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16 décembre 2023

Macron est déjà entré dans l’Histoire

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français (RPF)


15/12/2023 - À quelques années de la fin de son dernier mandat, Macron se demande, paraît-il, comment il pourrait entrer dans l’Histoire ? Dernier avatar d’un président s’attaquant à tout et n’importe quoi, bille en tête et abandonnant la partie dès que la réalité de l’échec lui devient insupportable. Toute la question de ces deux quinquennats, oscille entre deux thèses. Les uns, comme Etienne Chouard, expliquant que ce qu’il fait devient clair, si on part du principe qu’il est là pour détruire le pays sur commande. Auquel cas on comprend les échecs en cascade qui ont déstabilisé le pays et l’ont réduit à un rôle de figurant économique et diplomatique sur la scène internationale. D’autres, comme beaucoup d’opposants, estiment qu’il est simplement incompétent, entourés d’incompétents, plus incompétents que lui, afin qu’il puisse rester le patron. S’en suit une interminable série de bévues, boulettes, mauvais choix, non-sens, qui nous amènent à la ruine d’à peu près tout ce qui faisait le bonheur de vivre en France.

L’affaire était mal emmanchée avec le scandale Alstom, lequel n’a finalement pas pu éclater suffisamment fort pour déstabiliser le pouvoir. Puis, les Gilets jaunes et petit à petit, les ministres mis en cause, ou en examen, les scandales d' « amis » de la macronie, avec Ferrand, El Guerrab et bien d’autres. Le Covid et sa gestion calamiteuse, les scandales liés au Covid, le Rivotril mortel de Véran, les mensonges en série sur l’efficacité des vaccins, des médicaments, des confinements… les dispositions carrément hors la loi, mais qui passent quand même avec Fabius, le responsable mais pas coupable du sang contaminé à la tête du Conseil Constitutionnel, qui avalise à peu près tout, même quand ça n’est pas constitutionnel. Le gouvernement le plus cher, avec un nombre de ministres record, des plafonds de fonctionnement explosés, pour l’Élysée, le record de mises en examen, les nominations entre amis et les recasages dorés, comme Castex à la RATP. Pour la partie institutionnelle… et on en oublie.

Pour les services publics, mêmes constats. L’hôpital à bout de souffle, une reprise en main des médecins, empêchés de prescrire pendant l’épisode Covid, des personnels licenciés en dehors de toute forme de déontologie, les millions de Français sans médecin traitant, une pénurie chronique de personnels, une gestion calamiteuse et hors de prix. L’école, avec désormais, des professeurs menacés, un niveau scolaire abominable, une pénurie de jeunes professeurs et l’impossibilité même d’enseigner correctement dans les quartiers les plus difficiles. À la clé, des pertes de compétences qui se font ressentir dans tous les domaines industriels. Une justice au fonctionnement particulier, avec laquelle les uns, issus de l’immigration arabo-afro-musulmane, bénéficient d’une mansuétude et de remises en liberté incompréhensibles, qui fait que l’on retrouve des récidivistes dans de nombreuses affaires sordides de viols, coups de couteau, affaires de drogue, meurtres, règlements de comptes et attentats. Pendant que d’autres, natifs solvables, se voient méthodiquement poursuivis jusqu’en enfer pour des infractions routières mineures, ou des faits dérisoires, sans commune mesure avec ceux des « invités ».

Les finances, avec un déficit record, une désindustrialisation record, un déficit du commerce extérieur record, des faillites d’entreprises record, un budget de l’État devenu ingérable, dans lequel la dette est devenue le principal poste de dépense. Des chiffres du chômage trafiqués, devenus tellement mauvais que même les artifices ne suffisent plus à les masquer. La note de la France qui échappe à la baisse par miracle, une surveillance par les instances économiques européennes et l’ensemble des indicateurs dans le rouge, dès aujourd’hui, à plus de trois ans de l’échéance présidentielle, sans compter les augmentations à venir de l’énergie, le futur coût des Jeux olympiques, les dépenses sociales en explosion. Les agriculteurs dans la rue, dont personne ne parle et des catégories socio-professionnelles quasiment toutes au bord de l’explosion. Déficits tous azimuts donc, malgré une fiscalité record, dans un hexagone devenu champion toutes catégories des prélèvements, sur la propriété et le travail et passé de la 6ème à la 25ème place en termes de richesse par habitant. Les rares qui réussissent encore, le font dans l’adversité, écrasés par les taxes et les normes, et la plupart du temps, sans faire appel à l’État.

Macron, c’est aussi plus de trois millions de migrants, pour la plupart, des hommes, arabo-afro-musulmans, une main-d’œuvre peu diplômée, cantonnée à des tâches subalternes… quand elle travaille.

