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1 septembre 2024

ESPRIT CRITIQUE ET COMPLOTISME : NE VOUS LAISSEZ PAS MANIPULER

Marc Amblard

1/9/2024 - L’esprit critique est une posture intellectuelle que nous impose la sagesse. Tenter de la faire passer pour une déviance (le complotisme) est une manipulation profondément perverse.
C’est en réalité tout le contraire. L’esprit critique implique devant toute information une phase de validation préalable : le message qu’on m’adresse est-il correct ? Est-il conforme aux faits réels ? Se peut-il qu’il soit biaisé ?
Je dois faire mienne l’idée qu’il y a potentiellement un risque de déformation en raison même de la nature de chacun des transmetteurs qui l’ont véhiculé jusqu’à moi.
S’impose alors l’impérieux devoir de confronter le message à d’autres sources d’information pour en vérifier la cohérence et la compatibilité.
Attention, le doute que l’esprit critique engendre ne revient pas à imaginer des scénarios délirants ou des conspirations démoniaques. Non, il consiste simplement à soumettre l’information à un test de cohérence avant de l’accepter et de la ranger dans un tiroir de sa conscience.
Cette capacité à remettre en question toute forme d’information n’est finalement qu’une manifestation de notre intelligence. Sur ce point, soyons clairs : prendre systématiquement pour acquis ce qu’on nous transmet, fut-ce par l’école, le gouvernement ou les médias, ce n’est pas de l’intelligence mais de l’obéissance.

LE FUTUR PREMIER MINISTRE N'EXISTE PAS

Gabriel Nerciat

31/8/2024 - Je n'arrive pas à comprendre pourquoi tout le monde fait de Cazeneuve le favori pour Matignon.
Non seulement il ne dispose pas plus que les autres prétendants d'une majorité relative de parlementaires susceptible de le laisser gouverner (la moitié au moins des députés PS reste fidèle au NFP, et à droite on voit mal pourquoi Wauquiez et Retailleau accepteraient d'aider Macron à sortir de l'impasse où il s'est mis en négociant un improbable pacte de gouvernement avec l'ancien ministre de l'Intérieur) ; mais en plus, proche collaborateur de François Hollande, il incarnerait mieux encore que Xavier Bertrand ou Jean-Louis Borloo le retour de l'ancien monde "UMPS", que Macron en 2017 prétendait balayer à son profit.
Si le Banquier Président était déjà suffisamment orgueilleux, du temps de sa superbe, pour ne pas supporter à ses côtés la présence d'un Manuel Valls ou d'une Ségolène Royal, a fortiori une cohabitation avec Bernard Cazeneuve constituerait pour lui, chaque mercredi, une humiliation intolérable.
Sans compter que les Français en juin-juillet dernier n'ont absolument pas voté dans le sens d'un retour de la vieille social-démocratie sépia et faisandée de papa Delors ou de grand-papa Auriol.
La vérité, on la connaît en fait depuis deux mois : personne ne peut être nommé Premier ministre par le président actuel.
Le macronisme ayant été clairement par deux fois désavoué dans les urnes, alors même que la dissolution surprise posait une question de confiance à un seul tranchant, aucun membre du bloc d'extrême centre (y compris Bayrou) ne peut décemment être envoyé à Matignon - ce dont le perfide Gabriel Attal s'est empressé de se dire persuadé.
Un Premier ministre LR, comme le réclame Sarkozy, est tout aussi impensable : le parti de Jacques Chirac et d'Alain Juppé est de tous celui qui a obtenu le score le plus minable (sans l'aide de Mélenchon, d'Attal et du pseudo-Front républicain, il y aurait aujourd'hui moins d'une vingtaine de députés LR au Palais-Bourbon).
La folle de Lucie Castets, n'en parlons même pas : elle serait décapitée par une motion de censure avant même d'avoir fait ouf.
Reste la seule hypothèse viable sur le papier, mais sur le papier seulement : le gouvernement technocratique à l'italienne, avec par exemple Michel Barnier à sa tête.
Mais outre que cet expédient anti-démocratique est totalement contraire à l'esprit des institutions de 1958, il dépendrait pour son succès de l'approbation au moins provisoire de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon.
Et on voit mal comment un technocrate du genre Castex ou Migaud réussirait à tirer son épingle du jeu face à une Chambre massivement hostile, dans le cadre d'une politique d'austérité ruineuse qui exigerait d'être incarnée par un homme politique au plein sens du mot.
Bref, Macron ne peut nommer personne à l'Hôtel Matignon, sinon des fantoches bureaucratiques (voire des notables de province comme Estrosi ou Delga) qui seront très vite balayés par le vent.
Et comme il est seul responsable de l'échec désormais consommé de ses deux mandats, c'est lui et lui seul qui devra en payer le prix.
Ce qu'exige déjà, selon les sondages, un Français sur deux.
Tout le reste est (mauvaise) littérature.

