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18 décembre 2024

H16

Et à présent, une petite directive européenne sur l’USB-C

- 18/12/2024 - La fin de l’année est proche, et petit à petit, les peuples se préparent à cette période de retrouvailles, de fêtes et d’instants précieux en famille. La trépidante actualité semble ralentir et les administrations s’assoupir. Toutes les administrations ? Heureusement non : l’Union européenne est toujours sur le qui-vive et – youpi – ces derniers jours de décembre seront l’occasion d’introduire une nouvelle directive !


Certes, la production législative de l’Union européenne n’a pas exactement été au point mort ces dernières années, et notamment ces derniers mois.

On se rappelle qu’il y a quelques années, l’introduction du RGPD destiné à donner de vraies garanties de vie privée et de protection de l’internaute avait rapidement tourné à la réussite flamboyante, imposant plus d’un demi-milliard d’heures de clicodrome fou (un peu plus de 65.000 ans) aux Européens devant leurs navigateurs internet.

Le Digital Markets Act, voté puis entré en force dans la foulée, avait permis de durablement saboter la présence en ligne de certaines entreprises européennes (malin !) et d’alourdir encore les règles (et donc les coûts de fonctionnement) des sociétés basées en Europe et devant notamment faire du commerce en ligne.

Plus récemment, on a pu bénéficier des efforts de nos commissaires européens, au premier rang desquels l’inénarrable Thierry Breton qui s’était fait remarquer par son indomptable frétillance lorsqu’il s’est agi de corseter le continent dans un dégueulis de contraintes législatives absurdes notamment au sujet de l’intelligence artificielle. Grâce à une vigueur renouvelée dans la règlementation tous azimuts, l’Union européenne avait, une nouvelle fois, choisi le tampon, le Cerfa et les emmerdements paperassiers plutôt que la recherche, le développement, l’innovation et la liberté d’entreprendre.

Avec la facturation numérique, les technocrates de Bruxelles avaient fait plus subtil : la loi européenne, votée depuis plusieurs années, imposa rapidement un plan d’implémentation un peu plus réaliste que l’initial qui propulsait les entreprises de toute l’Union dans un casse-tête informatique plus ou moins inextricable. Grâce aux diligents ministères concernés chez les États membres, les dates butoirs furent quelque peu repoussées afin que la catastrophe, toujours aussi inéluctable, soit rejetée dans les pattes des prochains paquets de politiciens élus. En France, cela se traduit par une facturation des factures (c’est beau, c’est français !) qui en réjouira plus d’un.


On pourrait mentionner ici le règlement CSRD (ou CS3D) qui impose aux entreprises européennes et – plus malin encore – aux entreprises partenaires donc étrangères (puis finalement tout le monde) de tenir compte d’impératifs niaiseux sur l’égalité, la diversité et l’environnement et dont l’impact, qui sera en pleine force en 2027, ne fera que s’amplifier progressivement d’ici là.

Bref, cette année, on n’a pas manqué de lois, de décrets, de règlements et de directives.

Toutes ont un point commun : à partir d’une intention pas toujours excellente mais – heureusement ? – jamais officiellement diabolique, l’Union a empilé des normes, des contraintes et des restrictions pour, à chaque fois, aboutir à un résultat qui se traduit systématiquement par une perte de libertés, un alourdissement des coûts de toutes sortes, une baisse de compétitivité du marché européen face à l’étranger et à une baisse de richesse produite pour le citoyen européen.

Mais l’année n’est pas finie et il reste donc encore du temps pour introduire une nouvelle pincée de loufoque avec la mise en application d’une nouvelle directive, dite « USB-C ».

Cette directive (UE) 2022/2380 impose les ports USB-C sur tous les appareils électroniques à partir du 28 décembre 2024 et, comme tout enfer pavé de bonnes intentions, vise à réduire les déchets électroniques en standardisant les ports de chargement.

À l’heure où ces ports s’uniformisent de toute façon assez généralement – notamment parce que le consommateur, donc le marché, le réclame de plus en plus fermement – avait-on vraiment besoin d’une loi pour l’imposer ? Et graver dans cette loi une norme spécifique (USB de type C en l’occurrence) est-il vraiment judicieux dans un domaine où les avancées technologiques sont nombreuses, rapides et difficiles à prévoir, et rendent assez vite obsolètes les précédentes normes ?

