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23 août 2024

QUELLE MASCARADE GÉNÉRALE !

Jacques Cotta

23/8/2024 - Macron reçoit donc les « chefs » de partis à l’Élysée pour consulter et envisager la nomination d'un nouveau premier ministre. Et pendant ce temps, Attal et le gouvernement démissionnaire continuent de gérer « les affaires courantes », allant jusqu’à prévoir les lignes budgétaires de chacun pour l’avenir, donnant le cadre de la future loi des finances contre les aspirations du peuple.
Et ils jouent tous le jeu…
La mascarade est générale.
Le NFP irait donner des gages de bonne gouvernance si Castets était nommée. Des gages à Macron, un comble non ? Il semblerait même que certains engagements - le smic à 1600 euros par exemple - seraient un objectif à horizon…
En réalité cette très mauvaise farce met en évidence le caractère profondément antidémocratique de la Ve République qui donne les pleins pouvoirs au président, quel que soit l’avis et la décision du peuple.
Pendant ce temps des milliards vont au financement de la guerre au détriment des besoins des Français, de notre santé, de notre éducation, de nos transports, des possibilités pour des millions de satisfaire les besoins essentiels, pour eux et leur famille.
Des milliards votés par tous, au nom du soutien à l’Ukraine…
Vraiment, quelle mascarade générale !
Julie d'Aiglemont

Une brève...

Le Roy avait fait mine de recevoir les Plébéiens et les Plébeiennes qu'il n'avait point encore réussi à diviser, mais on y oeuvrait secrètement par l'entremise de monsieur du Glucose, lequel ayant quelque peu réanimé la Faction de la Rose au Tournoi de l'Europe, s'en pensait devenu incontournable. Sa Neigeuse Altitude avait doncques accordé une oreille faussement attentive à Madame Fin-du-Castetus et ses comparses, avant que de s'entretenir deux longues heures avec ses vassaux, lesquels, fort divisés, affichaient une unité de façade.
Notre Morgueux Oligarque reçut ensuite les barons de la Dextre. Monsieur du Veauquié s'entendit avec le duc des Attelles pour convenir qu'on boutrait tout gouvernement comportant un de ces maudits Insoumis. Le Roy en fut fort satisfait.
On convoqua alors au Château un plumitif de la Gazette Les Potins à qui l'on confia la mission de révéler que Sa Fieffée Autocratie ne donnerait point suite aux demandes inconsidérées de la Faction de la Plèbe, puisqu'il apparaissait que Madame Fin-du-Castetus et son gouvernement seraient renversés sitôt leur nomination. C'était là pur mensonge, la Chambre Basse n'étant point appelée à siéger avant l'automne.
On était au Royaume du Grand-Cul-par-dessus-Tête. Notre Poudreux Foutriquet avait perdu le Tournoi qu'il avait lui-même provoqué mais par un tour de passe-passe, il était maître de toutes choses. Ainsi en avait-il décidé.

Monsieur Bompardus promettant de destituer le Roy devant quelques Dévôts.

LE BAL DES IRRESPONSABLES

Gabriel Nerciat

23/8/2024 - Résumons, comme sur un cahier de vacances juste avant le début de la rentrée.
Un président de la République perd, de façon humiliante, des élections européennes deux ans après avoir été assez mal réélu.
Jugeant dès lors sa légitimité mise en cause, et conformément à l'esprit de la Ve République, il décide, comme Charles De Gaulle en 1962 et 1968, de dissoudre l'Assemblée nationale.
Le peuple français se rend massivement aux urnes pour lui confirmer sa disgrâce.
Là-dessus, son Premier ministre, entre les deux tours des législatives, organise avec une gauche famélique (25% à peine des suffrages exprimés) mais opportunément et rapidement réunifiée sous le sigle du NFP, un hold-up électoral qui empêche le RN, principal parti d'opposition, de prétendre accéder au pouvoir.
Rendant du même coup la République totalement ingouvernable.
Aujourd'hui, à l'été 2024, ce sont donc une gauche historiquement minoritaire, curieusement représentée par une technocrate inconnue de quiconque, et un président aux abois, désavoué deux fois par les Français et lâché par le gros de ses troupes, qui prétendent chacun exercer le pouvoir sans rien devoir à l'autre, alors même que le blocage politique du pays est le fruit direct de leur complicité et de leur échec - dont ils refusent jusqu'à présent d'assumer la responsabilité.
A mon avis, ni l'un ni l'autre ne parviendront à tirer leur épingle du jeu, même si Mélenchon a toutes les raisons de se réjouir de la situation présente ; mais en dépit de l'affaiblissement préoccupant du régime, il y a comme l'expression d'une justice immanente à les voir devenus tels des otages empêtrés dans les conséquences de leur propre perfidie.

