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24 juillet 2024

PARIGOTS TÊTES DE VEAUX !

Christian Rol

24/7/2024 - Il se dit que la situation a Paris a dépassé les lois de la rationalité élémentaire, que le chaos totalitaire y règne, ainsi que les prémonitions de ce bon Orwell.
Certains provinciaux, toujours prompts à fustiger Paris, par jalousie et ignorance, se rient de ces mesures folles et moquent cette débauche de barrières, QR CODES et autres règles liberticides. Les cons et les gogos, c'est toujours les autres bien sûr...
Je rappelle à toutes fins utiles aux ricaneurs qu'ils se sont couchés comme un seul homme, sans jamais moufter, quand les dingues du pouvoir les ont obligés à rester enfermés chez eux, à signer leur propre ausweis pour sortir une heure, avec masque sur le groin, et  déserter plages et forêts où je me promenais peinard en me riant des moutons paniqués.

23 juillet 2024

Romain Vignest

[COVID] Évidemment ignorée par les médias mainstream, la décision des prud'hommes de Nancy est historique : les soignants suspendus avaient le droit de refuser l'inoculation expérimentale.

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Marc Amblard

HOURRA KAMALA MAIS SAUVE QUI PEUT

Gabriel Nerciat

23/7/2024 - Lors des primaires démocrates qui ont précédé l'élection présidentielle de 2020, Kamala Harris, créditée dans les sondages de 3% d'intentions de vote, a dû retirer sa candidature quelques semaines avant la fin du scrutin, pour ne pas subir l'humiliation cuisante de finir bonne dernière de la compétition.
Les mauvaises langues disent même que Biden l'a choisie ensuite pour son ticket présidentiel à seule fin de dissuader toute tentative de destitution.
Son bilan de vice-présidente, de l'aveu même des journaux libéraux, est au mieux insignifiant au pire calamiteux.
Notamment en ce qui concerne le règlement de la question de l'immigration illégale, dont elle avait été chargée par le président (un peu comme Ségolène Royal chez nous, elle ne s'est jamais rendue physiquement à la frontière du Mexique).
En gros, c'est un peu comme si Macron, subitement empêché de se présenter en 2022, avait cédé la place à la dernière minute à Anne Hidalgo ou Jean-François Copé.
Mais cela n'empêche pas les libéraux progressistes du monde entier de nous expliquer que désormais tout change, et que Trump tremble maintenant d'être confronté à cette nullissime grande bourgeoise d'origine tamoule et jamaïcaine (même pas afro-américaine) sponsorisée à coups de dizaines de millions par les réseaux Soros.
Seul Barack Obama ne semble pas très convaincu. Il a sûrement de bonnes raisons.
Moyennant quoi, les louanges que la presse assermentée lui décerne depuis 48 heures des deux côtés de l'Atlantique font penser à la précipitation de ces femmes enceintes abandonnées par leur vieil amant volage, qui en public doivent se montrer ravies d'épouser un jeune héritier idiot et bossu disposé à leur glisser la bague au doigt.

22 juillet 2024

John et Robert Kennedy ont été assassinés, mais Donald Trump est toujours vivant !

