Translate
20 novembre 2024
Tiephaine Soter
- 20/11/2024 - [Ukraine, Missiles]
J'ai vu passer beaucoup de conneries ces deux derniers jours, alors je vais remettre un peu les choses au point.
D'abord, la source selon laquelle Biden aurait donné son "feu vert" pour l'utilisation de missiles longue portée ATACMS contre le territoire russe est un journaliste du NYTimes. Ce journal est le vecteur de toutes les fake news de l'État Profond américain, et tout ce qui en émane est de la désinfo et de la merde.
Il n'y a aucune source officielle à la Maison Blanche qui a validé cette "autorisation". Les transcriptions des points-presse ne mentionnent même pas cette histoire.
En tout état de cause, ce n'est pas le président américain qui valide cette autorisation, mais le Pentagone. Dans les briefings du Pentagone, on trouve une distanciation très nette d'avec ces déclarations qui, je le rappelle, émanent d'un unique journaliste, pas d'un officiel. Je vous mets la transcription officielle du point-presse du Pentagone de mardi matin. Je cite (en traduisant) : "Je ne peux pas confirmer cette annonce et je ne peux pas aller plus en détail à propos de cette annonce". En clair : "je suis pas au courant, je sais pas quoi vous dire".
Ensuite, la frappe "ukrainienne" consistant en des missiles ATACMS menée dans la nuit de lundi à mardi contre une cible dans la région de Briansk (Russie) : c'est douteux. D'abord, la source principale vient d'un canal Telegram montrant un tir d'ATACMS, sans données sur le lieu du tir... ni la date. Les sources parlent de 8 missiles, ou de 6. Selon les uns, 2 missiles ont été interceptés, selon les autres c'est 5 mais le 6e a été endommagé et n'a pas touché sa cible. Cible dont on ne sait d'ailleurs rien. AP explique que ce serait un dépôt de munitions qui était visé, une cible stupide pour ce genre de missile extrêmement coûteux et qui normalement vise des cibles à haute valeur, comme des centres de commandement ou des nœuds logistiques.
Franchement, je doute que ce tir ait eu lieu. En tout cas, pas avec des ATACMS, que les Ukrainiens ne savent pas manier eux-mêmes (il leur faut des "conseillers" et autres "formateurs" pour procéder à un tir, qui ne peut avoir lieu qu'avec l'aval du Pentagone, revoir plus haut). [...]
Cette Europe qui joue toujours contre nous
Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire
- 19/11/2024 - Le Mercosur sera signé, il n’y a que les crédules pour imaginer le contraire. Les gesticulations bien tardives de nos politicards n’y changeront rien, ils ont l’offense théâtrale mais tout sonne creux, faux, à l’image de ce qu’ils sont. Mais il leur faut donner le change, la désespérance est une source d’électeurs, il faut donc les séduire, les endormir, faire croire que l’on est avec eux, mais se garder de faire ce qu’il convient pour le prouver ! Ah si, pardon, nous avons Marion Maréchal qui lance une pétition contre le traité ! Cela vaut autant que les marches blanches et les ours en peluche déposés au coin d’un immeuble après un attentat. Nous avons aussi les déclarations fracassantes, comme le clou du cercueil de l’agriculture française. Pour autant, le monde agricole se retrouve seul, une fois de plus, une fois de trop. Les syndicats devraient se mobiliser pour entraîner le reste des salariés derrière nos paysans. Ils ne feront rien, ils sont inféodés au système qui les nourrit et eux se servent de la détresse des uns et des autres pour exister, montrer qu’ils s’occupent des délaissés, au lieu d’agir en amont pour éviter d’en arriver là.