C’est aussi une France déclassée au niveau international, avec un pays qui ne pèse plus rien dans les négociations de paix, où que ce soit, plus rien non plus au niveau économique. Le président, totalement ignoré, humilié régulièrement lors de sommets, quand il n’est pas pris en photo, ivre, dans une boîte de nuit africaine. Après avoir fermé Fessenheim, il s’en va à la COP28, expliquer qu’il faut mettre du nucléaire partout, au comble du « en même temps », qui aura été le fil rouge de ses mandats sans vision et sans moyen. Le corps diplomatique défait, la politique africaine en déshérence, le départ la queue basse des militaires de Barkhane, des manifestations anti-françaises dans les pays d’Afrique et un président de l’île confetti des Comores, qui se paye notre tête. Un acharnement européen et français à aider l’Ukraine, alors que la guerre est perdue et que l’économie russe fait de meilleurs scores qu’attendus pour l’année 2023, avec un Poutine sûr d’être réélu : l’Europe de Macron et von der Leyen a eu tout faux et elle s’entête.

Macron donc, cherchant un universalisme impossible, pour laisser une trace dans l’histoire de l’humanité, ne devrait pas se donner ce nouveau souci. Il est d’ores et déjà entré dans l’Histoire de France, comme le président de tous les records négatifs de la Cinquième République. Le Général de Gaulle ne reconnaîtrait ni son pays, ni sa Constitution. Les natifs de l’époque du Général de Gaulle non plus, ne reconnaissent plus leur pays, celui du Concorde, du France, de la Citroën DS, des ingénieurs Bertin et Leduc, du Mirage IV, de Marcoule, du TGV, des Chantiers navals, du Quai de Javel et des liesses du 14 juillet sur les Champs-Élysées. Ce pays exportait du savoir, de la sagesse et des richesses, il importe désormais de l’incompétence, de la pauvreté et de la sauvagerie.

Mardi 19/12 : la censure au vote…

Pierre Duriot

À envoyer à vos députés, à qui on va tenter, mardi, de faire voter l'interdiction de toute critique de la gestion du Covid et des vaccins.

Madame Monsieur le député
Mardi 19 décembre 2023 vous allez devoir voter le projet de loi « contre les dérives sectaires créant un délit de provocation à l’abandon de traitement médical : les risques pour la liberté d’expression. »
Dans ce projet de loi un nouvel article doit être inséré dans le Code pénal ainsi rédigé : « est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptibles d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique ».
Cela reviendrait à emprisonner aujourd’hui des éminences scientifiques qui ont émis des doutes sur les traitements officiels et seuls autorisés pendant la crise COVID. Les risques pour la liberté d’expression ne sont pas dans l’interdiction d’un débat contradictoire sur une thérapie, mais bien celle d’en discuter les effets ou les alternatives. On ne protège pas systématiquement en interdisant. Ce texte semble destiné à sanctuariser une version officielle de la science, qui par définition ne peut être décrétée par un pouvoir. L’histoire est remplie de ces fausses visions, dont la plus célèbre est celle d’un Galilée condamné à se taire sur l’héliocentrisme sous peine de finir sur un bûcher. Staline avait usé d’un tel procédé, est-ce là le virage que vous souhaitez donner à notre République ?
La manipulation sémantique pratiquée par le régime macroniste conduit à obliger au silence et à l’obéissance, sur ces sujets, pour protéger la liberté d’expression. Comment pouvez-vous tolérer, ou croire, que l’on prétende défendre la liberté de parole en l’interdisant ? S’il faut protéger des personnes faibles contre les charlatans, des lois existent déjà et les coupables, qui exercent de manière illégales, se trouvent régulièrement condamnés. Cette loi, si vous la votez ne s’adressera pas seulement à de pseudo-médecins, mais bel et bien à des professeurs et chercheurs, qui font leur travail et expriment un doute, voire mettent en gardent sur des bases scientifiques, non sur des délires ou des divagations invraisemblables, sur les risques éventuels qu’ils découvrent. Le gouvernement ne cherche pas à sauvegarder la vérité, il tente grossièrement de se protéger contre ses propres actions et celles aujourd’hui contestées, d’un « conseil de défense scientifique » duquel furent exclus tous ceux qui ne pensaient pas comme le pouvoir. C’est cela qu’il s'efforce de faire en vous invitant à approuver une telle loi, présentée sous un aspect protecteur et bienveillant, culpabilisant d’ores et déjà tous ceux qui oseraient s'y opposer en les désignant de fait, comme des irresponsables. Le piège est là, grossier, n'y tombez pas.
Le RPF vous demande de refuser fermement cette loi et son article 4 qui n'a pas sa place dans un arsenal législatif libre et démocratique. Nous serons très attentifs à la suite qui aura été donné à ce projet de loi. Comme toujours, notre tribune s’en fera un large écho. Gardez à l’esprit que voter un tel texte poussera ce régime inexorablement à aller plus loin. Demain ce sera la contestation même du pouvoir et donc la démocratie qui sera contestée. C’est le chemin déjà largement entamé, avec l’utilisation à répétition d’un article 49.3 largement dévoyé.