31 août 2024

Transgression et anomie dans la politique française

Maxime Tandonnet


31/8/2024 - Transgression : viol d’une loi ou d’une règle d’un principe de la vie en société. Anomie : perte des repères intellectuels ou moraux. Les deux vont de pair. En ce moment, la politique nationale est rongée par l’impuissance, l’incapacité chronique à améliorer la vie des Français et à préparer l’avenir. De mandat en mandat, depuis une quarantaine d’années elle ne fait que cumuler les échecs et les déceptions. Les raisons en sont bien connues : le pouvoir s’est dépossédé de ses leviers d’action, par la judiciarisation de la vie publique, les transferts de compétences à Bruxelles ou ailleurs…

Et puis, ayant intériorisé cette incapacité à faire bouger les lignes, le pire de tout est qu’il y a renoncé au fond, il a démissionné. D’où la fuite dans la communication : paraître, faire semblant d’agir. Tout ceci est bien connu.

Mais en ce moment, une nouvelle tendance se dessine. La communication, le bavardage intempestif ou les gesticulations ne suffisent plus pour faire illusion. C’est comme l’accoutumance à l’héroïne ou la cocaïne : il en faut toujours davantage. Alors, au-delà de la com’, l’heure est à la transgression : violer la règle ou le principe pour créer un effet de sidération. Rien ne les arrête, aucune limite morale ou intellectuelle. Trois exemples :

M. Ciotti, président de LR, qui accomplit l’impensable : passer à l’adversaire lepéniste tout en restant président d’une formation qui lui a fait confiance, en emportant avec lui la marque du parti, ses finances, son identité… Bien sûr la trahison est à la mode en ce moment, mais là nous avons eu la trahison suprême, la trahison des trahisons…

Autre transgression incroyable : le NFP, autrement dit la gauche radicalisée, qui tente d’imposer par la menace de la rue une première ministre pure techno associée à la catastrophe de la gestion de Paris, jamais élue, n’ayant jamais rien prouvé de positif, uniquement connue pour la radicalité de ses positions. Pour des prétendus démocrates de gauche, cette pirouette ou coup du magicien sans le moindre égard envers la volonté populaire - techno jamais élue - relève du mépris le plus caractérisé du suffrage universel. La mode aussi…

Enfin, depuis 45 jours, la France n’est pas gouvernée, elle n’a pas de gouvernement. C’est du jamais vu ni pour la Vème ni pour la IIIème ni pour la IVème. Cela signifie : ma splendeur jupitérienne vous suffit, braves gens, vous vous passerez d’un gouvernement aussi longtemps que je le voudrai, et rien à faire des articles 20 et 21 de la Constitution. Anomie et transgression sont devenues les deux mamelles de la politique française. En politique nationale, elles ne valent pas mieux que l’ensauvagement dans la rue. Exemplarité, exemplarité… C’est exactement de la même nature.

https://maximetandonnet.wordpress.com/2024/08/31/transgression-et-anomie-dans-la-politique-francaise/