Evidemment non et c’est donc pourquoi ce fut fait, et… fait de travers. Car au-delà de ces considérations, qui seraient déjà suffisantes pour refroidir les ardeurs de gens normaux, les effets de bords de cette nouvelle directives se font déjà sentir, notamment sur le marché de la seconde main.


Car oui, manque de pot, la seconde-main, l’occasion et le reconditionné ne sont pas affranchis de cette directive (oh, zut alors).

Selon le cabinet d’études IDC, le marché européen du reconditionné est en pleine croissance actuellement, à mesure qu’avancent la paupérisation et le désir, parfois économique, parfois écologique de faire durer les objets en Europe. Ce marché devrait atteindre 22,6 milliards d’euros en 2024, ce qui n’est plus du tout anecdotique, et croît de 15% par an.

Or, les iPhones et autres matériels de seconde main ou un peu âgés n’ont pas tous, loin s’en faut, de port USB-C : par exemple, sur 22 modèles d’iPhones qui peuvent actuellement encore fonctionner correctement, seuls 4 seront autorisés à la vente ou revente sur le marché européen passé ce 28 décembre.

Et pour le secteur du reconditionnement en France, c’est un défi puisqu’actuellement, environ 60% des smartphones et tablettes reconditionnés vendus sur le marché hexagonal sont importés de l’étranger (principalement des États-Unis et de la Chine).

Avec l’entrée en vigueur de cette directive, ces appareils non conformes ne peuvent plus être vendus, pas plus qu’importés. Les entreprises (généralement petites et locales) qui misaient sur ce genre de commerce pour donner une seconde vie à ces matériels en seront pour leurs frais… Ou devront mettre la clé sous la porte. Bien évidemment, les vendeurs étrangers à l’Union ne sont pas concernés, et la vente au particulier bien plus complexe à vérifier lors du passage en douane. La concurrence risque donc d’être rude pour les vendeurs européens (et français) face à ces plateformes et vendeurs étrangers.

Les conséquences sont aussi logiques que prévisibles pour le consommateur européen, et français en particulier : l’offre directe va nettement diminuer, renchérissant le prix des appareils disponibles en seconde main. Or, si l’écart entre le prix du neuf et le prix d’un produit reconditionné n’est pas suffisant (il faudrait à minima 15 % de différentiel selon les professionnels), les consommateurs continueront d’acheter du neuf. Ce qui, concrètement, pourrait tuer durablement l’attrait que ces objets pouvaient avoir. On peut donc tabler sur des fermetures d’entreprises, et une augmentation, au moins temporaire, des flux des appareils non conformes vers les déchetteries.

Même s’il est temporaire (et même ça, c’est débattable), c’est encore une fois un ratage économique et écologique.

Pendant ce temps, aux États-Unis…


https://h16free.com/2024/12/18/79601-et-a-present-une-petite-directive-europeenne-sur-lusb-c

17 décembre 2024

Mayotte

Jean Mizrahi

- 17/12/2024 - Depuis quelques jours, tous les politiciens y vont de leurs "nous sommes solidaires", etc. Le passage obligé de la main sur le cœur en quelques mots sur "X", et des déclarations grandiloquentes ou larmoyantes. Mais personne pour évoquer la question de fond : pourquoi des centaines ou même peut-être des milliers de morts pour un seul cyclone ?

Les images parlent d'elles-mêmes : un amas de bidonvilles déchiquetés, témoin de la pauvreté, du laisser aller, de la négligence à l'égard de cette île. Et regardons les choses en face, Mayotte n'est pas seule victime de la négligence métropolitaine : des émeutes en Nouvelle Calédonie qui ont dévasté l'île, un bazar généralisé dans les Antilles, et maintenant Mayotte en mille morceaux.

Tout cela ne fait qu'illustrer la même réalité : une classe politique concentrée sur ses petites combinaisons parisiennes (tout particulièrement en ce moment), qui font un voyage de temps à autres hors de la Métropole pour serrer des mains et prendre des bains de foule, mais qui n'entreprennent rien pour sortir ces territoires de leurs problèmes et de leur sous-développement. Pas de projets, pas d'idées, pas d'ambitions, quels que soient les partis. À l'extrême gauche, on en profite pour souffler sur les braises, ailleurs on vaque à ses occupations. Je vous le garantis, Mayotte sera vite oubliée, comme a été oublié le problème migratoire de cette île et ses "plans Wuambushu", avec 50% d'étrangers qui squattent, essentiellement des Comoriens voisins.

