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4 septembre 2024

PHYSIOGNOMONIE D'UN RÉGIME AGONISANT

Gabriel Nerciat

Cela fait un demi-siècle, depuis la mort de Georges Pompidou et l'élection de VGE, que tous les sept ou cinq ans un énarque, ou à défaut un notable, maire d'une grande ville de province (voire un simple prof d'économie agréé par Bruxelles comme Raymond Barre ou DSK), vient briguer les suffrages de la prochaine élection présidentielle avec comme seul et unique programme de faire perdurer encore quelque temps le régime social-libéral, européiste, technocratique, atlantiste et usé jusqu'au trognon qui a ravalé la France, naguère première puissance stratégique et nucléaire du continent et quatrième économie exportatrice du monde, au niveau d'un vulgaire vassal des États-Unis, endetté jusqu'au cou, ruiné comme un aristocrate déchu sous la Monarchie de Juillet, et astreint telle une ancienne colonie d'Afrique à verser chaque année un tribut de plusieurs dizaines de milliards d'euros à la Commission de Bruxelles et aux oligarchies bancaires apatrides détentrices des titres du Trésor de l'État.
Apparemment, les Français, surtout les plus âgés et les mieux lotis, adorent ce type de personnages et de projet.
Seule source d'espoir : au fur et à mesure que se succèdent les candidats, leur avachissement physique de plus en plus dégradé laisse transparaître presque charnellement le niveau de délabrement intellectuel et de corruption interne que cinquante ans de pouvoir sans alternance ont suscité en eux.
Et surtout, qu'on ne vienne pas me dire qu'il ne faut pas se moquer du physique des gens ou de leurs champignons épidermiques.
Comme disait Léonard, passé quarante ans tout homme est responsable de son visage, et la laideur ou la beauté ne sont jamais, dans le domaine politique, que l'expression irréfutable d'une souveraine ordalie.

3 septembre 2024

La question tragique de l’institution présidentielle

Maxime Tandonnet

2/9/2024 - Un personnage public est rémunéré par prélèvement sur les finances du pays pour œuvrer au bien public. Quand il devient nuisible se pose forcément la question de sa pérennité. La personnalité de l’actuel occupant de l’Élysée n’est pas seule en cause, je suis désolé de le dire, mais ce serait trop facile. S’en tenir à l’allergie personnalisée envers l’actuel occupant de l’Élysée est absurde et de courte vue. La gauche extrémisée demande sa destitution. Mais pour mettre qui à la place ? Je regrette de devoir dire cela mais ceux qui pensent qu’un Mélenchon ou une Le Pen ou tout autre à l’Élysée feraient moins mal, moins atrocement mal, sont des imbéciles. Le processus de l’effondrement est désormais connu. Un personnage assez médiocre, intellectuellement et moralement mais d’une vanité hors norme, se voit promu roitelet par un matraquage médiatique indécent. Alors il est élu par défaut, parce que les médias l’ont promu à ce moment et qu’il n’y en a pas d’autre, sur la base de gesticulations, d’une belle gueule de grimaces et de belles promesses. Le passage de l’extrême médiocrité intellectuelle et morale au statut de roitelet élyséen lui fait perdre complètement la tête – je le répète, au-delà de la personnalité de l’actuel. Dès lors, il se prend pour une sorte de phénix national, gourou suprême ou quasi dieu. Il perd tous les repères du bon sens comme une girouette devenue folle. Plus rien ne l’arrête, aucune limite ou conscience du bien et du mal. Une vanité paroxystique est son seul guide. Et son comportement exubérant plonge le pays dans le chaos et la calamité – ou aggrave le chaos et la calamité. Comment sortir de cette tragédie ? C’est très difficile car personne n’en a vraiment conscience et les politiques sont béats d’admiration devant un modèle qu’ils rêvent de conquérir à leur profit. Alors, on pourrait imaginer une république pure, sur le modèle de 1793, sans président de la république – autre que le peuple souverain, le référendum, des représentants du peuple destituables ; ou bien une monarchie constitutionnelle sur le modèle britannique, hollandais ou espagnol – loin de la perfection mais qui nous épargne au moins le grotesque des gesticulations élyséennes et le chaos qui s’ajoute au chaos ; ou encore une république avec un président constitutionnel et arbitre discret sur le modèle français de la IIIe République quand elle fonctionnait à peu près (jusqu’à 1920), en l’améliorant pour limiter l’instabilité. Un président de Ve République ne convient qu’à des hommes d’État exceptionnels qui placent le destin de la France avant le leur et qui démissionnent quand ils ont perdu la confiance. Ce temps est révolu. Le système était fait pour de Gaulle, non pour quiconque d’autre. En finir avec la comédie actuelle qui plonge la France dans l’ignominie, le ridicule, le chaos et la destruction.