14 décembre 2023


Gilles Casanova

Pour tous ceux qui exercent leurs aigreurs et leurs pulsions répressives sur les réseaux sociaux contre des gens qu’ils envient, en concluant définitivement à la culpabilité des uns ou des autres à la vue de telle ou telle image ou de tel ou tel commentaire dans un pilori médiatique vomitif, au lieu de s’en remettre – si besoin est – à la justice qui elle a les moyens de savoir et d’agir, voire de punir si c’est nécessaire :

Michel Sardou, empêcheur de piquer en rond ?

Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire


Michel Sardou, 76 ans, a été victime d’un nouveau malaise. Hospitalisé en urgence, il a été contraint d’annuler ses concerts de Brest et de Clermont-Ferrand. Touché par le COVID, il s’est autorisé à une déclaration qui devrait faire réagir. Le chanteur, connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, a dit : « J’avais tous mes vaccins, donc je me sentais à l’abri. Et finalement je l’ai eu dans le c.l, comme tout le monde ».

Ces propos devraient lui attirer les foudres des promoteurs du vaccin, vous souvenez-vous, ceux qui soutenaient qu’on pouvait discuter de tout sauf des chiffres. Où sont-ils à présent ? Ceux qui annonçaient, comme Pelloux, qu’on savait qui serait mort en décembre 2021. Ou Cymes, qui affirmait que les non vax devaient chaque matin, en se rasant ou se regardant dans le miroir, se dire qu’aujourd’hui ils allaient potentiellement tuer quelqu’un. Pour les autres, au contraire, rien n’est nouveau, il y a longtemps qu’ils ont fait le lien entre vaccin et effets secondaires, considérant que les injections ne servaient à rien, pire qu’elles étaient dangereuses. Michel Sardou n’est pas le seul à subir ces atteintes, nombreux sont les artistes, les sportifs, ou des gens de nos entourages proches, à être atteints de troubles graves. Mais il est proscrit de faire le rapprochement. C’est la faute à l’âge, au réchauffement climatique, à Poutine, ou à l’influence de la lune aussi, tant qu’on y est, mais certainement pas parce qu’ils ont dans le sang un truc curieux qui a fait brusquement augmenter les turbos cancers, les myocardites, les avc, les thromboses, les troubles menstruels et bien d’autres choses.

À tout cela, le corps médical, autorisé à parler, élude la question, de peur d’être vilipendé, poursuivi, et parfois même interdit d’exercer, pour oser douter et, données à l’appui, contester la sécurité des vaccins. Car en macronie, il y a deux sciences. Celle habilitée à s’exprimer, qui en général va dans le sens du plan et l’autre, celle qui ne se fie qu’aux résultats, analyses, et s’interroge. Cette dernière est pourchassée, condamnée.

Pourtant, de l’autre bout de la planète, nous parviennent en écho des études ou des déclarations qui font froid dans le dos. Le ministre colombien admet que « les vaccins COVID ont fait l’objet de manipulations et de tromperies ». Admettre ce n’est pas supposer, c’est confesser, donc avouer. En Nouvelle-Zélande, Barry Young, 56 ans, statisticien a été arrêté pour avoir mis en évidence un taux de mortalité variable en fonction des lots de vaccins utilisés, amplitude qui va de 4% à 21%. En août 2022, une étude largement passée sous silence, a mis en lumière que l’un des 4 sous-types d’anticorps, l’IgG4, se produit après plusieurs vaccinations et provoque des maladies longues et graves en cas d’infection et se trouve impliqué dans les turbo-cancers.

En Suisse, le plus grand assureur maladie du pays constate une augmentation supérieure à 100% du nombre de receveurs de médicaments contre le cancer, après l’introduction de la vaccination. Une autre étude, elle aussi censurée, réalisée par les docteurs Denis Rancourt et Marie Baudin, annonce que 17 millions de personnes seraient décédées dans l’hémisphère sud depuis les vaccins, et que le pic de mortalité précéderait les doses de rappel. Dans les 17 pays étudiés, il y a l’Australie, la Nouvelle-Zélande, toute l’Amérique du Sud.

L’Islande à cessé les injections.