Florian Philippot

Le boycott ou la trahison !

Aujourd’hui débutent les « consultations » des chefs de partis ayant un groupe parlementaire : quel cirque !
Cautionner ça par leur présence est une honte de la part des « oppositions » qui avaient une occasion formidable de ridiculiser et d’affaiblir Macron en boycottant ces rdv qui ne servent jamais à rien !
Macron se fiche totalement du vote des Français : il veut juste un gouvernement technique à sa botte pour appliquer la politique exigée par Bruxelles (on est sous tutelle !).
Bruno LeMaire l’a d’ailleurs avoué la semaine dernière : « Quelle que soit la majorité au pouvoir, elle sera tenue par les exigences de Bruxelles. »
Et Le Parisien révèle ce jour que Macron « ne veut pas voir détricoter ses réformes économiques et sociales » !
Le Monde ajoute qu’il « refuse de changer sa politique sur le fond », après sa double défaite électorale. Et précise que « Macron réfléchit à un casting qui lui permette de garder la main, assure un ancien conseiller de la présidence » !
Alors il nommera un 1er ministre euromacroniste (Bertrand, Cazeneuve, Pécresse, etc. Peu importe) : il a aussi négocié tout l’été depuis Brégançon avec PS, LR et RN (Politico l’a expliqué) le non-vote d’une motion de censure !
On ne combat pas de Système oligarchique en entrant dans son jeu ! On le détruit. Et la première des choses à faire pour ça est de renverser tout gouvernement que nommera Macron pour le forcer, lui, au départ !
Il va falloir que les Français se débarrassent des imposteurs au pouvoir et de la fausse opposition s’ils veulent un jour que ça change vraiment !

La cocotte-minute occidentale

H16

H16 signe des chroniques qui sont d’une telle lucidité anti-gouvernementale que leur auteur est haï par l’oligarchie qui, tirant les ficelles de ses pantins, se voit constamment démasquée dans ses turpitudes, d’où le pseudonyme H16, qui cache un haut fonctionnaire très au fait de ce qui se passe dans les officines de l’Élysée et de Bruxelles.

23/8/2024 - Avec les récentes émeutes au Royaume-Uni, on a pu constater que la société britannique n’était plus ce miracle d’équilibre entre les populations locales et les populations importées récemment. On sent même que les tensions qui se sont exprimées (et qui sont maintenant réprimées même sur les réseaux sociaux avec une brutalité particulièrement surprenante pour un pays jadis démocratique) ne sont pas apparues spontanément en quelques jours suite à un triple meurtre d’enfants, présenté comme quasiment fortuit par une presse en dessous de tout.

En réalité, ce qui s’est récemment passé au Royaume-Uni n’est pas fortuit et ressemble à une étape supplémentaire de la société occidentale vers le chaos. Nouvelle étape qui, bien que prévisible, n’en a pas moins stupéfait la droite française qui découvre, avec la Lune, que ces émeutes illustrent l’échec du multiculturalisme.


Oui, il faut être borné comme un politicien ou un pisse-copie français pour ne pas voir l’échec complet de ce multiculturalisme d’autant qu’en lieu et place d’une stricte égalité en droit, il s’est accompagné d’un favoritisme des cultures et pratiques alternatives au détriment de la société autochtone. Cela ne pouvait pas bien se terminer.

En fait, il faut être extrêmement reclus loin de tout contact avec la réalité de terrain pour ne pas percevoir les tensions qui s’accumulent aussi en France… Et qui grandissent aussi dans d’autres pays occidentaux touchés par les mêmes phénomènes de base (multiculturalisme, laïcité devenue arme contre le christianisme et égalitarisme à géométrie variable pour nommer les plus saillants).