Yann Thibaud

21/7/2024 - Il s'en est fallu de peu, de quelques centimètres, mais le fait est là : la tentative d'assassinat a échoué.
Et c'est une question extrêmement importante pour la paix du monde, puisque Donald Trump a fait savoir à plusieurs reprises qu'aussitôt élu, il mettra fin à cette guerre stupide et abominable, qui ravage l'Ukraine et plombe les économies européennes, du fait de la politique suicidaire de nos gouvernements.
Je ressens un peu la même chose que lorsqu'en mars 2022, l'oppression et la tyrannie sanitaires se sont enfin écroulées.
J'ai alors réalisé que la voie temporelle sombre et lugubre du totalitarisme n'était aucunement une fatalité et qu'elle pouvait se muter instantanément en une perspective d'espoir et de possible avènement d'un monde différent.
Aujourd'hui, j'éprouve le même sentiment : la perspective jusque-là fort possible d'une troisième guerre mondiale s'est volatilisée en quelques instants, du fait d'un changement de position, d'un mouvement de quelques centimètres de la tête de Donald Trump.
Bien que je ne sois aucunement un fan de ce personnage, dont je n'apprécie guère ni le style, ni les propos, je ne suis pourtant pas loin de penser à la possibilité d'une intervention divine, à ce moment précis et crucial de l'histoire de notre monde.
Qu'en conclure ?
Qu'assurément nous sommes guidés et épaulés de l'autre côté du voile, que s'il nous faut reprendre les rênes de l'histoire de notre humanité, nous ne sommes aucunement seuls, dans cette vaste et exaltante perspective.
Qu'enfin nous pouvons reprendre espoir, assurés que l'indigne spectacle de la médiocrité actuelle n'est qu'une phase temporaire, certainement nécessaire, prélude à la renaissance et à l'éveil d'une nouvelle humanité, plus sage, plus consciente, plus adulte et plus évoluée.

JOE'S BLUES

Gabriel Nerciat

Pourtant, il était parfait, le vieux Joe : élu en 2020 grâce à la plus fabuleuse entreprise de fraude postale de l'histoire de l'Amérique (qui en a compté plus d'une), vieillard totalement sénile, persuadé en son for intérieur que Macron était en réalité Mitterrand, Poutine Leonid Brejnev et Xi Jinping l'impératrice Turandot, père d'un escroc cocaïnomane et dépravé dont se servait libéralement le boucher de Kiev pour renflouer les trafics d'armes de son clan d'affidés et d'oligarques, corrompu jusqu'à l'os depuis son premier banquet, au début des années 1970, en compagnie des représentants officieux du KKK avant d'aller draguer quelques années plus tard les militants des Black Panthers (le plus drôle, c'est que c'est Kamala Harris elle-même qui l'avait révélé lors du débat des primaires démocrates il y a quatre ans), il démontrait surtout, en vieux forban irlandais impavide, que l'État profond washingtonien peut s'abriter aussi bien derrière une statue de cire du musée de Madame Tussaud que derrière un acteur de série B comme Ronald Reagan ou, pourquoi pas, un pornographe qui joue de la trompette comme Bill Clinton.
À la place des éditorialistes du New-York Times ou de CNN, j'aurais gardé le vieux cheval : on sait que ce sont les vieilles carnes à moitié aveugles ou aphasiques qui administrent sans qu'on s'y attende les plus sournois coups de sabot.
Mais bon : une juriste-technocrate à la peau mate d'origine jamaïcaine et de sexe féminin, ça peut le faire aussi.
Si vraiment elle ne passe pas la rampe, on pourra toujours élaborer une image de synthèse de Tina Turner et d'Angela Davis qui mettra en musique les sermons de Martin Luther King et proclamera au nom de l'affranchissement conjoint du grand capital et des minorités raciales ou sexuelles la fin de tous les empires mondiaux autres que l'américain.
A priori, vu le niveau d'exigence civique des électeurs moyens du parti d'Andrew Jackson, ça devrait pouvoir malgré tout faire l'affaire.

Pour redresser les finances, les autorités ont une idée finaude : augmenter les impôts

H16

22/7/2024 - La gauche au pouvoir, c’est une éclosion permanente d’idées économiques surprenantes

Prenez l’Allemagne : son actuel déficit démographique devrait la pousser à faire un peu attention à ses finances d’un côté, à pousser la robotisation massive de tous ses domaines (comme le font Japon et Corée actuellement), et à cajeoler sa population de l’autre pour – par exemple – lui donner l’envie de faire des bébés.

Avec la gauche au pouvoir, c’est une autre solution qui est proposée : en plus d’importer comme jamais des travailleurs, au point de modifier de moins en moins lentement la nature même de la population locale, voilà que les socialistes à l’oeuvre proposent de réduire les impôts des immigrés qualifiés de (respectivement) 30, 20 et 10% lors des trois premières années de leur présence professionnelle outre-Rhin.