Et que l’on ne vienne pas nous expliquer que sans l’Europe ce serait le déclin de l’agriculture Française. Nous étions la seconde puissance agricole mondiale en 1992, nous arrivons péniblement à la 6ème place aujourd’hui. Comme pour tout ce qui nous concerne, l’adhésion à l’Europe n’a fait que nous déclasser dans tous les domaines, où est donc l’avantage de rester dans une structure qui nous ruine ?! On a aussi Bardella qui menace Barnier de peut-être, éventuellement, si jamais il va trop loin, de... le censurer… Le Premier ministre doit en trembler c’est certain. Le pauvre Bardella, en réalité, est incapable de mordre, et pourtant l’occasion de prouver que le RN est aux côtés de ceux qui souffrent est unique, mais ses dirigeants sont tellement obnubilés par le besoin de plaire au système qu’ils s’écartent jusqu’à se confondre avec les autres pour s’éloigner du peuple, de risquer la cassure avec sa base. Le RN ne devrait pas menacer, c’est toujours une perte de temps, mais renverser ce gouvernement et même tous ceux qui se présenteraient à sa suite, jusqu’à obtenir le départ de Macron. Mais rien ne sera résolu pour autant puisqu’il n’y a pas de majorité à l’Assemblée nationale. L’argument ne manque pas d’intérêt, mais il pourrait être largement compensé par un programme ambitieux construit autour d’une idée principale : refonder nos institutions, modifier les modes de scrutins, les fonctionnements et compositions du Conseil Constitutionnel, Conseil d’État, la durée des mandats, introduire le RIC, et toute une série de mesures que nous avons déjà listées dans nos colonnes.
Mais nous n’avons rien de tout cela, parce que parler de changer notre constitution est perçu et vendu par ceux qui sont aux commandes comme anti constitutionnel, un comble non ? L’élection de TRUMP devrait servir d’enseignement à cette nouvelle classe politique, plaire au peuple avant de séduire les médias a été suffisant Outre-Atlantique ! Mais non, ils sont jeunes, mais raisonnent comme leurs aînés. Certains, que c’est en étant adoubés par les médias qu’ils accéderont au pouvoir, sans comprendre qu’en restant sur cette posture, ils se décrédibilisent et creusent un peu plus le fossé qui existe déjà entre eux et les électeurs. Comme si de Gaulle avait cherché à plaire aux médias, à son époque.
À refuser de tirer les conclusions qui s’imposent, ils en deviennent inaudibles, la confiance se perd. Qu’entendons-nous depuis des semaines ? Nous avons la brillante Sarah Knafo qui, point par point, démontre les incohérences des décisions de l’Europe ainsi que les méfaits qu’elles engendrent sur notre économie, mettant systématiquement à mal nos intérêts. Nous avons un Thierry Mariani qui dénonce à juste titre les aides colossales distribuées à l’Ukraine pendant qu’en France on rabote les budgets et on continue à demander des efforts aux contribuables, tandis que les médias, timidement commencent à parler de la dictature de Zelensky, ou que le principal média autrichien évoque la manipulation du climat. Bien, très bien, les constats sont accablants, factuels, oui et alors, que se passe-t-il concrètement ? Rien, pour la bonne et simple raison que ces analystes n’osent pas trancher, conclure. Cette Europe, non seulement n’apporte ni la prospérité ni la paix, mais en plus elle joue contre nos intérêts et ne changera pas sa trajectoire. Il n’y a plus qu’une seule option, partir ! Quitter cette machine à fabriquer des normes. Mais cette synthèse est encore interdite, crime de lèse-majesté, il est reconnu, par les maîtres au pouvoir, servi par les médias aux ordres, qu’il faut nous vendre une Europe indispensable pour notre survie. Tous défendent la souveraineté, au moins dans le discours, mais aucun ne se donne les moyens de l’assurer. Il ne suffit pas de l’évoquer pour la soutenir, l’attester. En réalité tous sont devenus incapables de penser « France » sans y accoler tout de suite ou plus justement l’englober dans l’espace européen.