1 septembre 2024

Régis de Castelnau

Rubrique : usurpation

LFI a donc mis sa terrible menace à exécution et lancé la procédure de destitution d’Emmanuel Macron en application de l’article 68 de la Constitution. Cela n’ira nulle part, il y avait pourtant des motifs pour virer ce type.
Débarrasser la France, d’un irresponsable de ce calibre est désormais une urgence.

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ESPRIT CRITIQUE ET COMPLOTISME : NE VOUS LAISSEZ PAS MANIPULER

Marc Amblard

1/9/2024 - L’esprit critique est une posture intellectuelle que nous impose la sagesse. Tenter de la faire passer pour une déviance (le complotisme) est une manipulation profondément perverse.
C’est en réalité tout le contraire. L’esprit critique implique devant toute information une phase de validation préalable : le message qu’on m’adresse est-il correct ? Est-il conforme aux faits réels ? Se peut-il qu’il soit biaisé ?
Je dois faire mienne l’idée qu’il y a potentiellement un risque de déformation en raison même de la nature de chacun des transmetteurs qui l’ont véhiculé jusqu’à moi.
S’impose alors l’impérieux devoir de confronter le message à d’autres sources d’information pour en vérifier la cohérence et la compatibilité.
Attention, le doute que l’esprit critique engendre ne revient pas à imaginer des scénarios délirants ou des conspirations démoniaques. Non, il consiste simplement à soumettre l’information à un test de cohérence avant de l’accepter et de la ranger dans un tiroir de sa conscience.
Cette capacité à remettre en question toute forme d’information n’est finalement qu’une manifestation de notre intelligence. Sur ce point, soyons clairs : prendre systématiquement pour acquis ce qu’on nous transmet, fut-ce par l’école, le gouvernement ou les médias, ce n’est pas de l’intelligence mais de l’obéissance.