La France a cette chance incroyable, mais aussi cette responsabilité unique, d'avoir des territoires tout autour du monde. Le déclassement économique de notre pays après des années de gabegie par des Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron et autres Barnier ou Bayrou ont conduit notre pays à négliger ses territoires lointains. Notre avantage stratégique devient une faiblesse. Nous devrions avoir honte de voir ainsi filer ce patrimoine humain, culturel, géographique, stratégique. J'ai chaque jour un peu plus honte de la décadence de notre pays.

À force d'enchaîner les déficits, de claquer "un pognon de dingue" comme dit l'ahuri en chef qui aura été le premier à dépenser sans compter, de nous endetter, nous sommes passés à côté de l'essentiel : rester debout et dignes, rester libres, et maintenir nos territoires unis.

Nous n'avons plus le choix : il faut désormais casser cette mécanique infernale et nous mettre au travail. Fini les 35 heures, fini la retraite à 60 ou 62 ans, fini les cadeaux aux uns et aux autres, fini l'hypertaxation, nous devons revenir à une réalité plus pragmatique et plus dure, celle de l'effort quotidien et de la fin de la facilité. Sans quoi, d'autres puissances se partageront nos dépouilles et se paieront sur notre patrimoine. Et nous aurons perdu notre liberté, par faiblesse.

Radu Portocala

Notre bonne et brave démocratie occidentale
- acclame Volodymyr Zelensky, dont le mandat a expiré au mois de mai et qui a refusé d’organiser des élections ;
- salue pour sa détermination européenne Salomé Zourabichvili, dont le mandat de présidente de la Géorgie a expiré et qui refuse de quitter son poste parce qu’elle n’aime pas les idées de celui qui a été élu pour lui succéder ;
- félicite la Roumanie pour avoir annulé le premier tour de l’élection présidentielle au motif que celui qui l’a gagné ne plaît pas aux structures euro-atlantiques, et se réjouit d’apprendre que le président sortant a décidé, en dépit de la Constitution, de prolonger sine die son mandat.
Ainsi, notre bonne et brave démocratie occidentale devient anti-électorale. Elle compte s’exercer sans les peuples.
Peut-être que dans pas longtemps, Bruxelles mettra en place un organisme qui évaluera l’enthousiasme pro-européen des candidats et interdira la participation à ceux qui auront émis des doutes. Les électeurs eux-mêmes pourront être fichés, afin que les sceptiques puissent être empêchés de voter. 17/12/2024

16 décembre 2024

Vincent Verschoore

Dans LE VIF, sur la liberté d'expression

"Si nous n’ignorons pas les enjeux d’équilibre auxquels peut exposer la liberté d’expression, la grande tentation du moment présent serait de céder aux sirènes d’une culture de la censure “bienveillante”."
L'article pose un réquisitoire contre la censure et le fact-checking de pacotille, avec les exemples d'Assange et de la censure covid imposée par les États via Twitter et Facebook.
La censure "bienveillante" n'existe pas, elle sert toujours des intérêts de pouvoir, de domination, et d'enrichissement de certains.
Les covidistes, les euro-atlantistes (le plus souvent les mêmes), les wokes et autres militants du "cancelling" des opinions non conformes, cherchent tous à imposer la censure et la diabolisation au nom d'un "intérêt général" qui n'est que la glorification de leurs propres intérêts corporatistes, de classe ou directement personnels.
Il est vraiment urgent que chacun en prenne conscience.

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La Haute Autorité de Santé veut vous faire payer les transitions de genre d’une minorité bruyante

H16

- 16/12/2024 - Ah, enfin : voilà que la Haute Autorité de Santé (HAS) nous offre un nouvel exemple de progrès flamboyant de la société occidentale « pour une totale liberté de pensées cosmiques vers un nouvel âge réminiscent » : cet indispensable organisme administratif envisage dans un projet de recommandations (qu’on pourra lire ici) un accès gratuit à la transition de genre dès 16 ans. Youpi.