30 août 2024

Julie d'Aiglemont

Chronique du vingt-huitième d'août en l'an vingt-quatre de la Grande Dissolution

La Startupnéchionne était fille ainée de l'Église du Saint-Capital et de la Sainte-Phynance réunies, il était bon que les gueux et les gueuses s'en souvinssent. C'était en substance ce que Notre Fanatique Disciple venait de faire savoir en écartant d'un revers de main la candidature de madame Fin-du-Castetus au poste de Premier Grand Chambellan. Le baron d'Ilyapludun-Analafoir, qui avait succédé à monsieur d'Avou de Baissélézieux à la tête de la Guilde des Maitres des Forges, en était fort satisfait. Il félicita le Roy et fit savoir aux gazetiers et gazetières en pâmoison que les Riens et les Riennes n'avaient en rien désavoué la politique économique du Monarc, laquelle avait permis aux Très-Riches de s'enrichir inconsidéremment. Sa Sélective Générosité les gavait des deniers publics sans leur demander le moindre liard en contrepartie. La Dissolution était intervenue pour maintenir cet ordre de la Nature. Les Haineux, que certains et certaines avaient craint de voir arriver aux affaires, étaient des zélotes de l'Église du Saint-Capital, quoiqu'ils eussent prétendu le contraire afin de s'attirer les suffrages de celles et ceux qui s'entêtaient encore et contre tout à voir dans le pauvre étranger leur ennemi mortel.
Le bon duc de la Béarnaise avait déjeuné avec le Roy. N'était-il point le candidat idéal pour être tout en même temps Premier Grand Chambellan, et Premier Chanoine de l'Église du Saint-Capital, celui que le baron d'Ilyapludun-Analafoir appelait de tous ses vœux ? Le duc avait toujours eu de ces manières onctueuses, qu'on voyait ordinairement chez les prélats de l'Église de Rome. Madame la baronne de la Datte alla se moquer de la Faction de la Plèbe qu'elle accusait d'avoir fomenté un coup d'État. Elle usait de tout son entregent pour convaincre le baron du Veauquié et le baron de Taiaut-Taiaut de se ranger derrière le Roy.
Notre Turpide Foutriquet avait d'autres chats à fouetter que de nommer un Premier Grand Chambellan. Il lui fallait encore inaugurer les Olympiades des Paralytiques, recevoir quelques cousins couronnés et enfin s'envoler dans les airs dans son aéroplane afin de gagner un royaume des Balkans, d'où il ne manquerait point de s'adresser à ses vils sujets afin de les morigéner sévèrement.
Les Chambellans qui ne l'étaient plus l'étaient encore. Ainsi la bonne baronne d'Otetoidla-Castoidla, qui déclara ingénument - comme elle en avait de coutume - être "à fond" pour les Olympiades des Paralytiques. "Je ne ressens pas un statut de démissionnaire." Nul ne songea à lui demander si elle avait eu à soigner quelques embarras après son plongeon dans la Seyne le mois précédent. La Gazette de monsieur Plenus Mustachus avait révélé que l'eau du fleuve était à ce moment précis fort peu convenable pour y barboter.

Jean-Dominique Michel

La place des escrocs de la science comme Mathieu Molimard, Gilbert Deray, Antoine Flahault, Karine Lacombe (etc.) est en taule !
Alors que c'est France-Soir, le seul titre historique de la presse française à avoir diligemment et honnêtement informé la population, qui est attaqué par la dictature macronienne et ses sbires des médias prostitués...
Émission du 27 août 2024

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Gastel Etzwane

Philippe Katerine, chanteur de sinistre mémoire depuis la cérémonie des J.O., dont on a découvert qu’il collectionnait ses propres excréments dans des boîtes Tupperware, devient chroniqueur régulier sur France Inter. Pour sa première, il était entièrement nu dans les studios.
On n’est plus à ça près sur cette radio, hélas, financée par notre argent.
Tous ces gens peuvent faire ce qu’ils veulent de leur corps, raconter tout ce qu’ils veulent, mais qu’ils le fassent avec de l’argent privé dans des lieux privés.
Je ne suis pas choqué, je lisais hara-kiri à la grande époque du professeur Choron. J’en ai seulement ras-le-bol que tous ces imbéciles nous soient imposés et qu’on doive considérer cela comme la nouvelle normalité. En plus, il n’y a pas l’ombre de talent dans tout ça ; c’est médiocre.