LE FUTUR PREMIER MINISTRE N'EXISTE PAS

Gabriel Nerciat

31/8/2024 - Je n'arrive pas à comprendre pourquoi tout le monde fait de Cazeneuve le favori pour Matignon.
Non seulement il ne dispose pas plus que les autres prétendants d'une majorité relative de parlementaires susceptible de le laisser gouverner (la moitié au moins des députés PS reste fidèle au NFP, et à droite on voit mal pourquoi Wauquiez et Retailleau accepteraient d'aider Macron à sortir de l'impasse où il s'est mis en négociant un improbable pacte de gouvernement avec l'ancien ministre de l'Intérieur) ; mais en plus, proche collaborateur de François Hollande, il incarnerait mieux encore que Xavier Bertrand ou Jean-Louis Borloo le retour de l'ancien monde "UMPS", que Macron en 2017 prétendait balayer à son profit.
Si le Banquier Président était déjà suffisamment orgueilleux, du temps de sa superbe, pour ne pas supporter à ses côtés la présence d'un Manuel Valls ou d'une Ségolène Royal, a fortiori une cohabitation avec Bernard Cazeneuve constituerait pour lui, chaque mercredi, une humiliation intolérable.
Sans compter que les Français en juin-juillet dernier n'ont absolument pas voté dans le sens d'un retour de la vieille social-démocratie sépia et faisandée de papa Delors ou de grand-papa Auriol.
La vérité, on la connaît en fait depuis deux mois : personne ne peut être nommé Premier ministre par le président actuel.
Le macronisme ayant été clairement par deux fois désavoué dans les urnes, alors même que la dissolution surprise posait une question de confiance à un seul tranchant, aucun membre du bloc d'extrême centre (y compris Bayrou) ne peut décemment être envoyé à Matignon - ce dont le perfide Gabriel Attal s'est empressé de se dire persuadé.
Un Premier ministre LR, comme le réclame Sarkozy, est tout aussi impensable : le parti de Jacques Chirac et d'Alain Juppé est de tous celui qui a obtenu le score le plus minable (sans l'aide de Mélenchon, d'Attal et du pseudo-Front républicain, il y aurait aujourd'hui moins d'une vingtaine de députés LR au Palais-Bourbon).
La folle de Lucie Castets, n'en parlons même pas : elle serait décapitée par une motion de censure avant même d'avoir fait ouf.
Reste la seule hypothèse viable sur le papier, mais sur le papier seulement : le gouvernement technocratique à l'italienne, avec par exemple Michel Barnier à sa tête.
Mais outre que cet expédient anti-démocratique est totalement contraire à l'esprit des institutions de 1958, il dépendrait pour son succès de l'approbation au moins provisoire de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon.
Et on voit mal comment un technocrate du genre Castex ou Migaud réussirait à tirer son épingle du jeu face à une Chambre massivement hostile, dans le cadre d'une politique d'austérité ruineuse qui exigerait d'être incarnée par un homme politique au plein sens du mot.
Bref, Macron ne peut nommer personne à l'Hôtel Matignon, sinon des fantoches bureaucratiques (voire des notables de province comme Estrosi ou Delga) qui seront très vite balayés par le vent.
Et comme il est seul responsable de l'échec désormais consommé de ses deux mandats, c'est lui et lui seul qui devra en payer le prix.
Ce qu'exige déjà, selon les sondages, un Français sur deux.
Tout le reste est (mauvaise) littérature.

31 août 2024

Transgression et anomie dans la politique française

Maxime Tandonnet


31/8/2024 - Transgression : viol d’une loi ou d’une règle d’un principe de la vie en société. Anomie : perte des repères intellectuels ou moraux. Les deux vont de pair. En ce moment, la politique nationale est rongée par l’impuissance, l’incapacité chronique à améliorer la vie des Français et à préparer l’avenir. De mandat en mandat, depuis une quarantaine d’années elle ne fait que cumuler les échecs et les déceptions. Les raisons en sont bien connues : le pouvoir s’est dépossédé de ses leviers d’action, par la judiciarisation de la vie publique, les transferts de compétences à Bruxelles ou ailleurs…

Et puis, ayant intériorisé cette incapacité à faire bouger les lignes, le pire de tout est qu’il y a renoncé au fond, il a démissionné. D’où la fuite dans la communication : paraître, faire semblant d’agir. Tout ceci est bien connu.

Mais en ce moment, une nouvelle tendance se dessine. La communication, le bavardage intempestif ou les gesticulations ne suffisent plus pour faire illusion. C’est comme l’accoutumance à l’héroïne ou la cocaïne : il en faut toujours davantage. Alors, au-delà de la com’, l’heure est à la transgression : violer la règle ou le principe pour créer un effet de sidération. Rien ne les arrête, aucune limite morale ou intellectuelle. Trois exemples :

M. Ciotti, président de LR, qui accomplit l’impensable : passer à l’adversaire lepéniste tout en restant président d’une formation qui lui a fait confiance, en emportant avec lui la marque du parti, ses finances, son identité… Bien sûr la trahison est à la mode en ce moment, mais là nous avons eu la trahison suprême, la trahison des trahisons…