Or depuis des semaines, les exemples que cette Europe ne fonctionne pas sont légion et pourtant nous n’avons pas encore entendu un seul responsable, au moins se poser la question de savoir s’il ne serait pas nécessaire de partir de cette organisation, puisqu’elle refuse de se réformer elle-même. Elle joue contre nous, mais ce n’est pas grave, c’est sans doute parce que nous n’avons pas assez d’Europe, c’est bien connu ! Cette antienne est devenue insupportable et les Français le voient de plus en plus, mais pas nos politicards qui tremblent à l’idée d’en parler. En attendant, nous sommes invités à signer des pétitions, protester contre un système tout en s’y accrochant, le comble de l’absurdité, mais il fait vivre tellement de monde. La situation est désespérante puisque nous avons identifié les sources du problème mais nous n’avons personne pour incarner le pouvoir, c’est-à-dire quelqu’un capable de décider en fonction des seuls intérêts de la France. Beaucoup en parlent mais toujours après avoir mis en avant cette Europe qui joue contre nous ! Frexit, n’est ni une insulte ni une insanité, mais peut être le début de la solution, quitte à reconstruire après une autre Europe, respectueuse des Nations.
19 novembre 2024
Régis de Castelnau
Rubrique : Alerte !
Thomas Legrand nous prévient, avec ses nominations, Trump entraîne l’État et la politique vers le fond. Enfin entraîne l’État américain, le seul qui intéresse Legrand, l’effondrement de l’État français il s’en fout.
Vous vous rendez compte, Kennedy va remplacer Rachel Levine l’amiral.e transgenre à la santé. Ils sont capables de tout ! Tu vas voir qu’ils vont aussi remplacer Sam Brinton, le gars chargé de la sécurité nucléaire, qui ne sait pas s’il est un homme, une femme ou un chien et qui a pour habitude de voler des valises dans les aéroports.
Heureusement que les jobards de Libé sont là pour nous prévenir. 16/11/2024
TRUMP, GÉNIE DE LA COM
Marc Amblard
19/11/2024 – Attention, je ne soutiens pas que sa victoire lors des présidentielles du 5 novembre est le bénéfice exclusif d’une campagne de communication mais il est indéniable qu’elle y a contribué (et c’est tout à son honneur).
Voici quatre exemples notables qui devraient figurer dans les manuels de marketing :
1. Le Mug shot
Alors qu’il faisait face à une série d’inculpations relevant plus du harcèlement judiciaire à des fins politiques que de la vraie justice, Trump a eu l’idée de sortir son « mug shot » c’est-à-dire, sa photo d’inculpé imprimée sur des tasses vendues à des dizaines de milliers d’exemplaires. Avec pour effet positif et immédiat de faire de lui le martyr de l’État profond.
2. L’oreille
le 13 juillet, à Butler, en Pennsylvanie, Trump fut victime d’une tentative d’assassinat où il s’en fallu de deux centimètres qu’il ne perde la vie. Lors de réunions qui ont suivi le tragique évènement, Trump décida d’arborer fièrement une grosse compresse sur son oreille blessée. L’image marqua les médias et surtout ses supporters chrétiens dont certains y virent un miracle divin : épargner l’homme providentiel chargé de sauver l’Amérique.
3. Mac Donalds
Début septembre, Kamala Harris en déplacement pré-électoral a prétendu avoir travaillé chez Mc Donald’s sans jamais en apporter la preuve. Donald Trump saisit alors la balle au bond avec humour en enfilant le célèbre tablier de l’enseigne. On le vit alors dans une vidéo devenue virale remplir des cornets de frites et les servir aux clients d’un drive-in. Il fallait y penser.
4. La benne à ordure
Le 29 octobre, soit quelques jours avant l’ultime scrutin, le président sortant Joe Biden, alors en déplacement à Puerto Rico insultait plus de la moitié des Américains en les traitant « d’ordures ». Bingo ! Quelques jours plus tard, le candidat milliardaire endossait un gilet d’éboueur et se faisait photographier au volant d’une benne à ordures. La photo fit le tour du monde avec l’effet qu’on peut imaginer. Chapeau.
