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20 septembre 2024

Le mur de la dette est là et personne ne veut le voir

H16

H16 signe des chroniques qui sont d’une telle lucidité anti-gouvernementale que leur auteur est haï par l’oligarchie qui, tirant les ficelles de ses pantins, se voit constamment démasquée dans ses turpitudes, d’où le pseudonyme H16, qui cache un haut fonctionnaire très au fait de ce qui se passe dans les officines de l’Élysée et de Bruxelles.

20/9/2024 - Voilà, notre vibrant ministre des Petites Économies et des grosses Finances, Bruno Le Maire, est parti après 7 longues et pénibles années à la tête de Bercy et traditionnellement, l’heure serait donc au bilan d’autant qu’aucun ministre ne l’a pour le moment remplacé. Or, la saison actuelle est propice à l’établissement d’un de ces solides budgets bien roboratifs comme la France sait nous en pondre régulièrement, à base de Grands Plans, de Belles Autorités et autres envolées lyriques destinées à conquérir les cœurs, les marchés et les industries.

Mais là, bon, non, c’est pas trop ça.

Depuis la dissolution, il y a comme un petit flottement dans l’air.

On admirera à ce sujet le temps mis par le chef de l’État à avancer sur tous les dossiers : depuis la fin des élections européennes, tout se déroule comme si Emmanuel Macron freinait des quatre fers sur tous les sujets importants, à commencer par celui des finances publiques.

Peut-être est-il vaguement conscient d’un décalage entre ses propres aspirations, assez probablement faites de spectacles et de festivités et celles du peuple qui trouve de plus en plus difficile de boucler ses fins de mois…


Dans ce contexte, on est même en droit de se demander si la dissolution elle-même ne fut pas autre chose qu’une simple distraction, une diversion afin de faire oublier tous ces sujets qui fâchent. Il faut dire qu’au même moment – mais si, rappelez vous ! – Bruno nous annonçait qu’il y avait quelques petits soucis dans les comptes nationaux et qu’un petit trou de 10 milliards (jolie somme, vous ne trouvez pas ?)… puis 20 milliards d’euros (joli doublement, vous ne trouvez pas ?) avait été découvert.

Pourtant, tout avait été taillé au cordeau l’année précédente et rien ne laissait présager cette mauvaise fortune soudaine et passagère, enfin, voyons. Mais si.

Et soyons honnêtes, la dissolution permit effectivement d’occuper les esprits tout le mois de juin, loin des considérations budgétaires et de ces problèmes de sous pas assez sonnants et beaucoup trop trébuchants. Aubaine pour le chef de l’État puisqu’en enfilade habile de cette dissolution et des résultats franchement en demi-teinte dont elle accoucha (posez la question “qui a gagné” pour immédiatement animer vos dîners en ville), les Jeux Olympiques arrivèrent là encore à point nommé pour, d’une part, remettre à plus tard toute désignation gouvernementale embarrassante et, d’autre part, occuper encore les esprits, et ce d’autant plus facilement qu’on avait subrepticement enduit les cérémonies de dérapages provocateurs et autres wokeries débridées.


Cependant, une fois les Jeux finis, ce ne fut pas plus l’occasion de se dépêcher pour passer à la suite.

Plusieurs semaines furent nécessaire à laisser s’installer les pitreries de la clique à Mélenchon, judicieusement décorées d’une Julie Castets parfaitement accessoire qui n’aura d’ailleurs pas survécu à cette phase d’entre-deux malaisante pour tous les observateurs lucides. Quant à la récente désignation de Barnier comme Premier ministre, elle a (faussement) laissé croire à tout le monde que la situation allait enfin se débloquer.

Pourtant, le déferlement de mollesse du patelin fonctionnaire ne pouvait laisser présager rien d’autre qu’une tempête d’air tiède douillettement enrobée d’atermoiements niais sur ce qu’il convenait de faire, de ne pas faire et d’envisager pour la France, avec calme, détermination, et ce sentiment de néant qui étreint probablement les abribus éteints.


Et donc, conformément à ce qu’on savait qu’il allait se produire (i.e. rien), c’est exactement ce qu’on observe au moment même où, en parallèle, il apparaît qu’il faille absolument faire quelque chose et de plus en plus radical à mesure que la situation se découvre pour ce qu’elle est : catastrophique.