Autre transgression incroyable : le NFP, autrement dit la gauche radicalisée, qui tente d’imposer par la menace de la rue une première ministre pure techno associée à la catastrophe de la gestion de Paris, jamais élue, n’ayant jamais rien prouvé de positif, uniquement connue pour la radicalité de ses positions. Pour des prétendus démocrates de gauche, cette pirouette ou coup du magicien sans le moindre égard envers la volonté populaire - techno jamais élue - relève du mépris le plus caractérisé du suffrage universel. La mode aussi…

Enfin, depuis 45 jours, la France n’est pas gouvernée, elle n’a pas de gouvernement. C’est du jamais vu ni pour la Vème ni pour la IIIème ni pour la IVème. Cela signifie : ma splendeur jupitérienne vous suffit, braves gens, vous vous passerez d’un gouvernement aussi longtemps que je le voudrai, et rien à faire des articles 20 et 21 de la Constitution. Anomie et transgression sont devenues les deux mamelles de la politique française. En politique nationale, elles ne valent pas mieux que l’ensauvagement dans la rue. Exemplarité, exemplarité… C’est exactement de la même nature.

https://maximetandonnet.wordpress.com/2024/08/31/transgression-et-anomie-dans-la-politique-francaise/

30 août 2024

Julie d'Aiglemont

Chronique du vingt-huitième d'août en l'an vingt-quatre de la Grande Dissolution

La Startupnéchionne était fille ainée de l'Église du Saint-Capital et de la Sainte-Phynance réunies, il était bon que les gueux et les gueuses s'en souvinssent. C'était en substance ce que Notre Fanatique Disciple venait de faire savoir en écartant d'un revers de main la candidature de madame Fin-du-Castetus au poste de Premier Grand Chambellan. Le baron d'Ilyapludun-Analafoir, qui avait succédé à monsieur d'Avou de Baissélézieux à la tête de la Guilde des Maitres des Forges, en était fort satisfait. Il félicita le Roy et fit savoir aux gazetiers et gazetières en pâmoison que les Riens et les Riennes n'avaient en rien désavoué la politique économique du Monarc, laquelle avait permis aux Très-Riches de s'enrichir inconsidéremment. Sa Sélective Générosité les gavait des deniers publics sans leur demander le moindre liard en contrepartie. La Dissolution était intervenue pour maintenir cet ordre de la Nature. Les Haineux, que certains et certaines avaient craint de voir arriver aux affaires, étaient des zélotes de l'Église du Saint-Capital, quoiqu'ils eussent prétendu le contraire afin de s'attirer les suffrages de celles et ceux qui s'entêtaient encore et contre tout à voir dans le pauvre étranger leur ennemi mortel.
Le bon duc de la Béarnaise avait déjeuné avec le Roy. N'était-il point le candidat idéal pour être tout en même temps Premier Grand Chambellan, et Premier Chanoine de l'Église du Saint-Capital, celui que le baron d'Ilyapludun-Analafoir appelait de tous ses vœux ? Le duc avait toujours eu de ces manières onctueuses, qu'on voyait ordinairement chez les prélats de l'Église de Rome. Madame la baronne de la Datte alla se moquer de la Faction de la Plèbe qu'elle accusait d'avoir fomenté un coup d'État. Elle usait de tout son entregent pour convaincre le baron du Veauquié et le baron de Taiaut-Taiaut de se ranger derrière le Roy.
Notre Turpide Foutriquet avait d'autres chats à fouetter que de nommer un Premier Grand Chambellan. Il lui fallait encore inaugurer les Olympiades des Paralytiques, recevoir quelques cousins couronnés et enfin s'envoler dans les airs dans son aéroplane afin de gagner un royaume des Balkans, d'où il ne manquerait point de s'adresser à ses vils sujets afin de les morigéner sévèrement.
Les Chambellans qui ne l'étaient plus l'étaient encore. Ainsi la bonne baronne d'Otetoidla-Castoidla, qui déclara ingénument - comme elle en avait de coutume - être "à fond" pour les Olympiades des Paralytiques. "Je ne ressens pas un statut de démissionnaire." Nul ne songea à lui demander si elle avait eu à soigner quelques embarras après son plongeon dans la Seyne le mois précédent. La Gazette de monsieur Plenus Mustachus avait révélé que l'eau du fleuve était à ce moment précis fort peu convenable pour y barboter.