Comme l’explique un article du Figaro, la Hautotorité reprend point par point les recommandations portées par les lobbies transactivistes qui semblent fort bien implantés au sein de cette administration (mais dont elle refuse de fournir les détails, malgré la loi l’y obligeant) : parcours de soin facilité – et bien sûr pris en charge, préconisation de former plus de chirurgiens pour les féminisations ou masculinisations faciales, les chirurgies thoraciques et génitales, dépilation, et bien évidemment une inclusion des mineurs dès 16 ans « ayant achevé leur puberté » au même titre que les adultes.

Pour la Hautotorité, tout ceci est aussi indispensable que normal dans une société moderne. Mieux : il peut être nécessaire de se passer de l’autorité parentale et d’aller jusqu’à « une délégation partielle d’autorité » voire « une déchéance de l’autorité parentale » car « l’absence de soutien parental peut dégrader la santé mentale et mettre en danger la personne concernée ». Tranquilou.

Il y a cependant quelques problèmes à ces belles recommandations.


En premier, ces interventions hormonales et chirurgicales n’ont absolument pas prouvé leur efficacité ou même leur innocuité.

Pire : les études qui ont été menées jusqu’à présent prouvent sans ambiguïté que les opérations de changement de sexe aboutissent à une augmentation significative des suicides, alors que leur proportion est déjà élevée chez les personnes ayant des troubles d’identité sexuelle. Ainsi, une étude menée en Suède sur une période de 30 ans a observé que 15 ans après une chirurgie de réassignation sexuelle, le taux de suicide parmi les personnes transgenres était 20 fois plus élevé que celui de leurs pairs comparables. Dans une autre étude américaine, on trouve que ceux qui ont subi ces opérations chirurgicales ont plus de 12 fois plus de risques de se suicider que ceux qui n’ont pas encore eu ces opérations. Enfin, d’autres éléments (listés ici) montrent également que les adultes transsexuels étaient 4,9 fois plus susceptibles d’avoir fait une tentative de suicide et 19,1 fois plus susceptibles d’être décédés par suicide après ajustement pour des comorbidités psychiatriques antérieures.

D’autre part, de façon parfaitement contradictoire, la HAS indique que « la transidentité n’est plus considérée comme une pathologie » mais souhaite que son traitement (pour des gens qui ne sont donc pas malades) soit remboursé, comme le sont normalement… les pathologies, dans une sorte de « beurre et l’argent du beurre » décontracté.


En réalité, cette tendance vient heurter de plein fouet la réalisation de plus en plus prégnante que ces troubles sont d’abord des troubles mentaux et qu’ils doivent se résoudre ou s’accompagner avant tout par un suivi psychologique et psychiatrique adapté. Les mutilations chirurgicales qui accompagnent les réassignations sont suffisamment profondes et importantes pour n’être qu’un dernier recours, une fois que tout le reste n’a pas porté ses fruits. Or, la Hautotorité prend le chemin exactement contraire et défend aux professionnels de santé de voir la demande de transition comme une manifestation d’un trouble psychiatrique : « l’identité de genre ne doit pas faire l’objet d’une évaluation psychiatrique ». Commode, non ?

À l’opposé de ces recommandations particulièrement troublantes, on pourra se réjouir que la société britannique ait jugé nécessaire d’interdire la distribution de bloqueurs hormonaux aux mineurs (et ce, indépendamment du fait que ce soit ou non remboursé). Ces Britanniques ont d’ailleurs rejoint d’autres pays qui ont mis en place les mêmes garde-fous.

Cette interdiction britannique survient d’ailleurs après les auditions en Cour Suprême américaine qui ont amplement montré que non seulement, il n’y avait pas de preuve de l’innocuité de ces blocages hormonaux, mais qu’il y avait des preuves de graves conséquences futures pour le développement de l’enfant et de l’adulte. Là encore, l’idée que ces thérapies permettraient d’éviter les tendances suicidaires des enfants concernées n’est étayé par aucune étude et comme pour les chirurgies de réassignation, on observe même nettement le contraire.

Mais au-delà de ces aspects médicaux indispensables pour comprendre le fourvoiement complet des recommandations de la Hautotorité devenue un véritable porte-voix d’associations militantes trans, d’autres aspects, encore plus pragmatiques, prennent le dessus.