Ainsi aux États-Unis, on se doute que les prochains mois seront propices à des débordements de tous types. Quels que soient les résultats des élections de Novembre, on peut parier sur de profonds troubles chez l’Oncle Sam : si la candidate des Démocrates l’emporte (Harris ou qui que ce soit d’autre), peu pourront ignorer les fraudes massives qui ne manqueront pas d’émailler le scrutin ; et si c’est Trump, il n’y a guère d’effort à faire pour imaginer les hordes d’antifas et autres militants BLM lâchés dans les rues des villes démocrates pour y faire régner le chaos…

En fait, la polarisation de la société en camp irréconciliables a atteint des sommets d’autant que, pour les peuples, les institutions sur lesquelles ils s’appuient traditionnellement ont perdu toute leur confiance : les politiciens comme les médias se sont amplement discrédités ces dernières années.



Ces tensions sociétales se reflètent aussi dans les tensions géopolitiques, qui s’illustrent aussi dans la nervosité évidente des différents dirigeants occidentaux et leur absolue certitude (évidemment tue) de ne pas être suivis par l’essentiel de leur population.

Autant d’éléments qui se mettent en place et transforment la société occidentale, la France notamment, en une véritable cocotte-minute dans laquelle la pression monte sans qu’aucune soupape ne semble avoir été prévue.


À ce constat s’ajoute celui, encore plus alarmant, de la dégradation mesurée de la santé mentale d’une part croissante de la population et qui achève de donner à l’ensemble un parfum d’Union soviétique repeinte d’arcs-en-ciel compulsivement répartis un peu partout avec obligation d’agréer. Et comme dans l’URSS de jadis, on retrouve une élite déconnectée des contingences quotidiennes du peuple, qui mène une vie relativement simple et décontractée, et le reste de la population confrontée à des complications toujours plus nombreuses, qui déprime de voir son avenir se boucher, son niveau de vie dégringoler et ses services publics partir en cacahuète périmée.

Peut-être est-ce ce constat qui explique la hausse inquiétante des suicides notamment chez les populations jeunes : on constate ainsi en 2021-2022 une hausse de 71% des hospitalisations pour ces motifs par rapport à la moyenne de la période 2010-2019, et une hausse de 246% (!) sur la même période des hospitalisations en psychiatrie chez les filles de 10 à 14 ans (avec une augmentation de 163% chez les 15-19 ans).

Au passage, cette hausse récente des suicides chez les jeunes s’observe aussi ailleurs qu’en France : on la note aux États-Unis par exemple où le triste record de 2022 a été battu en 2023 en dépassant les 50.000 suicides annuels. Cette tendance à la hausse est visible ailleurs dans d’autres pays occidentaux, comme en Espagne

Et pendant que les jeunes semblent vouloir hâter leur propre disparition, les dernières statistiques de natalité dans l’Occident montrent une nette tendance à la baisse.

En somme, il semble bien qu’en bouchant ainsi l’avenir avec leurs politiques “progressistes” (marxistes et collectivistes en réalité), les dirigeants, aidés de médias à leur botte, ont durablement implanté dans l’esprit des jeunes générations que non seulement, il ne fallait plus faire d’enfants, mais qu’à tout prendre, le suicide est une solution envisageable (voire l’euthanasie)…

Autrement dit, la cocotte-minute évoquée dans les paragraphes précédents est loin d’être retirée du feu : à mesure que les impacts de la crise économique vont se ressentir de plus en plus fort sur toutes les populations, l’incitation à procréer et à s’inscrire sur la durée va aussi diminuer.

Or, les enfants constituent probablement la raison la plus solide de se projeter dans l’avenir et de se fixer des buts ; la véritable bataille psychologique actuellement menée par les dirigeants (de moins en moins ont d’enfants) et les médias contre le fait d’avoir des enfants constitue donc la plus néfaste des tendances sociétales actuelles, qui explique probablement la plupart des renoncements moraux, politiques ou sociétaux des élites de l’Occident actuel.

Pire : cet effondrement démographique rapide signifie effondrement économique à court terme, qui à son tour se traduit logiquement par un appauvrissement général à commencer par celui de la classe moyenne. Lorsque cette dernière commence à ne plus avoir d’avenir clair et meilleur que son passé, que son niveau de vie baisse visiblement et qu’en plus de cela, les institutions se montrent corrompues et les élites déconnectées, des mouvements violents ne sont plus très loin.