On attend avec gourmandise le résultat – qu’on devine déjà brillantissime – d’une telle proposition, mais au moins pourra-t-on noter qu’envisager une réduction de la ponction fiscale n’est pas tabou chez nos amis Teutons, au contraire de la France.

Dans l’Hexagone en effet, il n’est absolument pas question de diminuer la pression fiscale. La gauche, ici, l’interdit.

L’actuel cirque grotesque autour du gouvernement (ou de son absence) masque en effet fort mal que c’est bel et bien la gauche qui continue de régner dans le pays : depuis le chef de l’État, issu en droite ligne du Parti Socialiste, jusqu’aux agitations parlementaires actuelles clairement toutes issues de la gauche et de l’extrême-gauche, en passant par le gauchisme assez marqué du Rassemblement national et de ses cadres, tous délicieusement favorables à l’intervention de l’État tous azimuts et notamment en économie, tout l’appareil exécutif, judiciaire et législatif du pays est résolument placé à gauche, auquel s’ajoute une administration naturellement à gauche et des médias bien à gauche.

Et les récentes élections n’ont fait que renforcer ce constat absolument implacable : non seulement, le pays est dirigé par la gauche, mais elle n’entend souffrir d’aucune entrave et sera prête à tous les compromis, tous les barrages, toutes les castorisations lubrifiées pour garantir qu’il en soit ainsi.

Pour les quelques Français encore naïvement persuadés que la situation pourrait changer, c’est la douche froide. Car la direction prise est limpide pour ceux qui ne refusent pas les faits : l’État n’a plus une thune, et il ne reste que le patrimoine des Français, dodu, pour financer les délires sociétaux et les dettes colossales de la gauche en roue libre.

Autrement dit, pour ceux qui le peuvent, c’est le moment de partir, de fuir même.


Les autres multiplieront les stratégies alternatives de sauvegarde de leur épargne. C’est d’ailleurs ainsi que “des montants énormes d’argent sont en train de quitter la France” au point d’en être “ahurissant” comme en témoigne un gestionnaire de patrimoine qui s’en est ouvert dans les colonnes du Figaro récemment. Apparemment, l’Union européenne a du bon, puisque l’ouverture de comptes au Luxembourg est possible à tel point que “les assureurs luxembourgeois (…) croulent sous les dossiers”.

Au regard de la situation économique, peut-on réellement blâmer ces contribuables de chercher à s’extraire de l’enfer fiscal français ?

Le peut-on vraiment alors que chaque jour, de nouvelles gabegies, de nouvelles dépenses somptuaires parfaitement débiles sont découvertes, que des privilèges et des arrangements coûteux perdurent alors que tout, dans le pays, indique qu’il est maintenant plus que temps de couper dans toutes ces distributions généreuses d’argent gratuit des autres ?

Le peut-on vraiment alors que même la très placide Cour des Comptes aux dents très limées est obligée de noter les hausses implicites et non documentées des prélèvements obligatoires : 17 milliards d’euros de prélèvements supplémentaires dont les magistrats de la rue Cambon sont incapables de définir la provenance, ou l’actuel ministre de l’Économie (un certain Bruno Le Maire) d’expliquer l’existence dans les budgets à venir…

Le peut-on alors que, justement, le président de cette poussiéreuse institution en est lui aussi réduit à s’alarmer des finances publiques, sans doute à l’instar de ses prédécesseurs mais avec cette fois-ci un accent de crédibilité et d’urgence qu’on ne saurait ignorer qu’à ses dépens ?