On n’a plus une thune.


La France est en faillite ou quasiment et cette Hautotorité coûte 72 millions d’euros par an, dont 33 en salaires pour 439 employés. Or, elle ne sert absolument à rien : elle n’existait pas avant 2004, on s’en passait alors très bien et le niveau général des services de santé en France était même de qualité supérieure à ce qu’il est maintenant. On pourrait même considérer que la mise en place de cette administration (en plus de toutes les autres apparues dans sa foulée) est une des causes de la détérioration du panorama général des services de soin en France.

On doit faire des économies, et cette HAS doit donc s’évaporer et faire économiser 72 M€ au contribuable.

D’autre part, on n’a plus une thune et ce n’est pas le moment d’augmenter les « droits à », alors que certaines interventions de base ne sont pas ou très mal remboursées : alors que les interventions dentaires sont très mal remboursées, alors que les remboursements sur l’optique sont une vaste blague, décider de rembourser des interventions extrêmement coûteuses (on évoque facilement des montants de l’ordre de 100.000 euros) est un camouflet aux contribuables assujettis et autres cochons de payeurs.

Au moment où le pays croule sous les dettes, il est clairement irresponsable de créer de nouvelles voies de dépense.

Et de façon générale, le nœud du problème provient encore une fois de la collectivisation des frais de santé.

Dans un monde réellement libre, les personnes désireuses de choisir des opérations chirurgicales lourdes sur leur personnes le feraient à leur frais et/ou dans le cadre de leur assurance privée, et ne ferait donc pas supporter financièrement leurs choix à la collectivité. Si l’un ou l’autre désire absolument se faire retirer de large morceau de peau de l’avant-bras pour des chirurgies génitales douteuses, après tout, cela peut très bien se faire sans que l’ensemble de la société soit contrainte à participer : des mécanismes de marché (assurantiels) existent déjà.

Encore une fois, la présence de l’État comme intermédiaire de santé et d’assurance corrompt toutes les relations qu’on peut avoir dans ce cadre. On n’a plus une thune : c’est l’occasion rêvée pour libéraliser massivement la sécurité sociale, rendre aux générations qui travaillent le fruit de leur travail, et renvoyer chacun à ses responsabilités.

De toute façon, on n’aura bientôt plus le choix.


https://h16free.com/2024/12/16/79593-la-haute-autorite-de-sante-veut-vous-faire-payer-les-transitions-de-genre-dune-minorite-bruyante

15 décembre 2024

Solidarité avec Mayotte et les victimes du cyclone Chido

Kuzmanovic Georges

- 15/12/2024 - On parle de potentiellement plusieurs centaines de morts, peut-être des milliers de victimes selon le préfet.
C'est terrifiant ! L'île de Mayotte doit recevoir la solidarité nationale.
Mais cela ne doit pas s'arrêter là, car c'est une honte nationale !
Certes la puissance de ce cyclone était colossale, et Mayotte était dans l'œil du cyclone, mais sans bidonvilles, le nombre de victimes aurait été bien moindre.
Cette tragédie nationale doit produire un rebond politique fort : cette misère et ce manque d'infrastructures est intolérable !
On est en France partout ou nulle part et Mayotte est française.
D'ailleurs que fait Macron en ce jour mis à part courtiser le Pape ?
Il devrait déclarer un deuil national pour commencer.
Demain, on doit reconstruire en dur avec le soutien massif de l'État.
On manque d'argent ?
Alors on peut couper dans la course à la guerre, on peut couper dans les aides à l'UE, à la Chine et autres ineptes dépenses, sans parler du CICE ou du CIR.
La chose est simple : des bidonvilles en France au 21ème siècle, c'est inacceptable !

Nicolas Dupont-Aignan

- 15/12/2024 - L'Allemagne, qui a eu la bêtise de miser sur l'éolien et le solaire pour se fournir en électricité, se retrouve à payer des fortunes en faisant appel à des centrales à fioul ou à charbon lorsqu'il n'y a pas de de vent ou de soleil.
Ne copions pas l'erreur de notre voisin, arrêtons les subventions délirantes aux énergies intermittentes et sortons du marché européen de l'électricité !