Le président Vladimir Poutine a déclaré que le temps de la patience était révolu

Péonia

Poutine a été assez patient, il savait que dans les premières années de la confrontation avec l’Occident, la Russie n’était pas en état de défier ouvertement l’Occident, et encore moins de le combattre militairement. C’est pourquoi il a empêché les forces du LDNR de se déplacer plus à l’ouest en 2014-2015, alors même que l’armée ukrainienne était en désarroi.
S’il savait qu’à cette époque les Ukrainiens étaient paniqués et désorganisés, il savait aussi que la Russie ne pouvait pas affronter l’Occident. Ainsi, entre 2014 et 2018, la Russie a déployé un effort gigantesque pour développer le type de capacités nécessaires pour pouvoir affronter l’ensemble de l’OTAN et gagner. Là, la Russie est enfin prête.
Poutine l’a dit clairement : « Si quelqu’un prend la décision de détruire la Russie, nous avons parfaitement le droit de riposter. Oui, ce serait un désastre mondial pour l’humanité et pour le monde, mais en tant que citoyen russe et chef de la Russie, je voudrais poser la question suivante : « À quoi sert le monde sans la Russie ? »
Nous savons que Poutine menace rarement, il ne bluffe jamais.
Quiconque croit sincèrement que la Russie n’anéantira pas l’Occident tout entier si elle est sérieusement menacée ne connaît rien à l’histoire et ne comprend pas la mentalité russe. Poutine ne bluffe pas, l’Occident ne peut pas gagner, et la seule variable ici est le prix que l’Occident est prêt à payer pour sa défaite.
Le véritable revers de l’arrogance et de l’ignorance des néoconservateurs est que, loin de mettre à mal la Russie et la Chine comme ils le souhaitaient, ils ont grandement contribué à un renforcement majeur de l’alliance russe, chinoise et indienne. La Russie est loin d’être isolée.
L’ironie aussi est que les États-Unis voulaient créer une crise pour renverser Poutine mais, au contraire, cette crise lui a donné un élan extraordinaire de popularité.
Nous avons Macron…

Alexis Haupt

⬦ La Caverne de Platon en 2024 :
1. On leur dit que la TV désinforme.
2. Ils allument la TV pour voir si c'est vrai.
3. Ils reviennent en criant au complotisme car la TV n'en a pas parlé.
4. Ça commence à devenir compliqué de les faire sortir du médiavers quand même.

⬦ Dans le médiavers, la plus grande menace pour les Français c'est Poutine.
Dans le monde réel, c'est :
- Bill Gates, son OMS, ses produits douteux et le biopouvoir
- Le Nouvel Ordre Mondial
- Le crédit social
- L'État profond américain qui a fait de nous une petite province complètement assujettie
- L'oligarchie française qui pactise avec l'État profond américain pour ses propres intérêts.

⬦ Le totalitarisme au 21ème siècle, ce n'est plus un homme à moustache qui hurle dans un micro, c'est un informaticien qui pilote l'OMS, laquelle souhaite se placer au-dessus des États et décider de ce qui relève de la pandémie ou non et de toutes les mesures auxquelles les citoyens devront se plier, y compris l'injection de produits expérimentaux et nocifs dans le sang.
Il faut le savoir.

⬦ C’est frustrant mais il faut l’admettre : la démocratie se meurt moins à cause du totalitarisme direct que de l’insouciance d’un peuple incapable de réagir ou de prendre conscience qu’il entretient un système non démocratique où tous les abus de pouvoir sont permis.

⬦ La plus grande leçon que doivent tirer les humains du covid est la suivante : quand il n'y a pas de débats contradictoires dans les médias, quel qu'en soit le sujet, c'est qu'on vous manipule.

⬦ Pourvu qu’il puisse croquer dans son Big Mac, affirmer son orientation sexuelle, regarder ses séries préférées ou sa partie de football, le consommateur est satisfait et se moque de la liberté autant que de la souveraineté.

⬦ Tôt ou tard, les gens réaliseront que nous n'étions pas "complotistes" mais opposants au totalitarisme, à la pédocriminalité, aux extorsions de consentement, au crédit social, aux injections de produits nocifs, à une élite financière totalement folle et à ses projets mortifères.

⬦ Le journaliste a une responsabilité énorme. Son devoir est d'informer la population. Partant de là, et je pèse mes mots, tout journaliste qui n'informe pas les citoyens mais qui au contraire les désinforme, les oriente, les manipule ou pire, leur cache les scandales, les faits de corruption, les conflits d'intérêts ou les complots contre le peuple, est un véritable traître à la nation. Un imposteur coupable de haute trahison !