Or, lorsque le chaos s’installe, lorsque la cocotte-minute finit par exploser, cela n’aboutit jamais à un grand mouvement de liberté rafraîchissant. Tout du contraire, même.


https://h16free.com/2024/08/23/78493-la-cocotte-minute-occidentale

22 août 2024

Nicole Gout

Les Ukrainiens ont-ils déjà soumis les 140 millions de Russes ?

L'invasion du Koursk par l'Ukraine met également en lumière la résilience des dirigeants russes face à la propagande occidentale.
Beaucoup s'attendaient à ce que la Russie fasse tout ce qui est en son pouvoir pour pousser l'Ukraine hors de la région de K. Cette attente était exactement ce que l'Ukraine espérait : le détournement des forces russes du front du Donbass pour soulager la pression là-bas en les attirant dans la région de Koursk.
Cependant, cela n'a pas été le cas. Au lieu de cela, la Russie continue de mener sa guerre d'usure contre l'Ukraine, aujourd'hui dans la région de Koursk, tout en maintenant sa domination dans le Donbass.
Ainsi, la tentative de forcer la Russie à réagir a échoué.
Malgré toutes les critiques, y compris sur des plateformes comme X, le gouvernement russe semble totalement indifférent à la façon dont les médias occidentaux le perçoivent ou le jugent.
En conclusion, la capacité de la Russie à résister aux pressions extérieures et à adhérer à ses objectifs stratégiques souligne un certain degré d'indépendance stratégique et de résilience qui complique la situation pour l'Ukraine et ses alliés.

Gastel Etzwane

Ce n’est pas l’Europe, c’est l’Union européenne, cette technostructure d’essence totalitaire qui travaille systématiquement contre l’intérêt de ses membres. Dommage qu’aucun grand parti politique français ne veuille en sortir.

Laurence Muller-Bronn
Sénatrice du Bas-Rhin

À écouter sur France Bleu Pays d'Auvergne l'appel de Mathieu Dubois, Président d'AAVIC TEAM pour la reconnaissance et prise en charge médicale des victimes des injections anticovid. Comme lui, de nombreuses victimes potentielles d'effets indésirables graves n'ont pas voix au chapitre, souffrent dans leur corps et sont de surcroît totalement invisibilisées par le système.
AAVIC Team rassemble 1900 membres, 500 victimes d'effets indésirables de 15 à 91 ans, dont 22 maladies de Charcot... et de Covid long (Covid non ou mal soigné) !
C'est un parcours du combattant de tous les jours. Des répercussions sur tous les aspects de la vie : la santé, la mobilité, le travail, la vie conjugale et vie de famille... que l'on ne peut même pas imaginer.
98% des membres de l'asso ne peuvent plus travailler en raison de leurs pathologies.
En 2024 on ne peut plus nier les effets indésirables, ni laisser les gens souffrir ou mourir.
Mathieu est lui même atteint d'une neuropathie des petites fibres et d'une encéphalomyélite.