Jean-Dominique Michel

La place des escrocs de la science comme Mathieu Molimard, Gilbert Deray, Antoine Flahault, Karine Lacombe (etc.) est en taule !
Alors que c'est France-Soir, le seul titre historique de la presse française à avoir diligemment et honnêtement informé la population, qui est attaqué par la dictature macronienne et ses sbires des médias prostitués...
Émission du 27 août 2024

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Gastel Etzwane

Philippe Katerine, chanteur de sinistre mémoire depuis la cérémonie des J.O., dont on a découvert qu’il collectionnait ses propres excréments dans des boîtes Tupperware, devient chroniqueur régulier sur France Inter. Pour sa première, il était entièrement nu dans les studios.
On n’est plus à ça près sur cette radio, hélas, financée par notre argent.
Tous ces gens peuvent faire ce qu’ils veulent de leur corps, raconter tout ce qu’ils veulent, mais qu’ils le fassent avec de l’argent privé dans des lieux privés.
Je ne suis pas choqué, je lisais hara-kiri à la grande époque du professeur Choron. J’en ai seulement ras-le-bol que tous ces imbéciles nous soient imposés et qu’on doive considérer cela comme la nouvelle normalité. En plus, il n’y a pas l’ombre de talent dans tout ça ; c’est médiocre.

Le président Vladimir Poutine a déclaré que le temps de la patience était révolu

Péonia

Poutine a été assez patient, il savait que dans les premières années de la confrontation avec l’Occident, la Russie n’était pas en état de défier ouvertement l’Occident, et encore moins de le combattre militairement. C’est pourquoi il a empêché les forces du LDNR de se déplacer plus à l’ouest en 2014-2015, alors même que l’armée ukrainienne était en désarroi.
S’il savait qu’à cette époque les Ukrainiens étaient paniqués et désorganisés, il savait aussi que la Russie ne pouvait pas affronter l’Occident. Ainsi, entre 2014 et 2018, la Russie a déployé un effort gigantesque pour développer le type de capacités nécessaires pour pouvoir affronter l’ensemble de l’OTAN et gagner. Là, la Russie est enfin prête.
Poutine l’a dit clairement : « Si quelqu’un prend la décision de détruire la Russie, nous avons parfaitement le droit de riposter. Oui, ce serait un désastre mondial pour l’humanité et pour le monde, mais en tant que citoyen russe et chef de la Russie, je voudrais poser la question suivante : « À quoi sert le monde sans la Russie ? »
Nous savons que Poutine menace rarement, il ne bluffe jamais.
Quiconque croit sincèrement que la Russie n’anéantira pas l’Occident tout entier si elle est sérieusement menacée ne connaît rien à l’histoire et ne comprend pas la mentalité russe. Poutine ne bluffe pas, l’Occident ne peut pas gagner, et la seule variable ici est le prix que l’Occident est prêt à payer pour sa défaite.
Le véritable revers de l’arrogance et de l’ignorance des néoconservateurs est que, loin de mettre à mal la Russie et la Chine comme ils le souhaitaient, ils ont grandement contribué à un renforcement majeur de l’alliance russe, chinoise et indienne. La Russie est loin d’être isolée.
L’ironie aussi est que les États-Unis voulaient créer une crise pour renverser Poutine mais, au contraire, cette crise lui a donné un élan extraordinaire de popularité.
Nous avons Macron…