14 décembre 2024

Jonathan Sturel

Concernant la possibilité que Marine le Pen soit frappée d'une peine d'inéligibilité

Il y a deux questions dans ce dossier :

1) Est-ce que oui ou non les hommes et les femmes politiques sont au-dessus des lois et donc susceptibles de pouvoir les enfreindre sans s'exposer comme le commun des mortels à des sanctions judiciaires et ;

2) Est-ce que les hommes et les femmes politiques convaincus d'avoir commis une infraction doivent pouvoir, sur le chapitre des sanctions, être empêchés de se présenter au suffrage des électeurs malgré une condamnation en justice ?

À la première question, il faut répondre qu'ils ne sont pas au-dessus des lois. À la seconde, c'est autre chose. S'ils sont condamnés, la chose est rendue publique et l'électeur, au moment de voter, sait si le candidat qui l'intéresse a été ou non condamné pour ceci ou pour cela. S'il l'a été mais que l'électeur souhaite tout de même voter pour lui, la chose est claire : il vote en connaissance de cause et le fait qu'il puisse voter pour un candidat ayant été condamné place l'électeur au poste de juge suprême, ce qui est, en théorie en tout cas, le principe sur lequel se fondent l'idée démocratique et sa légitimité.

Si l'électeur qui voulait voter pour tel candidat malgré son expérience judiciaire ne le peut pas à cause d'une peine d'inéligibilité prononcée par un juge, cela signifie qu'un juge, personnage non-élu, a été placé au-dessus de l'électeur dans la hiérarchie des pouvoirs souverains. C'est lui donner beaucoup trop de pouvoir ; notamment le pouvoir de modifier le cours des événements historiques, particulièrement dans le cas qui nous intéresse en ce moment. Nous avons vu la chose être tentée plusieurs fois aux États-Unis contre Donald Trump.
Christian Dubuis Santini

- 14/12/2024 - Arrêt de la Cour suprême des États-Unis : les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins. Robert F. Kennedy Jr. a gagné son procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques.
Les vaccins Covid-19 ne sont PAS des vaccins. Dans sa décision, la Cour suprême confirme que les dommages causés par les thérapies géniques à ARNm du Covid sont IRRÉPARABLES. La Cour suprême étant la plus haute juridiction des États-Unis, il n'y a plus d'appel et toutes les voies d'appel ont été épuisées.
Dans un communiqué, Robert F. Kennedy a souligné que ce succès n'a été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre d'avocats et de scientifiques. Bien entendu, cette décision crée un précédent international.
En particulier en Suisse, cette décision devrait avoir un impact, car la Suisse occupe une position particulière dans sa Constitution fédérale. D'une part, le Code de Nuremberg apparaît à l'article 118b de la Constitution et en Suisse, l'utilisation inappropriée du génie génétique chez l'homme est interdite, selon l'article 119 de la Constitution fédérale. Ceci est complété par l'article 230bis de son Code pénal et cela signifie que les auteurs RISQUENT jusqu'à 10 ans de prison.
Mais cette décision historique devrait également faire réfléchir le reste du monde, car le Code de Nuremberg a une validité internationale et est également contenu dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale Contergan afin d'accorder un poids particulier à l'importance de ces accusations.
L'avocat allemand Rainer Füllmich et plus de cent autres avocats allemands sont activement impliqués dans ces affaires. AUCUN média n'en parle, ni en Suisse, ni en Europe.
Malheureusement, il est presque mathématique que, étant donné qu'il s'agit d'un sujet perturbateur capable de modifier les plans financiers et économiques des puissants lobbys du secteur PHARMACEUTIQUE, l'opinion publique n'en soit pas informée. Nous sommes au milieu d'une campagne promotionnelle visant à inciter les gens à se faire vacciner puis à se faire vacciner à nouveau, avant l'hiver prochain.
Il est très probable que si jamais la nouvelle de cette décision historique circule, ce sera trop tard pour permettre à la classe médicale corrompue, alignée sur les positions des lobbies pharmaceutiques, d'avancer le plus possible dans la campagne de vaccination.
INVITONS donc toutes les personnes honnêtes et de bonne volonté à diffuser au maximum cet ARRÊT historique de la Cour Suprême des USA. Pour notre bien, mais surtout pour le bien de nos enfants et petits-enfants... ne permettons pas à des lobbyistes de ruiner irrémédiablement notre santé et mettre nos vies en danger.