Bref, qu’on l’aime ou qu’on le déteste, il faut au moins reconnaitre cette qualité à Trump : ce phénomène est un opportuniste génial de la communication décalée, de la phrase choc et de l’image qui percute.
Certes, ça ne fait pas tout mais ça aide sacrément car c’est une façon de dire aux millions d’Américains : je suis avec vous, contrairement à ceux qui se prétendent pourtant démocrates. Et à travers les ignominies et les attaques qu’ils m’assènent, c’est vous en réalité qu’ils visent. Ça a fonctionné.
Maintenant, c’est vous les médias
H16
18/11/2024 – Décidément, la campagne et l’élection de Donald Trump auront servi de « révélateur » et ainsi montré que le journalisme occidental, dans son acception historique, n’est plus que l’ombre de lui-même et a largement fait place à une véritable presse de propagande, dont les messages sont devenus de plus en plus délirants et outranciers à mesure qu’elle perdait de son pouvoir de persuasion du public.
Au cours des 10 dernières années, elle a ainsi largement diffusé des informations complètement fausses (les exemples du dossier Russiagate ou de l’ordinateur portable de Hunter Biden étant les plus frappants).
(NB : l’image ci-dessus est toujours censurée sur Facebook, au passage)
Elle a amplement usé du détournement de contexte de phrases prononcées par Trump pour lui faire dire le contraire de ce qu’il avait dit : on se rappelle encore des « very fine people » qui devait être, selon elle, le qualificatif employé par Trump pour désigner les suprémacistes blanc – ce que même Snopes fut obligé, finalement, de qualifier de fausse information. Plus récemment, il s’agissait de l’évocation d’un peloton d’exécution pour Liz Cheney, une élue américaine ; le prononcé complet permet d’affirmer que le détournement de contexte malveillant de la part de la presse ne fait aucun doute.
Estimant sans doute avoir une influence suffisante pour justifier ses pires manipulations, la presse occidentale a donc multiplié les sondages biaisés (comme ici ou là), les opinions ultra-favorables à la démocrate, nourrissant le récit d’une Kamala Harris en avance sur Donald Trump, tout en minimisant les thèmes de campagnes particulièrement porteurs du républicain, sur l’inflation ou l’économie en berne, sur les problèmes d’immigration, sur les coûts de la guerre en Ukraine ou l’impact des théories du genre ou du DEI dans les universités ou les entreprises américaines…
Ce qu’on a observé pour la campagne américaine, véritable point d’orgue de méthodes de plus en plus grossières de censure, de propagande ou d’ostracisation par l’emploi massif de sophisme par association, on l’a aussi observé un peu partout sur les différents réseaux sociaux largement acquis aux mêmes courants de pensées, comme LinkedIn, Reddit, Facebook, Instagram et d’autres.
Logiquement, eux aussi ont connu des vents de censure massive ou de biais grossier pour favoriser les discours officiels, comme en 2020 typiquement.
En France, cela se traduit par une chasse systématique à tous les discours hors des clous de la bien-pensance. Il suffit de se replacer sur la période de 2020 à 2022 pour bien illustrer ce phénomène avec tous ceux qui ont été « déplateformés », harcelés ou carrément poursuivis (sinon physiquement, au moins en justice) pour avoir osé dire – par exemple – que les vaccins ne servaient à rien car n’empêchaient ni la maladie ni sa transmission, qu’ils provoquaient des effets secondaires graves, que les mesures gouvernementales mises en place (depuis le pass jusqu’aux auto-attestations vexatoires en passant par les assis/debout au restaurant) n’avaient ni queue ni tête.
Sur la période actuelle, on retrouve les mêmes comportements de filtrage de l’information, de propagande ou de censure lorsqu’il s’agit des critiques, surtout lorsqu’elles sont argumentées, de l’hystérie climatoréchauffiste et des mesures gouvernementales écologiques qui – encore une fois – n’ont ni queue ni tête…
Cependant, force est de constater que, depuis 2022, le réseau social Twitter, racheté par Elon Musk et devenu X, n’opère plus sous les mêmes prédicats.