Eh oui : si le chef de l’État temporise avec autant d’application, ce n’est pas parce qu’il s’est fichu dans une situation politique inextricable ou parce que la situation sociale en France serait tendue. Oh, certes, Macron s’est bien mis dans une impasse politique avec son idiote dissolution, et certes les tensions entre les différentes populations françaises, de moins en moins miscibles, croissent au point de partitionner le pays, mais ce n’est probablement pas ce qui préoccupe le chef de l’Exécutif autocentré et qui n’a jamais rien eu à carrer du peuple ou des institutions.

Non, ce qui le préoccupe, c’est que la fête pourrait bien se terminer brutalement : le petit trou de 20 et quelques milliards déjà mentionné par Bruno Le Fuyard Suisse semble beaucoup plus gênant que ce qu’ont laissé entendre les membres du gouvernement, et l’établissement du budget pour 2025 en devient singulièrement plus compliqué.

Dans ce contexte, le fait que les documents budgétaires ne soient pas consultables par les députés peut n’être vu par les plus naïfs que comme une péripétie politicienne un peu puérile. Pour les lucides, en revanche, cette manoeuvre bizarre camoufle assez mal un malaise profond qui s’est emparé de l’Exécutif, d’autant qu’elle se confirme au niveau du ministère des Finances, Bercy ayant à son tour refusé de communiquer les documents demandés.

Malaise d’ailleurs renforcé par des rumeurs insistantes, qui portent autant sur la difficulté pour Barnier d’avancer sur cette question épineuse que sur celle, plus triviale mais encore plus visible, de la composition de son gouvernement : entre les oppositions du chef de l’État à certains noms et le casse-tête de trouver des ministrables suffisamment téméraires (ou idiots) pour se lancer dans le bourbier actuel alors que beaucoup savent, discrètement, que la situation est épouvantable, Barnier pourrait se retrouver à renoncer plus vite que prévu, laissant Macron se dépêtrer avec une faillite politique, rapidement doublée d’une faillite économique.


Oui, vous avez bien lu : les signes s’accumulent sur une situation politique et économique sans précédent, et le mot “faillite” n’est plus trop fort.

En réalité, cela ne devrait être une surprise pour personne : cela fait plusieurs années que le train de vie de l’État est insoutenable, cela fait plusieurs mois que les rapports financiers désastreux et les alertes remontent de Bercy, on évoque depuis avril des ponctions voraces de l’épargne et l’idée d’augmenter encore les impôts, qui n’ont pourtant jamais été aussi hauts, continue d’être goulûment relayée par les médias afin de préparer le peuple à une saignée historique.

Or, ni Barnier dans sa confortable nullité, ni personne d’autre d’ailleurs n’envisage réellement de couper dans les dépenses de l’État obèse.

Aucun de nos ploutocrates, aucun de nos politiciens, aucun de nos experts de plateau télé, aucun chroniqueur officiel, aucun journaliste ni aucun économiste en vue n’envisage une seule seconde que la situation est à ce point catastrophique qu’il faille envisager de couper, franchement et rapidement, dans des pans de la forteresse social(ist)e française.

Personne de ces “élites” n’imagine venu le temps d’arrêter net les dépenses fastueuses pour les lubies globo-mondialo-wokes. Personne ne veut entendre parler d’une coupe claire, massive, de la distribution frénétique du pognon gratuit des autres à toutes les strates de profiteurs de la République. Personne ne veut imaginer la disparition subite des milliers de fromages républicains, agences inutiles et autres comités théodules stériles. Personne n’ose évoquer la remise en question du système social français, pourtant en plein écroulement, ou envisager que, peut-être, les débilités écolo-décroissantes et les stupidités de la transition énergétique sont en train de signer l’arrêt de mort du pays.

L’Exécutif, imbibé à tort de la certitude que le déluge sera après lui, continue de croire avec cette obstination qui confine à l’abrutissement que “c’est bon encore cette fois, ça va passer” et qu’il va suffire d’augmenter les impôts.