Julie d'Aiglemont


Chronique du vingt deuxième d'août en l'an vingt-quatre de la Grande Dissolution

On était la veille du jour où le Roy devait recevoir les chefs des Factions. Cela faisait maintenant plus de quarante jours que les Plébéiens et Plébéiennes avaient emporté le Tournoi de la Chambre Basse mais Sa Scandaleuse Surdité n'en avait eu cure. Les Olympiades avaient été une trêve bénie. "Nous qui avons vécu pendant plus de deux semaines dans un pays où on eu le sentiment que l'air était plus léger, nous n'avons point envie que la vie vulgaire reprenne ses droits" avait énoncé Notre Neigeux Escamoteur dans les jardins du Château, au lendemain de la clôture des divines Olympiades devant des courtisans et courtisanes en pâmoison. Ainsi la baronne de la Patronesse en avait-elle frissonné de contentement.
Il se disait que son nom était parmi de ceux qui se murmuraient pour occuper auprès du Roy la charge de Premier Grand Chambellan. La baronne eût tant aimé damer le pion à son compère le baron du Tranber. On avait aussi chuchoté celui du duc de la Nouvelle-Paillote, dont tout le monde ou presque avait oublié qu'il avait servi le roy Françoué dit le Flan. Il se trouvait cependant quelques Riens et Riennes pour rappeler fort opportunément qu'un brave et jeune botaniste avait vu sa vie fauchée par une grenade lancée dans son dos par un homme d'armes très zélé, au service du duc de la Nouvelle-Payotte, lui-même sous les ordres du Premier Grand Chambellan d'alors, le duc d'Evry, qu'on appelait aussi Manolo de la Valse.
D'autres noms se murmuraient encore. Les Dévôts et les Dévôtes n'en finissaient plus de farcir la tête des gazetiers afin de donner le change. Les Très-Riches - qui n'entendaient point céder un seul sou de leurs immenses fortunes - faisaient procéder à de coûteux carottages de cervelles pour faire oublier que les Riens et les Riennes avaient défait le camp du Monarc par leurs suffrages. Tout valait mieux que de prononcer le nom honni de la belle madame Fin-du-Castetus, laquelle, toute sage qu'elle était, ne s'en laissait point conter. La petite duchesse de la Gerbée alla médire d'elle dans les salons d'une Gazette sans jamais prononcer son nom. Elle ânonna avec application son bréviaire. On eût dit une piteuse cartomancienne. Elle fit une peinture apocalyptique de ce qui arriverait si par malheur madame Fin-du-Castetus formait un gouvernement où on compterait ces maudits Insoumis.
La Gazette de monsieur Plenus Mustachus narra par le menu comment le Roy et la Reyne avaient fait établir aux abords du Château une échoppe-musée. Nos Pipolesques Altesses n'entendaient point jouer en personne à la marchande - telle la Reine Marie-Antoinette s'occupant grâcieusement de quelques brebis bien toilettées. Le noble dessein était de donner à admirer aux Riens et aux Riennes comment l'on vivait au Château sous le règne de Notre Dispendieux Bibelot. Des portraits de Sa Neigeuse Altitude ornaient chaque pièce. On y vendait à prix d'or quelques menus souvenirs.
Ce fut aussi le jour où l'on apprit que le Parquet de Lutèce entendait requérir contre le comédien monsieur De Parodieux pour outrages suprêmes à l'encontre d'une femme, laquelle était connue de lui, ce dont il s'était servi pour la mettre à sa merci. Le Roy avait à quelque temps de là apporté tout son soutien à monsieur de Parodieux. N'était-il point un génie au service de la culture de notre pays ? L'hommage très appuyé du souverain avait fait grandement jaser. La chose était fort amère pour les Riennes à qui Sa Mensongère Manigance avait promis qu'on combattrait avec force toutes les violences qui leur étaient infligées quotidiennement.
Un autre histrion, fort connu lui aussi, était passé de vie à trépas. Les gazettes l'encensèrent pour sa beauté passée et les multiples rôles qu'il avait endossés, où il avait semblé pour beaucoup n'avoir été à chaque fois que lui-même. Comme il avait été fort ami avec son père, la ChatelHaine de Montretout s'empressa pour être la première à lui rendre hommage par un billet qui fut transmis à toutes les Gazettes. Le Roy en fut fort marri. Cet histrion pour lequel le peuple et les gazetiers avaient la larme abondante eût fait un formidable Premier Grand Chambellan.
Ainsi en allait-il au royaume du Grand-Cul-Par-Dessus-Tête. Le Roy était nu mais il portait perruque. Cela valait bien une couronne.
Portraitiste officielle Bridget Jaune
Régis de Castelnau

Rubrique : zéro

La copine de Hollande, Moscovici et Hidalgo jongle avec les zéros. Pour la dette de la Ville de Paris, elle en enlève, pour critiquer Macron, elle en rajoute.
15.000 internes de moins dans les hôpitaux français l’année prochaine ? Bigre ça va faire mal. Ah oui mais non, c’est pas 15.000, c’est 1.500 c’est-à-dire le nombre des candidats qui ne se sont pas présentés au concours...
Le « renouveau social-démocrate » qu’appelle de ses vœux le MEDEF, il a quand même une drôle de tête. Le pire c’est que cette énormité est probablement involontaire de la part de cette caricature de technocrate socialiste que Mélenchon s’est laissé imposer par le PS comme candidate du NFP à Matignon.
Il s’en mord manifestement les doigts, alors il a trouvé une combine : il balance son chantage à la procédure de destitution.
« Dis donc Macron, tu vas la nommer Castets oui ou non ? Si tu te couches pas, on t’envoie la foudre. Une destitution ! »
Sûr que Macron va se coucher.

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