaux ou traditionnels.

L’expression d’une dissidence de pensée, notamment sur les médias qui étaient jadis acquis aux causes sociétales de ces groupes, est devenu insupportable pour ces individus qui se réclament de ces mouvements de pensée et c’est alors un scandale absolu que C8 ou CNews puissent exprimer autre chose que l’avis officiel bien pensant et qu’on entend pourtant partout ailleurs sur les autres médias capturés par la gauche. Il est tout aussi parfaitement intolérable que X.com, anciennement Twitter, puisse laisser les gens de droite s’exprimer librement, alors qu’il les faisait proprement taire avant.

Que voulez-vous : la tolérance, l’ouverture et la non-discrimination s’étendent de l’extrême-gauche jusqu’au centre gauche, et encore. Mais au-delà, il ne faut pas pousser !


https://h16free.com/2024/07/17/78085-lindustrie-bureaucratique-europeenne-de-la-censure-discrete
Vincent Verschoore

L'EuroSoviet étend son ombre sur les restes du rêve européen. Tout désaccord avec la Führerin von der Leyen est interdit : les opposants à la guerre et à la domination des intérêts américains sont identifiés comme étant "amis de Poutine" et devant faire l'objet d'un "cordon sanitaire".
Orban, en particulier, doit être rendu inaudible, et la Führerin interdit à ses commissaires de participer aux réunions informelles du Conseil de l'UE, présidées pour six mois par la Hongrie.
De quel droit, au nom de quelle interprétation des règles européennes et du principe démocratique ? Les médias et les eurodéputés devraient se dresser contre cette dictature, mais la soupe est trop bonne et la corruption trop enrichissante.