Cette fois, le mur est là et ce pays est foutu.


https://h16free.com/2024/09/20/78703-le-mur-de-la-dette-est-la-et-personne-ne-veut-le-voir

19 septembre 2024

Denis Collin

Ainsi la gauche ne votera pas l'amendement du RN visant à abroger la réforme des retraites. Elle apporte une nouvelle fois un soutien sans faille à Macron. Après avoir fait réélire Mme Borne, la gauche vient au secours de sa loi.

Ceux qui n'ont pas compris que cette gauche n'est que le flanc gauche du capital doivent nettoyer la m... qu'ils ont dans les yeux. Et ce n'est pas seulement le PS qui est en cause, mais tous les partis du NFP, LFI en tête. S'il y a eu un temps où l'on pouvait espérer quelque chose de la gauche (avant 1981 pour fixer les idées), désormais les espoirs ne sont plus permis.

mélimélo

⬦ La confusion politique actuelle a une cause simple et visible à l’œil nu, elle s’appelle « le Front républicain ».
Gilles Casanova

⬦ Transformer les objets du quotidien en armes de guerre est un pas en avant vers la barbarie, il vient d'être accompli par l'État d'Israël.
Gilles Casanova

⬦ La déconfiture de Breton-la-censure fait plaisir à voir ! Mais la possible nomination de Séjourné ne peut qu’inquiéter…
Gilles Casanova

⬦ Certains se demandent si les élections sont truquées, mais la réalité est peut-être pire. Quand un régime est de nature ploutocratique, il n'y a même plus besoin de truquer les élections : les puissants qui pilotent les médias et les campagnes électorales gagnent "légalement".
Alexis Haupt

⬦ Les réseaux sociaux censés vous rapprocher n’ont jamais autant divisé les gens et amené de commentaires haineux, exacerbé la jalousie, la comparaison, l’envie, la vantardise, l’égocentrisme.
Lionel Cruzille

⬦ Le premier métier de la CIA c'est de faire des coups d'État.
Idriss Aberkane

⬦ Quand le mal a toutes les audaces, le bien doit avoir tous les courages.
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais

⬦ - Il y a une pandémie, que faire, Sire ?
- Boire son café assis !
- Et maintenant qu'ils sont tous au courant qu'on les a pris pour des cons et mis leur vie en danger, que faire Sire ?
- Censurer Twitter.
Alexis Haupt

⬦ L’Ukraine de « nos valeurs » soutient militairement les djihadistes en Afrique. Avec nos impôts. On arrête quand ?
Gilles Casanova

⬦ Détruisez les fondamentaux, brûlez le religieux, l’histoire et la beauté. Normalisez le mal et la perversion sans honte. Ils sont aveugles.
Marc Amblard

⬦ À mesure que diminue la liberté économique et politique, la liberté sexuelle a tendance à s'accroître en compensation.
Aldous Huxley

⬦ Kamala Harris : « C’est au gouvernement de fixer le prix des produits. Pas au marché. »
Même Karl Marx n’avait pas osé.
Marc Amblard

⬦ En politique, le choix n’est pas entre le bien et le mal, mais entre le préférable et le détestable.
Raymond Aron.
Radu Portocala

Parlant du pays où lui et moi sommes nés, Cioran disait : « En Roumanie tout est possible et rien n’a de conséquences. » Sentence sévère inspirée par une réalité chaotique, faite d’invraisemblables contorsions, d’agitations stériles et de vociférations sans écho.

Pouvions nous imaginer, à l’époque de nos conversations, que la même formule, pour les mêmes raisons, s’appliquerait un jour à la France ? Sans doute que non - et nous avions tort, car les germes du mal à venir flottaient déjà dans l'air que nous respirions. 18/9/2024

18 septembre 2024

Anna Rocca

« McKinsey, normalement, le parquet national financier aurait dû ouvrir une enquête. Rien ! »

« Parce que quand même, il y a un lézard », soulignait il y a quelques années déjà Philippe de Villiers, alors que Cash Investigation vient de ressortir le scandale des cartons (fin de la vidéo).

Il y a de quoi tailler plusieurs costards, comme dirait Fillon.