ANATOMIE D'UN SUCCÈS

Gabriel Nerciat

Vu hier, plus d'un an après sa Palme d'or cannoise, le dernier film de Justine Triet, Anatomie d'une chute.
C'est ainsi : lorsqu'une œuvre cinématographique ou son auteur sont sujets à polémique, j'attends en général un certain temps avant de voir le film, afin de ne pas être trop influencé par le contexte de l'heure passée (d'autant plus que je m'étais aventuré un peu imprudemment à prendre ici même la défense de la cinéaste, face à d'exaspérants droitards macroniens, au moment de son algarade cégétiste à la cérémonie des Césars).
Résultat ?
Un film appliqué, digne d'un cinéaste scandinave de bonne facture, un peu trop bien fait si l'on veut (par "bien", j'entends avec sérieux, conscience professionnelle et un manque total de fantaisie ou d'imagination créatrice), un peu trop long aussi à mon goût, mais qui à première vue ne dépare pas des polars psychologiques courants, comme la télévision en produit chaque année des dizaines à la chaîne dans tous les pays d'Europe.
Au bout d'une heure, j'ai commencé à me demander la raison de la Palme et des récompenses en cascade dans le monde entier (le film n'a rien de racoleur mais rien de particulièrement subversif non plus). Et ai donc prudemment attendu l'épilogue.
J'ai bien fait.
Car tout bien réfléchi, je crois que j'ai trouvé la raison du succès, critique et populaire, du film.
Elle est inversement proportionnelle à l'artificialité de l'intrigue policière mise en scène (on comprend très vite que l'héroïne du film, qui n'a rien de chabrolien, n'a pas tué son mari, et que ce dernier s'est bel et bien suicidé ; le suspense relatif à l'issue du procès est donc nul).
Ce que le film veut montrer, c'est comment une femme issue de l'intelligentsia littéraire européenne et cosmopolite (il s'agit d'une romancière allemande de langue anglaise qui a vécu à Londres et s'est mariée en France) réussit, avec l'aide de son jeune fils infirme, à s'affranchir des pulsions morbides et de la jalousie mortifère de son défunt époux - raté ombrageux et caractériel qui s'avère être, par-delà sa mort et en réalité grâce à elle, le véritable et pervers meurtrier de la cellule familiale dont nous suivons le destin et les heurts.
À la fin du film, l'épouse innocentée se retrouve libre dans son chalet de montagne, figée en une position fusionnelle avec son fils aveugle, qui seul a réussi à voir (attention : grosse métaphore pour les nuls) ce que les juges et les flics ne pouvaient pas percevoir, et ainsi résoudre la fausse énigme policière qui n'était qu'un authentique poncif néo-féministe.
Cela ne vaut pas une Palme ?
Ah mais si, je veux, mon neveu !
Au royaume des cuistres aussi, ce sont bien les aveugles qui sont rois.

CONCERNANT LES AVEUX RÉCENTS DU PDG DE META (FACEBOOK)

Marc Amblard

28/8/2024 - Selon un rapport du journaliste d’investigation, Lee Smith, Mark Z. aurait été contraint par l’équipe d’Obama de donner plus de 400 millions de dollars lors de l’élection de 2020, en guise de punition pour ne pas avoir censuré certains contenus sur la plateforme lors de l’élection de 2016. Ils ont même envoyé un faux lanceur d’alerte pour témoigner contre lui.
L’actuelle administration aurait également fait pression sur Meta pour censurer de nombreux contenus liés au covid et au vaccin afin de conforter le récit officiel, fût-il éloigné des réalités scientifiques.
La Maison Blanche a réagi hier en publiant une déclaration affirmant qu’elle avait fait ce qu’il y avait de mieux pour « protéger la santé et la sécurité publiques ».
Apparemment, Mark Z. en aurait assez d'être utilisé et malmené par l'administration Harris-Biden. Il aurait alors pris la décision d’adresser publiquement la fameuse lettre au membre du Congrès Jim Jordan.
Selon Monica Showalter, une autre journaliste, il se pourrait que le jeune dirigeant milliardaire soit en train de changer de camp politique, ne serait-ce que pour échapper à l'ingérence du gouvernement et diriger son entreprise comme il l'entend.
Pour sa part, l’économiste Martin Armstrong a conclu ce matin un article ainsi : « craint-il (Mark Z.) d’être traduit en justice après la victoire de Trump, ou peut-être redoute-t-il de voir sa richesse disparaître sous la présidence de Kamala ? Quoi qu’il en soit, Biden et Harris devraient également être tenus pour responsables d’avoir ouvertement ignoré la Constitution et d’avoir fait de la liberté d’expression un délit punissable ».