Et ce qui est frappant, c’est que ce constat (alarmant, donc) une fois posé, les solutions proposées sont, même à la Cour des Comptes, extraordinairement les mêmes que d’habitude : et si on taxait d’un petit coup sec (derrière la nuque ?) les moutontribuables français, histoire de combler l’un ou l’autre trou budgétaire ? En effet, pour Moscovici, l’actuel président de la Cour qui assure bien n’être pas “un maniaque de la fiscalité”, il ne faudrait pas passer à côté d’une petite taxation supplémentaire, ou, pour le dire comme lui, ne pas “s’interdire le levier fiscal”.

Ceux qui ont de la mémoire se souviendront des (contre-) performances de Pierre Moscovici d'il y a dix ans qui donnent une saveur particulière à ses affirmations de non-maniaquerie et ses propositions d’utiliser un bon gros levier fiscal, dont le gabarit moyen tourne actuellement autour de 21 milliards d’euros.


Oui, vous l’aurez compris : partout, dans toute la structure de l’État, dans son gouvernement, dans ses administrations et ses institutions, absolument partout dans les esprits qui animent ces corps, ces assemblées, ces commissions et ces cabinets, l’unique voie de salut pour un problème budgétaire passe par l’impôt. Inversement, nulle part et jamais ne sont considérées les propositions visant à sabrer dans les dépenses.

De ce tropisme, de cette obsession fiscale et de ce déni de sobriété provient sans doute la redoutable efficacité de la collecte de l’impôt en France. Car même si les gauchistes (qui en veulent toujours plus) crient sans cesse à l’évasion fiscale ici ou là, tous les rapports mondiaux, tous les indicateurs, benchmarks et autres comparaisons avec le reste du monde s’accordent à dire que la France est l’un des pays où la collecte des taxes, impôts, accises et autres ponctions est la plus efficace.

Cette efficacité a longtemps été un atout. Elle est devenue une malédiction maintenant que l’imposition est à son maximum : il n’y a plus aucune marge de manœuvre, les Français sont déjà pressurés au maximum. Les besoins supplémentaires sont si gros, la pression si forte qu’on sait déjà que l’écart (lisez “déficit”) budgétaire ne pourra pas être comblé. Et ce “on”, ce sont les Français eux-mêmes, bien sûr, mais aussi leurs financiers.


C’est donc sans surprise qu’on commence à entendre les petits gémissements du FMI (dont on rappellera que les experts se sont récemment déplacés en France) qui enjoint – amicalement pour le moment – les autorités françaises à remettre de l’ordre dans leurs finances tant la situation semble vite se dégrader. Il est vrai que certains signes (sur les entreprises, ou sur l’immobilier par exemple) ne trompent guère : la France ne se dirige vraiment pas vers une croissance réjouissante dans les prochains mois, au contraire.

La mise sous tutelle approcherait-elle si vite que même Bruno, le cador de Bercy, s’inquiète d’un risque de naufrage pour la France ? En tout cas, le fait qu’il planifie pour les prochaines semaines son exfiltration en Suisse – les démentis de son cabinet renforçant encore la solidité de l’information – devrait rassurer tout le monde, n’est-ce pas ?


https://h16free.com/2024/07/22/78163-pour-redresser-les-finances-les-autorites-ont-une-idee-finaude-augmenter-les-impots

21 juillet 2024

Marc Amblard

RETRAIT DE BIDEN : UN POINT RAPIDE

1. Joe Biden renonce à être candidat à sa réélection. Il ne démissionne pas de son poste. Il restera donc président des États-Unis durant les 6 mois restants (jour pour jour).

2. Lui-même, mais également les Clinton, et Alex Soros soutiennent la VP Kamala Harris malgré son impopularité auprès du peuple et ses capacités limitées. Barak Obama ne la soutient pas.

3. En réalité, des millions d’électeurs ont désigné quelque 4600 délégués à travers les 50 États et ce sont ces délégués qui voteront lors de la convention du parti le 19 août prochain à Chicago pour désigner le candidat démocrate.

4. Dans un message sur X, le candidat indépendant, Robert F. Kennedy Jr, a estimé hier que le processus de désignation sera truqué par les élites démocrates pour faire de Harris la candidate.

Affaire à suivre...