Fin 2015, le jeune candidat intégrait à son équipe de campagne une trentaine de consultants de l’entreprise américaine, qui travaillaient pour lui « gratuitement », rappelait de Villiers.

Et comme par enchantement, une fois Macron élu, les contrats pharaoniques attribués à la boîte de conseil se sont alors multipliés.

Une infiltration réussie au cœur de l’exécutif de l’État français qui permet à McKinsey de dessiner les grandes orientations de politiques publiques.

En taillant la part du lion pour les amis, comme Pfizer pour la gestion de la crise sanitaire.

« Dans une démocratie normale, Macron ne pourrait pas se représenter tellement ce scandale est un scandale d’État », jugeait à l’époque Dupont-Aignan.

Vidéo de 2 min 33 s ↴
François Asselineau

TRÈS LARGE DÉFAITE POUR TEL-AVIV À L'ONU
2/3 DES ÉTATS DU MONDE EXIGENT QU'ISRAËL SE RETIRE DES TERRITOIRES PALESTINIENS


18/9/2024 : L'Assemblée générale des Nations Unies vient d'adopter à une très large majorité des 2/3 une résolution exigeant qu'Israël se conforme à la décision de la CIJ et se retire des Territoires palestiniens occupés.

CONCLUSION :
Sur les 193 États membres de l'ONU
• 124 soit 64,2% ont exigé qu'Israël se retire des Territoires Palestiniens occupés
• 14 soit 7,3% ont refusé de l'exiger
Et encore, la moitié de ces 14 votes sont ceux de 7 micro-États très pauvres du Pacifique-Sud, aux antipodes du conflit israélo-palestinien. Et c'est un secret de Polichinelle à l'ONU qu'ils vendent leur voix moyennant une "aide au développement" des États-Unis ou d'Israël.
• 43 soit 22,3% se sont volontairement abstenus
• 12 soit 6,2% n'étaient pas présents au vote
Par ailleurs, l'Union européenne en tant que telle ne pèse absolument rien puisque ses 27 États membres ont voté en ordre totalement dispersé :
- 13 ont voté pour
- 2 ont voté contre
- 12 se sont abstenus
Cela signe au passage la faillite de la prétendue "Politique Étrangère et de Sécurité Commune" (PESC) de l'Union européenne établie par le Traité de Maastricht entré en vigueur le 1er janvier 1993, il y a bientôt 32 ans...

Vincent Verschoore

La statistique est confondante : lors du Covid, les médecins y compris retraités, âgés et avec comorbidités, n'ont pas connu de surmortalité, alors qu'ils étaient aux premières loges.
L'urgentiste Patrick Pelloux l'avait dit, dès le début : ils se sont soignés, eux, et notamment avec l'hydroxychloroquine.

Extrait de l'article du Dr Gérard Maudrux :

"Non, les médecins ne sont pas des surhommes, ce sont des gens comme vous et moi, ni plus solides, ni plus fragiles. Pour expliquer pourquoi les médecins ont eu 10 à 20 fois moins de décès que prévu, arrêtons de nous voiler la face, regardons les choses en face et cessons toute hypocrisie. Nous savons ce qu’ont fait les médecins : ils ne se sont pas laissés mourir sans traitement, ils ne sont pas bêtes et ne sont pas non plus des anges.
Croyez-vous vraiment qu’en cas d’infection, ils n’ont rien pris sinon du Doliprane, attendant d’appeler le Samu quand cela allait mal, et qu’ils ont demandé à un collègue de les mettre au Rivotril sans rien essayer avant si cela tournait mal ? Soyons sérieux. Chacun y est allé de sa petite recette et il est regrettable que les autorités aient volontairement empêché que l’on sache qui a pris quoi, afin que la population ne puisse bénéficier d’aucun traitement possiblement efficace. On s’en doutait à la lecture du livre d’Agnès Buzyn, mais Patrick Pelloux a été très clair : ils ont tous pris de l’hydroxychloroquine."