Sur ce réseau, les articles de la presse de grand chemin y sont systématiquement commentés, et lorsqu’ils laissent un peu trop voir leur nature de propagande ou leur volonté d’orienter politiquement l’opinion, ils y subissent des tempêtes de remarques négatives, voire des ratios violents.
Cependant, malgré l’intégralité de l’appareil médiatique contre lui, Trump a donc été élu. Ceci a bien entendu immédiatement constitué un drame pour la classe politique occidentale, mais surtout pour sa classe médiatique qui n’a pas compris ni pourquoi ses techniques propagandistes n’ont pas fonctionné, ni comment remédier à cet échec.
Elle continue donc avec un emballement maintenant hystérique, en multipliant les articles en décalage croissant non seulement avec la réalité des faits, mais aussi avec une partie grandissante de son lectorat. Sur les quelques réseaux sociaux où la parole est relativement libre, la réponse de ce lectorat ne se fait pas attendre et les médias se font pilonner dans les commentaires, par leurs (ex-)lecteurs, se prennent donc des « ratios » à chaque post.
Pire : X permet à présent aux utilisateurs d’ajouter des « notes de communauté » qui permettent de recontextualiser les âneries que ces médias pondent frénétiquement, à l’instar des BFM, Le Parisien ou Libération (pour ne citer qu’eux) qui accumulent les sorties de route journalistiques pour tenter, sans succès, d’augmenter leur audience en chute libre.
Sans surprise, quelques médias ont déjà jeté l’éponge : déclarant la plateforme « toxique », les voilà qui s’en vont dans de dramatiques publications, se « déplateformant » d’eux-mêmes, dans l’indifférence (dans le meilleur des cas) ou dans les risées des utilisateurs blasés de ces techniques grotesques.
Dernièrement, ce furent The Guardian (journal britannique) et La Vanguardia (espagnol) qui décidèrent de jouer leur « drama-queen » en claquant théâtralement la porte de X… Peine perdue : l’annonce de leur départ déclenche quelques moqueries.
Il ne fait aucun doute, à en juger par les mouvements de bras de plus en plus vigoureux que ces médias font dans tous les sens, qu’ils sont parfaitement au courant que leur audience diminue et qu’elle n’est plus constituée que de cette tranche de population qui diminue, à savoir les personnes âgées qui n’ont pas l’habitude d’aller chercher leurs informations ailleurs.
Le souci principal de cette dernière tranche de population est qu’elle tend à disparaître : la disparition complète de leur audience semble inéluctable.
La prise de conscience, lente mais à laquelle même les plus purs produits franco-franchouilles n’échappent pas, amène d’ailleurs les principales chaînes médiatiques américaines à dégraisser dans leurs rangs.
MSNBC, qui avait finement décidé (comme quasiment tous les autres) de charger la barque de Trump dans ses éditoriaux, voit ses audiences chuter de 40 à 60%, y compris chez les Démocrates (leur coeur de cible) qui ont compris s’être fait baratiner tout le long de la campagne. Les licenciements arrivent donc, inexorablement (CNN, LA Times, Paramount, etc).
Pendant ce temps, le boycott du réseau de Musk, mis en place par certaines entreprises pour tenter de faire plier le fantasque milliardaire, a tourné court : se rendant compte que le discours dominant n’était pas du tout celui porté par les médias, mais plutôt celui disponible sur les plateformes comme X, des sociétés comme IBM, Disney, Comcast, Discovery ou Warner Bros reprennent leurs partenariats publicitaires.
Ces derniers comprennent, comme les utilisateurs de ces plateformes, qui fait l’information. Et ce ne sont plus les médias traditionnels.
18 novembre 2024
Inscription à :
Articles (Atom)