Vincent Verschoore
La statistique est confondante : lors du Covid, les médecins y compris retraités, âgés et avec comorbidités, n'ont pas connu de surmortalité, alors qu'ils étaient aux premières loges.
L'urgentiste Patrick Pelloux l'avait dit, dès le début : ils se sont soignés, eux, et notamment avec l'hydroxychloroquine.
Extrait de l'article du Dr Gérard Maudrux :
"Non, les médecins ne sont pas des surhommes, ce sont des gens comme vous et moi, ni plus solides, ni plus fragiles. Pour expliquer pourquoi les médecins ont eu 10 à 20 fois moins de décès que prévu, arrêtons de nous voiler la face, regardons les choses en face et cessons toute hypocrisie. Nous savons ce qu’ont fait les médecins : ils ne se sont pas laissés mourir sans traitement, ils ne sont pas bêtes et ne sont pas non plus des anges.
Croyez-vous vraiment qu’en cas d’infection, ils n’ont rien pris sinon du Doliprane, attendant d’appeler le Samu quand cela allait mal, et qu’ils ont demandé à un collègue de les mettre au Rivotril sans rien essayer avant si cela tournait mal ? Soyons sérieux. Chacun y est allé de sa petite recette et il est regrettable que les autorités aient volontairement empêché que l’on sache qui a pris quoi, afin que la population ne puisse bénéficier d’aucun traitement possiblement efficace. On s’en doutait à la lecture du livre d’Agnès Buzyn, mais Patrick Pelloux a été très clair : ils ont tous pris de l’hydroxychloroquine."
Que les médecins cherchent des solutions pour eux-mêmes, ça se comprend. Les médecins honnêtes ont également cherché des solutions pour leurs patients, mais ils en furent empêchés par l'autorité sanitaire et les médias afin de laisser toute la place aux produits onéreux de Big Pharma. Des études plus ou moins bidon tentèrent ensuite de justifier l'interdiction des produits chics et pas chers, allant même jusqu'à inventer des milliers de morts associés à l'hydroxychloroquine (étude Lega, récemment rétractée).
Sans être des panacées, et nécessitant un dosage et un timing précis, l'utilisation généralisée de ces produits immédiatement accessibles aurait sans doute sauvé des milliers de vies.
Dès lors, une accusation envers les têtes de gondole covidistes d'homicide volontaire, en plus de corruption, serait-elle recevable ?
Cliquer sur l'image ↴