Que les médecins cherchent des solutions pour eux-mêmes, ça se comprend. Les médecins honnêtes ont également cherché des solutions pour leurs patients, mais ils en furent empêchés par l'autorité sanitaire et les médias afin de laisser toute la place aux produits onéreux de Big Pharma. Des études plus ou moins bidon tentèrent ensuite de justifier l'interdiction des produits chics et pas chers, allant même jusqu'à inventer des milliers de morts associés à l'hydroxychloroquine (étude Lega, récemment rétractée).
Sans être des panacées, et nécessitant un dosage et un timing précis, l'utilisation généralisée de ces produits immédiatement accessibles aurait sans doute sauvé des milliers de vies.
Dès lors, une accusation envers les têtes de gondole covidistes d'homicide volontaire, en plus de corruption, serait-elle recevable ?

Cliquer sur l'image ↴
Vincent Verschoore

Les cabinets de conseil type McKinsey sont issus du grand capital et travaillent pour lui. Ces cabinets emploient du personnel influent (dont fils ou filles de personnalités politiques) et ont pour but d'installer, au sein des États et des administrations, les gens et les stratégies qui sont favorables à leur vrai client, le grand capital, tout en pillant les caisses publiques au passage.
Macron est l'archétype de ce phénomène. Un phénomène puissant, capable d'acheter la majorité des contre-pouvoirs susceptibles de l'arrêter, de ruiner un pays important et d'en faire un simple vassal d'une puissance étrangère, et capable de transformer une partie conséquente de l'électorat en une armée de "castors" garantissant la continuité du système.
Cette mainmise des intérêts du grand capital sur la gouvernance (nationale ou supranationale, notamment l'UE) est aujourd'hui assez classique, les USA en étant l'exemple le plus emblématique.
Cette corruption institutionnelle et politique profonde, relayée par l'ensemble des "élites" qui pompent le système, est aujourd'hui admirablement illustrée par les tenants et aboutissants de la guerre en Ukraine.
Juste avant, l'expérience totalitaire et le racket massif opéré par le grand capital au nom du Covid, via encore ces cabinets et ces mêmes "élites" y compris soi-disant scientifiques, aura sans doute éveillé quelques consciences, mais le mal est profond. Très profond.
Pierre Duriot

La ruine, c’est moi toute seule...

18/9/2024 - Une femme, à la tête de l’Europe, toute seule ou presque, décrète la fin des voitures thermiques et impose à leur place un mauvais produit dont les gens ne veulent pas. Cela ruine l’industrie automobile européenne, la meilleure du monde, qui rouspète en vain. Les Chinois font mieux que nous sur le créneau des voitures électriques, ce qui achève notre industrie. L’Europe met donc en place des taxes sur les voitures électriques chinoises. Par mesure de rétorsion bien compréhensible, les Chinois mettent des taxes sur nos autres produits qui pouvaient éventuellement palier la déconfiture automobile. Et pour finir, en plus de l’automobile, les autres filières seront également ruinées. En définitive, cette Europe permet, contre presque tout le monde, qu’une femme quasiment seule mette à bas tout un continent. Dans quelle entreprise une telle gestion est possible sans qu’on arrête l’intéressée ?

16 septembre 2024

UN GNOME À TERRE

Gabriel Nerciat

16/9/2024 - Elon Musk 1, Thierry Breton 0 (pointé).
Le plus grotesque et nuisible personnage qui ait jamais siégé au sein de l'aréopage bureaucratique bruxellois de Jean Monnet gît piteusement dans la poussière.
Au moment même où un chancelier social-démocrate en Allemagne commence, avec l'aide de l'Italie et de la Hongrie, à démanteler les catastrophiques accords de Schengen ainsi que la non moins perverse et risible directive Asile-Immigration.
Pour cette fois, les projets liberticides de l'odieux et abusif Thierry Breton ont été déjoués, mais il faut croire que ce n'est que partie remise.
Même si l'impératrice-usurpatrice Ursula von der Leyen a jugé bon de le sacrifier pour désamorcer l'hostilité du génial condottiere de Tesla, gageons qu'elle ne tardera pas à revenir à la charge un jour ou l'autre.
Pour autant ne boudons pas notre joie, qui est grande.
Allons déposer sur X, à la page de l'ancien commissaire et ministre, notre quota d'injures libératrices, et dans la foulée faisons sauter un bouchon de champagne, un, à la mémoire de Diderot et de Paul-Louis Courier !