Les faits dénoncés à l’étranger sont nombreux, mais rien ne filtre en France, comme c’est curieux tout de même. On peut espérer que la déclaration de Michel Sardou contribue à poser les bonnes questions. Il est vrai que nous assistons en France à tout autre chose, la tentative de mise hors de poursuites des Delfraissy, Véran, Lacombe, Pelloux et consorts, par la volonté d’instaurer des lois capables, à minima de les exonérer d’avoir poussé les Français à se faire injecter un produit expérimental qui s’avère aujourd’hui douteux. Pourtant la macronie persiste à en faire la promotion. Quel pourra être le niveau de responsabilité de ces gens qui incitent à s’injecter un produit dont les conséquences s’avèrent dramatiques dans de trop nombreux cas ? Pourront-ils feindre l’ignorance, ou se retrancher derrière les avis d’une science qu’ils ont sciemment ignorée pour ne retenir que ce qui satisfaisait à leur plan ? Ils ne devront pas s’en sortir à si bon compte. Mais en entendant, la France, ce pays donneur de leçon en matière de liberté, planche sur :

Interdire les critiques sur les vaccins

Interdire les critiques sur Israël

Interdire les moteurs thermiques

Interdire les critiques sur le réchauffement climatique

Interdire la location des logements mal isolés

Interdire la vente de ces mêmes logements

Interdire RT France (déjà en place)

Interdire Rumble (déjà en place)

Interdire Twitter, ou du moins le contrôler sévèrement.

La macronie se distingue par cette rengaine : interdire, interdire, interdire…

13 décembre 2023

Pfizergate

Vincent Verschoore

Plus de deux ans se sont écoulés depuis le début du scandale, souvent appelé "Pfizergate". L'affaire tourne autour du fait que la chef de la Commission, Ursula von der Leyen, a non seulement commandé des quantités inutilement importantes de vaccins COVID-19 à Pfizer avec l'argent du contribuable - obligeant finalement les pays à se débarrasser de centaines de millions de doses périmées - mais qu'elle l'a fait en négociant le prix avec le PDG de l'entreprise (et l'associé de son mari) par le biais de sms qui n'ont toujours pas été divulgués, ce qui est la manière la moins transparente possible.
L'affaire a été portée devant le médiateur européen en septembre 2021 et a été clôturée en juillet de l'année dernière, l'organe de surveillance juridique déclarant officiellement que la Commission avait fait preuve de "mauvaise administration" et demandant à plusieurs reprises que les textes soient à nouveau recherchés et publiés.
C'est pourquoi la médiatrice européenne M. O'Reilly s'est tournée vers les médias lors d'un récent événement organisé par le cabinet de conseil stratégique SEC Newgate, basé à Bruxelles. Elle s'est demandée pourquoi les journalistes semblaient se taire lorsqu'il s'agissait de Mme von der Leyen et de ce qui pourrait être le plus grand scandale de corruption de l'histoire de l'Union européenne.
Les covidistes espèrent évidemment que l'affaire disparaisse d'elle-même sous le poids des événements qui secouent le monde. Les médias collabos de la dictature sanitaire ne risquent pas de creuser l'affaire, ni les instances sanitaires le plus souvent corrompues par Big Pharma. À nous de ne rien lâcher.

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Yann Thibaud

Étrange époque où les masques tombent, où chaque être révèle sa vraie nature, où se montrent au grand jour les authentiques résistants comme les perfides collabos, où les déceptions s'accumulent autant que naissent de fortes admirations.
C'est le moment du grand test, de l'examen de passage final, du grand réveil humain, afin que s'accomplisse le destin de chacun : sera-t-on prêt à faire partie d'une nouvelle humanité, apte à construire un nouveau monde de gloire et de beauté ?
Ou bien s'en montrera-t-on pour le moment incapable, devant remettre à plus tard ce brillant et prodigieux moment ?
Moment de tristesse et de désespérance, mais aussi d'attente et d'ardente curiosité, moment où tout semble perdu et où tout devient possible, moment qui exige de redevenir enfin nous-mêmes, de savoir et montrer de quoi nous sommes capables, de surmonter les défis et ensemencer l'avenir !
Étrange époque vraiment, à laquelle nous avons pourtant été préparés, des vies et des vies durant, étonnante et stimulante époque, où il s'agit de perdre tout repère et de nous ouvrir et nous abandonner à la mélodie du sentiment intérieur !
Sera-t-on prêt à vivre sans maître, à n'avoir d'autre dieu que notre propre savoir et notre propre vertu, à découvrir et exercer le pouvoir de la beauté et la beauté du pouvoir, et à avancer hardiment sur le sentier qui fera de nous précisément des maîtres ?